Créer, intégrer, gérer un sitemap pour développer le référencement naturel de votre site.
L’un des éléments les plus faciles à oublier lors de la planification de votre site est le sitemap. Et pourtant, il a une réelle valeur ajoutée pour votre référencement naturel. Le sitemap est un document XML présent sur votre site web qui sert à les moteurs de recherche à mieux comprendre vos pages et modifier leur indexation. Il peut être utilisé pour l’indexation de votre site ou d’un élément particulier.
Ainsi, dans le cas où vous souhaitez être référencé dans certains mots-clés, il est utile de créer des sitemaps spécifiques à chaque page. Vous pouvez ainsi choisir les mots-clés que vous souhaitez être indexés par Google.
Dans le cas contraire, vous pouvez intégrer le sitemap sur votre site pour permettre à Google de prendre connaissance de l’ensemble des contenus et fournir une meilleure utilisation de votre site pour le référencement naturel.
Une fois le sitemap validé et déclaré, il vous sera possible d’avoir accès à différentes informations significatives sur votre site comme :
– Le nombre de pages indexées par Google (pages visitées et pages indexées) ;
– Le temps mis par Google pour indexer votre site ;
– Le nombre de pages actuellement indexées ;
– La date de dernière mise à jour du site ;
– Le nombre de pages visitées par un robot Googlebot ;
– Le nombre de requêtes spécifiques faites par Googlebot ;
– Le nombre de liens entrants et sortants pour chaque page.
Le processus d’indexation peut prendre entre quelques minutes et plusieurs jours. Cela dépend :
– Du nombre de pages sur votre site web, étant donné que le temps d’indexation dépend du nombre de pages créées sur votre site ;
– De votre site web, car si votre site est hébergé sur des serveurs lent, il prendra plus de temps pour être indexé ;
– Du contenu, car si vous avez beaucoup de contenu sur votre site, cela prendra plus de temps pour être indexé.
Une fois le site web indexé par Google, il peut prendre jusqu’à trois mois pour que vos pages apparaissent dans les résultats du moteur. Ce délai dépend du nombre de pages et du contenu que votre site comporte.
1. Le site map, c’est quoi ?
Le site map est un document HTML ou XML qui sert à indiquer à Google la structure de votre site web. Pour une bonne référence, vous devez mettre le site map sur le même niveau que les fichiers robots.txt et Sitemap.xml. Le site map doit être placé dans le même répertoire que les autres documents de votre site web.
Le site map doit être un document HTML comportant au moins deux liens :
– Le premier pointe vers le fichier robots.txt (si vous en avez un).
– Le deuxième pointe vers le fichier Sitemap.xml.
Le site map peut être généré automatiquement ou manuellement. Si vous générez le site map manuellement, il doit ressembler à ceci :
<siteMap xmlns=”http://www.sitemaps.org/schemas/sitemap/0.9″
xmlns:xsi=”http://www.w3.org/2001/XMLSchema-instance”>
<siteMapNode url=”http://www.pixeldreamstudio.com/” title=”Home”>
2. Pourquoi créer un sitemap ?
Grâce au sitemap, Google sait dans quel ordre organiser les différents liens des pages d’un site web. Si vous voulez que votre site soit bien référencé, il est indispensable de créer un site map.
Google vous propose l’outil Google Webmaster Tools. Cet outil permet de suivre l’utilisation de Google à votre égard ainsi que de suivre l’avancement des inscriptions de votre site sur les moteurs et dans les différents autres moteurs de recherche.
Le premier outil d’utilisation de Google Webmaster Tools est le Sitemap Generator. En plus d’être intuitif, cet outil permet d’insérer automatiquement le code HTML de votre sitemap dans votre site.
3. Comment créer un sitemap ?
Pour créer un sitemap, il suffit d’utiliser le Sitemap Generator proposé par Google webmaster Tools.
Tout d’abord, il faut se rendre sur le site de Google webmaster Tools (http://www.google.com/webmasters/). Ensuite, il faut s’enregistrer. Lorsque vous avez enregistré votre compte, vous pouvez accéder au Sitemap Generator.
Bouton «Sitemap Generator»
Ensuite, il faut se rendre sur le site web que l’on veut inscrire dans le Sitemap Generator. Ensuite, il suffit de cliquer sur le bouton «Sitemap Generator».
Ce bouton nécessite un code à 3 chiffres. Celui-ci est envoyé automatiquement par Google lorsque vous avez enregistré votre site web sur Google Webmaster Tools.
Une fois entré dans le Sitemap Generator, il faut cliquer sur «New/Add URL» pour créer la liste de vos pages.
Ensuite, il faut entrer les URL de vos pages dans l’espace prévu à cet effet. Il faut ensuite cliquer sur «Add» pour enregistrer ces pages.
URL de vos pages
Puis, il faut cliquer sur «Save» pour enregistrer votre sitemap.
Les extensions pour créer un sitemap sous WordPress
Il existe plusieurs extensions qui permettent de créer un sitemap sous WordPress. Nous allons nous intéresser en détail aux extensions SEO Smart Links et SEO Ultimate ou encore SEOPress. Nous vous recommandons SEOPress pour sa simplicité d’utilisation et sa puissance.
Cette extension permet de générer des liens dans votre site en fonction du contenu. C’est une extension très complète qui permet :
de créer un sitemap ;
d’optimiser le référencement de vos pages ;
d’assurer la propreté de vos pages ;
d’assurer la propreté des liens ;
d’optimiser le référencement de votre site en générant des liens de qualité.
Cette extension vous permet également de générer un XML sitemap pour Google et Yahoo ! (En fonction des options que vous sélectionnez).
Cette extension permet aussi de créer un sitemap pour Bing.
L’extension SEO Ultimate est une extension, elle aussi, très complète qui permet :
de générer un sitemap ;
d’optimiser le référencement de vos pages ;
d’assurer la propreté de vos pages ;
d’optimiser le référencement de votre site en générant des liens de qualité.
L’extension SEOPress est une extension, elle aussi, très complète qui permet :
de créer un sitemap ;
d’optimiser le référencement de vos pages ;
d’assurer la propreté de vos pages ;
d’optimiser le référencement de votre site en générant des liens de qualité.
Cette extension permet, comme son nom l’indique, d’assurer la propreté de vos pages
, c’est à dire :
- de supprimer les liens morts sur votre site (et d’indiquer à Google que ces liens ne sont plus valides) ;
- de réduire la taille de vos pages afin de réduire le temps de chargement de celles-ci ;
- de supprimer les images inutiles qui risquent de pénaliser votre site en terme de référencement.
4. Comment intégrer un sitemap sur son site ?
L’intégration d’un sitemap sur votre site est simple. Il vous suffit de vous rendre dans l’onglet « Extensions » de votre site.
Puis de sélectionner l’extension « SEOpress ».
Afin d’intégrer un sitemap sur votre site, il vous suffit de cliquer sur le bouton « Ajouter un site ». Vous pourrez alors sélectionner l’URL à inclure dans cet outil.
Dans notre formation sur le référencement nous vous apprenons à optimiser votre site pour le SEO. Nous vous proposons aussi une formation pour créer votre site internet avec WordPress et savoir le gérer en toute autonomie.
5. Comment gérer un sitemap sur votre site ?
En cliquant sur l’onglet « Sitemap », vous pourrez ajouter des pages à votre sitemap.
Vous pouvez également demander à Google de rechercher vos pages qui sont en format XML sur votre site (cela signifie que Google recherchera automatiquement toutes les pages que vous aurez ajoutées dans votre sitemap).
Il est important de savoir que si vous ajoutez des page dans votre sitemap, Google les recherchera automatiquement. C’est pourquoi il est important d’en faire une à chaque fois que vous créez une nouvelle page.
Vous devez ensuite dans un dernier temps intégrer votre site dans la Google Search Console. Cette console va vous permettre de gérer vos liens, de voir votre positionnement sur Google et d’optimiser vos pages.
Vous avez maintenant toutes les cartes en main pour créer votre site, le faire connaître et le positionner sur Google. N’hésitez pas à faire vos recherches sur le web, utiliser les outils que nous vous avons présentés dans cet article et surtout, restez connecté !
Le SWOT, cet outil indispensable pour analyser la santé de votre entreprise.
Les entreprises utilisent généralement un ensemble de techniques d’analyse pour définir leur stratégie. L’une des méthodes les plus utilisées est la méthode SWOT (Strengths, Weaknesses, Opportunities and Threats). Cette méthode est facile à comprendre et à adopter. Elle permet aux entreprises de se concentrer sur leurs points forts tout en identifiant les points faibles ainsi que les possibilités et les menaces.
1. Comment fonctionne le SWOT ?
Le SWOT est composé de quatre catégories : les forces, les faiblesses, les opportunités et les menaces. Ces quatre catégories sont placées dans un tableau de type « croix » à cinq cases. Chaque case correspond à une catégorie.
Les forces sont toutes les caractéristiques que vous possédez et qui vous permettent d’être compétitif sur un marché donné. Il s’agit des points forts qui vous permettent d’être compétitif.
Les faiblesses sont les caractéristiques qui vous empêchent d’être compétitif sur un marché donné. Il s’agit de tout ce qui vous handicape dans l’exercice de votre activité professionnelle.
Les opportunités sont toutes les caractéristiques que vous pourriez exploiter pour atteindre vos objectifs stratégiques dans une situation donnée. Il s’agit des opportunités qui peuvent être créées à partir de l’exercice de votre activité professionnelle.
Les menaces sont les caractéristiques qui peuvent vous empêcher d’atteindre vos objectifs stratégiques dans une situation donnée. Il s’agit des menaces qui ont un impact sur vos activités professionnelles.
1.1. Les forces
Dans les premières étapes du processus d’évaluation, vous devez définir les points forts de votre entreprise. En général, les forces de votre entreprise sont :
• Vos points forts de l’entreprise sont l’expérience et l’expertise. Elles ont permis à l’entreprise de se développer et d’acquérir une bonne réputation dans la communauté.
• Vos points forts de l’entreprise sont votre capacité à offrir un service de qualité à prix compétitif et votre réputation auprès des clients.
• Vos points forts de l’entreprise sont vos relations avec vos fournisseurs et vos clients.
• Vos points forts de l’entreprise sont les compétences de vos employés et leur efficacité.
1.2. Les faiblesses
Ensuite, vous devez trouver les faiblesses de votre entreprise. Les faiblesses de votre entreprise sont des facteurs qui pourraient vous empêcher d’atteindre vos objectifs stratégiques dans une situation donnée. Il s’agit des facteurs qui ont un impact sur la qualité de votre produit ou service et qui peuvent nuire à la réputation de l’entreprise et à sa pérennité.
• Votre faiblesse première est l’insuffisance du financement. Vous n’avez pas suffisamment de fonds proprespour vous permettre d’investir dans l’amélioration de votre équipement et de votre outil de production. Vous ne pouvez pas non plus embaucher plus d’employés ou vous développer. Votre faiblesse première est donc vos insuffisances en fonds propres.
• Votre faiblesse première se trouve également dans la pénurie des ressources humaines. Vous n’avez pas beaucoup de main-d’œuvre qualifiée surtout pour le poste de directeur. Votre faiblesse première est donc la pénurie des ressources humaines.
• Votre faiblesse première se trouve également dans la mauvaise qualité de vos produits ou services. Vos réparations sont peu fiable et demandent beaucoup de temps à votre clientèle. Votre faiblesses première est donc la mauvaise qualité de vos produits ou services.
• Enfin, votre faiblesse première se trouve dans le manque d’image de marque. Vos produits ou services ne sont pas reconnus et sont difficiles à vendre. Votre faiblesse première est donc le manque d’image de marque.
Après avoir établi les faiblesses de votre entreprise, vous pouvez commencer à y apporter des solutions. Voici quelques conseils pour vous aider dans votre démarche :
• Commencez par identifier les causes de vos faiblesses.
Pourquoi y a-t-il un manque d’image de marque ?
Pourquoi y a-t-il un manque de ressources humaines qualifiées?
Pourquoi y a-t-il un problème de qualité de vos produits ou services ?
• Ensuite, définissez vos objectifs.
Vous voulez augmenter votre image de marque, augmenter le nombre de personnes qualifiés travaillant pour vous, améliorer la qualité de vos produits ou services. Voilà quelques exemples.
• Enfin, faites un plan concret pour atteindre ces objectifs.
1.3. Les opportunités
de développement sont des opportunités qui existent dans votre secteur d’activité. Vous pouvez les définir à partir de différents critères : géographiques, technologiques, socioculturels, économiques.
• Les menaces de développement sont des menaces qui existent dans votre secteur d’activité. Vous pouvez les identifier à partir de différents critères : géographiques, technologiques, socioculturels, économiques.
• L’état des lieux est la description objective de votre situation actuelle. Il permet de définir les points forts, les points faibles et les ouvertures d’opportunités pour améliorer votre stratégie de développement.
1.4. Les risques
de développement sont des risques existant dans votre secteur ou qui pourraient y apparaître. Vous pouvez les identifier à partir de différents critères : géographiques, technologiques, socioculturels, économiques.
• Les menaces de développement sont des menaces qui existent dans votre secteur d’activité. Vous pouvez les identifier à partir de différents critères : géographiques, technologiques, socioculturels, économiques.
2. Le SWOT dans votre entreprise
Partez de votre mission, de votre vision et de vos objectifs stratégiques.
Identifiez les forces et faiblesses de votre entreprise :
• Définissez vos forces et faiblesses génériques en formulant des affirmations positives sur les points forts et négatives sur les points faibles.
• Portez votre attention sur les aspects négatifs qui ne sont pas des facteurs génériques mais qui s’appliquent à votre situation particulière.
• Analysez les synergies possibles entre les points forts et les points faibles.
Identifiez vos opportunités et menaces de développement :
• Définissez vos opportunités en formulant des affirmations positives sur les points positifs et négatives sur les points négatifs.
• Portez votre attention sur les aspects négatifs qui ne sont pas des facteurs génériques mais qui s’appliquent à votre situation particulière.
• Analysez les synergies possibles entre les points positifs et les points négatifs.
Votre mission et votre vision sont des descripteurs de votre entreprise :
• Votre mission : décrivant l’action que vous entendez mener pour répondre aux besoins des clients, elle doit être claire, précise, universelle, et définie en termes positifs.
• Votre vision : décrivant les perspectives dans lesquelles vous vous situez, elle doit être claire, précise et spécifique à votre domaine d’activité.
• Vos principes : décrivant les valeurs et la philosophie de votre entreprise, ils doivent être clairs, positifs et précis.
• Vos définitions : décrivant le concept que vous entendez développer en termes positifs, elles doivent être claires, précises et universelle.
Vos stratégies sont la traduction de vos objectifs et de vos intentions : elles doivent être ressortir en termes positifs, précis et universels.
Vos actions sont vos moyens d’atteindre vos objectifs et de concrétiser vos intentions : elles doivent être claires, précises et universelle.
Vos moyens sont les ressources que vous entendez mobiliser pour atteindre vos objectifs et concrétiser vos intentions : ils doivent être universel.
Votre image est le point de repère que vous entendez offrir aux autres pour qu’ils puissent situer votre entreprise et s’y identifier : elle doit être positive, précise et universelle.
Vos valeurs sont le point d’appui que vous entendez offrir aux autres pour qu’ils puissent comprendre votre entreprise et y adhérer : elles doivent être positives, précises et universelle.
Votre projet est la base sur laquelle vous entendez construire votre entreprise et à laquelle les autres entreprises peuvent se rattacher : il doit être positif, précis et universel.
Votre plan est la feuille de route qui va vous permettre d’atteindre vos objectifs, de concrétiser vos intentions, de mobiliser vos moyens et de construire votre projet : il doit être positif, précis et universel.
Vos actions sont les pas que vous entendez faire pour atteindre vos objectifs et concrétiser vos intentions : elles doivent être claires, précises et universelle.
3. Le SWOT, cet outil incontournable
Comment le SWOT peut-il vous aider à définir votre stratégie ?
L’analyse SWOT permet de définir et de développer des stratégies gagnantes. En effet, la première étape consiste à identifier les points forts et les points faibles de votre entreprise. Puis, on identifie les opportunités et les risques qui pourraient être générés par l’environnement de votre entreprise. Ces informations permettent de définir une stratégie claire et de définir des objectifs précis.
La mise en place d’une stratégie gagnante passe par la définition d’objectifs précis, la définition d’une feuille de route et la mise en place d’actions concrètes qui vont permettre l’atteinte des objectifs. C’est donc pour cela que nous allons détailler toutes les étapes de la mise en place de votre stratégie d’entreprise.
Vous pouvez vous former au SWOT grâce à notre formation en marketing digital
Source de l’article : www.instants-web-formation.fr
Le cross device, la prochaine étape du marketing digital
En ce moment, le cross device prend de plus en plus d’importance dans les stratégies de marketing digital. Les entreprises s’intéressent à cette nouvelle façon d’interagir avec les consommateurs. En effet, les marques ont découvert que le cross device est un moyen très efficace pour communiquer et fidéliser les clients. Le cross device permet de créer une expérience utilisateur unique.
Avant, les entreprises se concentraient sur le cross media. Mais aujourd’hui, les marques veulent aller encore plus loin. Les entreprises sont prêtes à investir pour développer une expérience utilisateur unique. Le cross device va encore plus loin que le cross media.
De nombreuses entreprises ont décidé de miser sur le cross device dans leur stratégie marketing. En effet, les marques ont besoin de toucher l’utilisateur en différents endroits. De plus, aujourd’hui, les utilisateurs utilisent différents appareils pour consulter leur compte sur un réseau social. Ces données montrent que sur les réseaux sociaux, un consommateur lit 16 % des posts depuis son téléphone portable.
Le cross device représente une vraie opportunité pour les entreprises. En effet, elles peuvent toucher leurs clients avec des campagnes spéciales. Par exemple, une marque peut offrir une réduction aux clients qui utilisent plusieurs appareils.
Le cross device, une opportunité unique pour les marques
Le cross device est un vrai moyen de toucher l’utilisateur de différentes manières. Les entreprises peuvent proposer des fonctionnalités spécifiques qui ne seront pas disponibles sur d’autres appareils. Par exemple, une entreprise peut proposer la possibilité de télécharger un document immédiatement. L’utilisateur sera plus tenté de télécharger un document car il peut le faire sur son smartphone .
Le cross device est une opportunité pour les marques de se faire connaître. En effet, elles peuvent offrir des services ou des offres qui ne seraient pas disponibles sur un autre appareil. Ainsi, elles ont la possibilité de se faire connaître. Elles ont aussi la possibilité d’augmenter leur visibilité.
1. Qu’est-ce que le cross device ?
Est-ce que c’est une nouvelle tendance ?
Pour l’instant, le cross device est une tendance. Elle peut intéresser les entreprises qui veulent se différencier de la concurrence. Les entreprises en profitent pour se faire connaître. Cependant, le cross device n’est pas pour tout le monde. Il est surtout fait pour les marques qui ont l’habitude d’utiliser les différents appareils pour communiquer avec leurs clients. En effet, elles doivent être prêtes à créer différents formats de contenu selon l’appareil utilisé.
Le cross device est-il pour toutes les entreprises ?
Non, certaines entreprises ne sont pas prêtes à faire face au cross device. Il faut absolument que la marque ait un bon niveau d’expertise et qu’elle soit prête à se dépasser. En effet, il faut créer différents formats de contenu pour chaque appareil. De plus, il faut être en mesure de travailler sur plusie
2. Le cross device et le marketing digital
Le cross device est souvent utilisé dans le marketing digital.
Les 3 leviers du cross device en marketing digital
Du côté de la communication marketing, les entreprises qui se servent du cross device pour communiquer avec leurs clients ont trois leviers qu’elles peuvent utiliser :
• Le « multi-device » : il s’agit de créer plusieurs formats de contenu selon les supports utilisés. Il faut ainsi passer d’un format à un autre en fonction de l’appareil utilisé. Par exemple, si la vidéo est utilisée sur un écran, il faut la modifier pour qu’elle soit lisible sur une tablette.
• Le « cross-channel » : il s’agit de créer un lien entre plusieurs canaux de communication. Ainsi, une communication faite sur le web peut être réutilisée dans un emailing.
• La « multiscreen » : il s’agit d’une stratégie qui se concentre essentiellement sur le mobile et les appareils tactiles en général. Les entreprises doivent alors adapter leur contenu à l’écran de ces appareils.
Les différents usages du cross device
Les entreprises qui veulent utiliser le cross device ont plusieurs objectifs en tête.
• Le cross device permet d’augmenter la quantité de trafic sur un site web.
• Il permet de développer une relation plus profonde avec les clients. Les entreprises peuvent alors leur proposer un service plus personnalisé.
• Cette stratégie permet aussi aux entreprises d’attirer et d’engager de nouveaux clients par des campagnes marketing diverses.
Cela implique donc d’adapter son contenu selon les appareils utilisés par les clients (smartphone, ordinateurs, tablettes, etc.). Pour cela, il faut s’appuyer sur un outil marketing adapté.
3. Quelles sont les différentes étapes du cross device ?
Pour planifier une stratégie cross device, il faut tenir compte des éléments suivants :
• Les utilisateurs effectuent leurs recherches dans différents canaux. Pour cela, ils utilisent plusieurs appareils. Il faut donc adapter son contenu en fonction de ses supports et de ses canaux (site web, emails, social media, etc.).
• Le cross device peut s’appliquer à tous les types de contenus : textes, images, vidéos, infographies, etc.
• Le cross device s’adapte à toutes les messageries : emails personnalisés, SMS, etc.
• Il s’adresse aussi à tous les canaux d’achat : site web, marketplaces, etc.
• Le cross device prend en compte le comportement des clients sur les différents appareils, leurs habitudes de navigation et de recherche, leur parcours d’achat.
• L’objectif est donc d’utiliser la bonne stratégie de marketing pour un meilleur ROI (retour sur investissement).
4. Bien choisir votre campagne de cross device
Comment s’y prendre ?
• Le cross device est un outil marketing à part entière. Concrètement, cela signifie qu’il faut passer par l’achat d’une solution de marketing cross device.
• Cette solution permet de créer un contenu adapté à plusieurs appareils.
• Il faut ensuite avoir une politique claire pour que les utilisateurs puissent accéder à ce contenu. Là encore, il faut passer par l’achat d’une solution de cross device.
• Enfin, le crossdevice bénéficie d’une mise en ligne rapide.
Comment définir son cœur de cible ?
Pour créer une campagne cross device, il faut être très précis. Le cœur de la cible doit être identifié avec précision car il s’agit de personnes aux besoins et aux envies bien précis. En fonction du produit ou du service que vous commercialisez, le cross device sera donc utilisé de manière différente. La bonne adresse mail, le bon site internet pour la vente, le bon smartphone et la tablette à utiliser, le bon mode de communication : autant de paramètres qui entrent en compte dans le choix du cross device.
Définir son audience est primordial. Certains cross device vont générer plus de trafic que d’autres. Il faut donc être très précis sur la cible à atteindre. C’est pour cela qu’il est nécessaire de mettre en place une stratégie marketing cross device.
Quel budget ? Quelle cible ? Quel contenu ?
Le cross device est un outil de communication et de marketing performant. Mais cet outil a un coût. Il faut donc s’assurer que l’on a bien une stratégie claire sur les objectifs à atteindre. Dans ce cas, on peut se tourner vers une agence spécialisée en marketing digital.
La rédaction d’un brief est également nécessaire pour le cross device. L’idée est de définir précisément les contenus à mettre en place. Le budget sera donc plus ou moins important en fonction de ces contenus.
5. Les contraintes du cross device
Le cross device est un outil de communication très efficace dans la mesure où il permet aux entreprises de toucher plusieurs personnes en même temps. Il est donc intéressant pour les entreprises de le mettre en place. Mais tous les supports ne peuvent pas toujours être utilisés pour le cross device.
Les différents supports utilisés pour le cross device
Les supports qui peuvent être utilisés sont divers. Il y a, par exemple, des applications pour smartphones et tablettes. Mais on peut aussi trouver des widgets pour les sites internet. Il y a aussi les réseaux sociaux qui sont des supports de communication qui permettent de toucher un large public. Pour l’instant, on peut également trouver des annonces dans les médias écrits et audiovisuels.
Il y a aussi des outils qui permettent de créer des emails personnalisés. Il s’agit d’une forme de cross device à travers l’email. Les supports utilisés pour le cross device sont donc divers, il faut donc bien choisir les supports qui correspondent à l’entreprise.
A titre d’exemple, il y a les applications pour smartphones et tablettes qui sont très utilisées. Il y a aussi les sites internet qui sont des supports qui permettent de toucher un large public. Pour les emails, il est important de bien choisir les destinataires car l’email permet de toucher plusieurs personnes en même temps.
Conclusion sur le cross device marketing
Le cross device marketing est un outil qui permet de toucher plusieurs personnes en même temps.
Pour réussir son cross device marketing, il faut bien choisir les supports selon sa cible. De plus, il faut savoir quels sont les supports qui sont les plus adaptés à la cible. Il faut aussi tout mettre en œuvre pour que l’entreprise ait des résultats positifs.
Source de l’article : www.instants-web-agency.fr
Comment installer Ubuntu sur votre ordinateur en toute simplicité ?
1. Introduction
Ubuntu est un système d’exploitation libre et gratuit (dérivé du projet Debian). Il s’agit d’un logiciel libre qui vous permet de tester la dernière version d’Ubuntu avant de l’installer sur votre ordinateur. Vous pouvez donc tester Ubuntu avant de l’installer sur votre ordinateur. Vous pouvez ensuite installer le système en toute simplicité. Ubuntu est destiné à tous les utilisateurs d’ordinateurs, quel que soit leur niveau de compétence.
Vous pouvez donc tester Ubuntu avant de l’installer sur votre ordinateur. Vous pouvez ensuite installer le système en toute simplicité. Ubuntu est destiné à tous les utilisateurs d’ordinateurs, quel que soit leur niveau de compétence.
2. Prérequis
Vous devez disposer d’un ordinateur, d’une carte réseau (avec un câble réseau), et d’un CD-ROM ou DVD-ROM avec un lecteur de DVD ou d’une clé USB pour démarrer Ubuntu sur cette clé. Vous devez également disposer d’un PC compatible avec Ubuntu et d’un ordinateur portable compatible avec Ubuntu. Pour plus d’informations, consultez : http://www.ubuntu.com/getubuntu
3. Installation
Ubuntu est distribué gratuitement sur Internet. Il est possible de le télécharger à partir de http://www.ubuntu.com/download. Vous pouvez l’installer sur votre ordinateur et l’utiliser en tant qu’ordinateur de bureau ou de serveur, ou encore l’installer sur une clé USB et l’utiliser comme système d’exploitation portable. La procédure d’installation est simple et ne prend pas plus d’une demi-heure.
Quelques notions d’informatique sont nécessaires pour installer Ubuntu. Ensuite, vous pouvez commencer l’installation.
Suivez les étapes de la procédure d’installation fournie ci-dessous :
1. Téléchargez Ubuntu à partir de http://www.ubuntu.com/getubuntu.
2. Une fois le fichier téléchargé, décompressez-le sur votre ordinateur (vous pouvez utiliser un logiciel de compression/décompression, comme Winzip ou 7-Zip) ou utiliser rufus pour créer une clé usb bootable.
3. Lancez l’installateur d’Ubuntu via la clé usb que vous aurez créé.
Il vous faudra modifier l’ordre du démarrage dans le bios de votre pc.
Il est normalement placé dans le répertoire de votre choix. Lisez attentivement les informations de l’écran d’introduction et appuyez sur l’icône Installer Ubuntu. Suivez les instructions à l’écran.
Une fois l’installation terminée, vous pouvez démarrer votre ordinateur et utiliser Ubuntu comme système d’exploitation. Pour plus d’informations sur l’installation d’Ubuntu, consultez la documentation de Ubuntu qui est disponible ici : http://help.ubuntu.com/community/Installation
Un système d’exploitation libre et gratuit est plus convivial à utiliser et à partager qu’un système d’exploitation propriétaire comme Windows. Les logiciels libres ne vous demandent pas de payer des licences, ce qui vous permet de les utiliser gratuitement. Ces logiciels sont également plus faciles à comprendre que les logiciels propriétaires.
4. Démarrer et installer des applications
Une fois que vous avez installé Ubuntu, vous pouvez démarrer et installer des applications.
Démarrer l’ordinateur. L’ordinateur affiche la page d’accueil Gnome, où vous pouvez lancer les applications dont vous avez besoin.
Pour installer des applications, cliquez dans le coin supérieur gauche sur l’icône Ubuntu Software Center.
Cliquez dans le coin supérieur gauche de l’écran sur l’icône Ubuntu Software représenté pour une valise dans la barre de menu à gauche de votre écran.
Cliquez sur Installer pour lancer le programme d’installation des applications.
Cliquez sur la catégorie d’application que vous souhaitez installer. Les applications de cette catégorie s’affichent.
5. Utiliser Ubuntu
Après avoir installé les applications dont vous avez besoin, vous pouvez commencer à utiliser Ubuntu.
Afficher le menu. Pour afficher le menu, cliquez sur le bouton du coin supérieur droit de l’écran.
Lancer un logiciel. Cliquez sur l’icône du logiciel dans le menu pour démarrer le logiciel.
Lancer un programme par commande. Vous pouvez également lancer un logiciel par commande en tapant cette commande dans une fenêtre de terminal et en appuyant sur la touche Entrée de votre clavier :
cd /Applications/blabla.app
Ça y’est vous êtes prêts à utiliser Ubuntu !!!
Nous mettons à votre disposition une formation de développeur web pour apprendre à créer des sites modernes et optimisés. Cette formation est finançable via votre cpf.
Source de l’article : www.instants-web-hosting.fr
Comment choisir sa distribution Linux pour le travail et le développement web ?
Linux est le système d’exploitation le plus populaire dans le monde des serveurs Web. Les distributions populaires et les OS sont plus populaires encore. Néanmoins, il existe une multitude de distributions Linux et la plupart d’entre elles sont « orientées développement ». La plupart des utilisateurs Linux ne jurent que par Ubuntu, Debian, Fedora et cie. Mais pour les développeurs Web, ces distributions ne sont pas les plus appropriées. Cette conférence vous dévoilera des distributions qui sont utilisées par de nombreux développeurs Web dans le monde.
Nous allons découvrir ensemble les distributions, leurs philosophies et leurs utilisations pratiques. Nous verrons quelques-unes des applications populaires pour créer des sites Web. Enfin, nous vous aiderons à installer la distribution Linux sur votre ordinateur afin d’avoir l’expérience d’un développeur Web Linux.
1. Les distributions Linux populaires pour le développement Web
Cette session vous permettra d’évaluer les distributions populaires pour le développement Web et vous donnera un aperçu de la philosophie de chaque distribution et des applications qu’elles utilisent. Nous verrons également comment installer la distribution Linux sur votre ordinateur.
Les distributions Linux populaires pour le développement Web sont :
- Ubuntu
- Debian
- Fedora
Celles-ci ont des philosophies différentes et sont toutes élaborées par des communautés différentes. Nous allons voir comment ces distributions sont utilisées par de nombreux développeurs Web.
Il est important de bien comprendre la philosophie d’une distribution, ainsi que la philosophie d’un logiciel spécifique utilisé par une distribution.
Ubuntu
Ubuntu est une distribution Linux basée sur Debian, elle est distribuée par Canonical (http://www.canonical.com).
Elle est très populaire auprès des développeurs Web notamment en raison de sa distribution d’édition courante, Ubuntu Desktop Edition.
La distribution Ubuntu distribue le navigateur Firefox, l’éditeur de texte Vim, l’éditeur d’images GIMP, l’éditeur de code source éditeur XEmacs, la suite bureautique OpenOffice.org et bien d’autres applications.
Debian
Debian est une distribution stable et fiable pour les ordinateurs de bureau distribuée par le projet Debian (http://www.debian.org). Elle a été créée par Ian Murdock, le 1er janvier 1993.
Debian est très populaire auprès des développeurs Web notamment en raison de sa distribution d’édition courante, Debian Desktop Edition. Elle est également populaire parmi les utilisateurs de serveurs Linux.
La distribution Debian distribue le navigateur Firefox, l’éditeur de texte Vim, l’éditeur d’images GIMP, l’éditeur d’exécutable WINE, l’éditeur de code source éditeur XEmacs, la suite bureautique OpenOffice.org et bien d’autres applications.
Fedora
Fedora est une distribution Linux populaire pour les ordinateurs de bureau distribuée par le projet Fedora (http://www.fedoraproject.org). Elle est née de la volonté de Red Hat d’établir en 2003 une distribution dédiée au support de sa plate-forme de logiciels libres Red Hat Linux, qui était alors en développement depuis plusieurs années.
La distribution Fedora distribue le navigateur Firefox, l’éditeur de texte Vim, l’éditeur d’images GIMP, l’éditeur d’exécutable WINE, l’éditeur de code source éditeur XEmacs, la suite bureautique OpenOffice.org et bien d’autres applications.
Kubuntu
Kubuntu (http://www.kubuntu.org) est une distribution Linux dérivée de la distribution Ubuntu (http://www.ubuntu.com). Elle est basée sur le système d’exploitation KDE (http://www.kde.org).
La distribution Kubuntu distribue le navigateur Firefox, l’éditeur de texte Vim, l’éditeur d’images GIMP, l’éditeur d’exécutable WINE, l’éditeur de code source éditeur XEmacs, la suite bureautique OpenOffice.org et bien d’autres applications.
Zorin OS
Zorin OS (https://www.zorin-os.com) est une distribution Linux dérivée de la distribution Lubuntu (http://www.lubuntu.net). Elle est basée sur le système d’exploitation GNOME (https://www.gnome.org).
La distribution Zorin OS distribue le navigateur Firefox, l’éditeur de texte Vim, l’éditeur d’images GIMP, l’éditeur d’exécutable WINE, l’éditeur de code source éditeur XEmacs, la suite bureautique LibreOffice.org et bien d’autres applications.
Zorin OS est un système d’exploitation pour les utilisateurs débutants et qui souhaitent utiliser un système d’exploitation basé sur le système d’exploitation Ubuntu mais avec une interface utilisateur légèrement modifiée pour ressembler à Windows.
Mandriva
Le développement de la distribution Linux Mandriva a commencé en 1999. Ce projet était initialement appelé Mandrake Linux, mais le nom a été changé en 2004 pour prendre le nom de Mandriva.
Le but premier de cette distribution est d’être simple d’utilisation, configurable et accessible au plus grand nombre. C’est la raison pour laquelle elle est disponible dans une très grande variété de langues.
Un des points forts de la distribution Linux Mandriva est son centre de paquets, qui permet d’installer des applications supplémentaires, grâce à un seul clic de souris.
Le centre de paquets peut être personnalisé par le biais d’une interface graphique.
Cette distribution est encore considérée comme une distribution Linux « légère », car elle a été conçue pour répondre aux besoins des utilisateurs qui n’ont pas besoin de faire beaucoup de choses à part du surf sur internet. Elle est rapide et facile à installer.
Mandriva n’est plus une distribution Linux officielle depuis la vente de la société par les créateurs.
Linux Mint
Linux mint est une distribution Linux basée sur Ubuntu.
Cette distribution est très appréciée des utilisateurs car elle est simple d’utilisation, et facile à installer.
La distribution Linux Mint a été créée par une équipe de développement de membres de la communauté Ubuntu. C’est pourquoi cette distribution est basée sur celle-ci et contient le système d’exploitation Ubuntu, avec quelques modifications en plus.
Les différences avec Ubuntu sont plus visibles. Ainsi, les icônes sont différentes et les fenêtres sont dans un tout autre style.
Suse linux
Suse linux est une distribution de Linux basée sur Red Hat.
Cette distribution contient de nombreux logiciels libres, ce qui lui permet d’être utilisée comme une distribution linux professionnelle.
Cette distribution a été créée au début du développement de Linux, c’est pourquoi elle détient plusieurs années d’expérience.
Mageia
Mageia est une distribution Linux basée sur Mandriva.
Cette distribution est très appréciée car elle aété créée par une équipe de développement de la communauté Mandriva. C’est pourquoi cette distribution est en partie basée sur celle-ci et contient le système d’exploitation Mandriva.
Mageia se distingue par sa stabilité, son interface utilisateur et ses logiciels développés sous licence libre.
Red hat
RedHat est une distribution basée sur Fedora.
Cette distribution est très appréciée car elle aété créée par une équipe de développement de la communauté Fedora. C’est pourquoi cette distribution est en partie basée sur celle-ci et contient le système d’exploitation Fedora. Red Hat se distingue par sa stabilité, son interface utilisateur et ses logiciels développés sous licence libre.
CentOS
CentOS est une distribution basée sur Red Hat.
Cette distribution est très appréciée car elle aété créée par une équipe de développement de la communauté Red Hat. C’est pourquoi cette distribution est en partie basée sur celle-ci et contient le système d’exploitation Red Hat. CentOS se distingue par sa stabilité, son interface utilisateur et ses logiciels développés sous licence libre.
2. Les distributions Linux les plus conseillées pour les débutants, les développeurs et les mordus de l’open source.
Ceux qui sont nouveaux à l’informatique, qui ont peu d’expérience avec l’utilisation d’un ordinateur ou qui ont beaucoup de difficultés à utiliser un système d’exploitation Windows (par exemple à cause d’un âge avancé ou d’une incapacité physique) doivent commencer par utiliser une distribution Linux.
Les distributions Linux les plus conseillées pour les débutants sont celles basées sur le système d’exploitation Ubuntu, comme par exemple Lubuntu, Kubuntu, Ubuntu Studio et Xubuntu.
Les distributions Linux les plus conseillées pour les développeurs sont celles basées sur le système d’exploitation Debian, comme par exemple Devuan GNU/Linux et Siduction.
Les distributions Linux les plus conseillées pour les mordus de l’open source sont celles basées sur le système d’exploitation Slackware, comme par exemple Salix OS et SliTaz GNU/Linux.
Les distributions Linux les plus conseillées pour des utilisateurs avancés sont celles basées sur le système d’exploitation Arch Linux, comme par exemple ArchBang, Manjaro Linux.
Les distributions Linux les plus conseillées pour les utilisateurs de tablettes tactiles sont celles basées sur le système d’exploitation Android, comme par exemple Remix OS, Android-x86, Paranoid Android, AOKP (Android Open Kang Project) et CyanogenMod.
Les distributions Linux les plus conseillées pour les utilisateurs de smartphones sont celles basées sur le système d’exploitation Android, comme par exemple CyanogenMod.
Et les distributions Linux les plus conseillées pour les utilisateurs de serveurs sont celles basées sur le système d’exploitation Ubuntu, comme par exemple Ubuntu Server et Debian GNU/Linux.
3. Pour qui Linux est-il recommandé ?
Linux est recommandé pour tous ceux qui s’intéressent à un système d’exploitation libre, qui a un bon support, qui est gratuit, et qui est très performant.
Linux est recommandé pour les utilisateurs qui veulent bénéficier d’une communauté très active. Une communauté qui propose des milliers de logiciels gratuits ou libres.
Linux est recommandé pour les utilisateurs ayant besoin d’un système d’exploitation stable, qui n’est pas sujet aux virus et qui n’est pas compromis par des pirates informatiques.
Linux est recommandé pour les utilisateurs qui recherchent une alternative à Windows ou Mac OS X.
Linux est recommandé pour les utilisateurs qui veulent bénéficier d’un système d’exploitation compatible avec la plupart des ordinateurs.
Linux est recommandé pour les utilisateurs que le monde libre passionne.
5. Les avantages de Linux
Linux est un système d’exploitation libre, c’est-à-dire que vous avez le droit de l’utiliser et de le partager avec les autres.
Linux vous offre la possibilité d’installer et d’utiliser un logiciel gratuit ou libre, en toute confiance. Vous n’avez pas à payer un abonnement, et vous n’êtes pas obligé de renoncer à vos libertés.
Linux est un système d’exploitation stable, qui ne plante pas, ne fait pas de bogue et ne vous empêche pas de travailler.
Linux est un système d’exploitation qui n’est pas influencé par les intérêts commerciaux d’une compagnie privée.
Linux est un système d’exploitation qui offre une alternative aux produits propriétaires comme Windows et Mac OS X.
Linux est un système d’exploitation qui peut fonctionner sur la plupart des ordinateurs.
6. Les inconvénients de Linux
- Linux est un système d’exploitation libre, c’est-à-dire que vous n’êtes pas sûr de bénéficier de l’aide de la communauté.
- Linux est un système d’exploitation stable, qui ne plante pas, ne fait pas de bogue et ne vous empêche pas de travailler.
- Linux n’a pas toujours la reconnaissance qu’il mérite.
- Linux est un système d’exploitation qui n’est pas influencé par les intérêts commerciaux d’une compagnie privée.
- Linux n’est pas toujours facile à installer et à utiliser.
- Linux n’est pas toujours facile à dépanner.
- Les logiciels libres sont souvent moins jolis, moins intuitifs et moins faciles à utiliser que ceux commercialisés par des sociétés comme Microsoft, Apple et Adobe.
- Linux n’est pas toujours disponible sur les ordinateurs portables d’entrée de gamme, et il est difficile de trouver un ordinateur portable avec Linux préinstallé .
Dans notre prochaine article nous allons vous aider à installer Ubuntu sur votre ordinateur.
Source de l’article: www.instants-web-agency.fr
Comment référencer votre site avec des médias sociaux et des backlinks efficaces ?
Contrairement à la croyance populaire, il n’y a pas qu’une seule façon de se référencer efficacement. Cela varie en fonction du secteur d’activité, du site web et du but recherché. Voici un guide qui vous dévoile les secrets pour référencer un site web efficacement.Déterminer le meilleur moyen d’atteindre le but visé
La première étape est de déterminer ce que vous recherchez. Quel est votre objectif ? Quel est votre but ? Par exemple, si vous souhaitez attirer des visiteurs sur votre site web, il est important de savoir quelle quantité vous voulez atteindre et quel type de visiteurs rechercher. Vous pourriez transformer les visiteurs en clients à travers votre site web, mais pas de la même manière que si vousutilisiez votre site pour gagner de la notoriété ou de la réputation.Déterminer le meilleur moyen d’atteindre le but visé consiste à choisir un objectif et à déterminer comment vous pourrez l’atteindre.
Définir les mots clés
Les mots clés sont une partie importante dans la compétition sur le web. Les mots clés sont ce que les gens utilisent pour rechercher les choses qu’ils veulent sur Google, Yahoo, Bing et d’autres moteurs de recherche. Ils sont aussi utilisés dans l’outil de recherche sur un site web, mais les mots clés ne sont pas toujours les mêmes que ceux utilisés pour rechercher sur Google. Les mots clés sont une partie importante dans la compétition sur le web. Les mots clés sont généralement trois à cinq mots et peuvent être utilisés dans toute la description de votre site web, le titre de votre page et le corps du texte. Il est plus important de choisir les bons mots clés que de choisir un grand nombre de mots clés. Les mots clés sont une partie importante dans la compétition sur le web. Ils sont aussi utilisés dans l’outil de recherche sur un site web, mais les mots clés ne sont pas toujours les mêmes que ceux utilisés pour rechercher sur Google. Les mots clés sont généralement trois à cinq mots et peuvent être utilisés dans toute la description de votre site web.2. Les backlinks
Un backlink est un lien vers votre site web ou un lien vers l’un de vos billets de blog. Si vous aimez un site web ou un article, vous pouvez cliquer sur les liens “Aimez” ou “J’aime” et le site sera ajouté à votre liste de backlinks. Les backlinks sont une partie importante de la compétition sur le web. C’est l’un des outils utilisés par les moteurs de recherche pour calculer la popularité de votre site web. Le plus d’autres sites qui font des liens vers votre site signifie que plus d’utilisateurs sont susceptibles de visiter votre site web. Il est important de ne pas trop se prévaloir des backlinks. Si vous avez une série de liens vers votre site web, vous aurez besoin d’autres mots clés pour garder votre positionnement naturel.Conseils pour les mots clés et les backlinks
Les mots clés et les backlinks peuvent être utilisés dans toutes les parties du contenu de votre site. Les titres, les descriptions et l’URL du site peuvent tous être optimisés avec des mots clés et des backlinks. En utilisant votre site web, vous pourriez avoir suffisamment de mots clés et de backlinks pour vous permettre de passer de votre positionnement naturel à la première page du moteur de recherche. Les mots clés et les backlinks peuvent aussi être utilisés pour créer des billets de blog. Une fois que vous avez les mots clés et les backlinks, un autre billet peut être rédigé autour d’un thème similaire. Ce billet de blog peut être publié avec vos mots clés et vos backlinks. Les mots clés et les backlinks dans le billet seront indexés rapidement et pourront signifier que votre site web est une source autorisée sur le sujet sur lequel il se porte. Rédiger des billets de blog peut être difficile pour certains, si ce n’est pas votre fort, nous vous proposons des offres pour la création de contenus optimisés vous permettra de trouver des gens qui sont prêts à rédiger un billet de blog pour vous et le publier sur votre site web. Une fois que vos billets de blog sont publiés, elles seront indexées très rapidement et pourront vous aider à augmenter votre positionnement naturel. En ce qui concerne le backlink, vous devrez être sûr de ne pas faire de spam ou de liens artificiels. Si vous utilisez un robot pour créer des liens, ils seront bien vite détectés par Google et vous serez pénalisé par le moteur de recherche. Si vous souhaitez créer vos propres liens, vous devez être prêt pour cela et savoir où vous pouvez les placer efficacement. En passant par le référencement naturel, le placement des liens sur votre site web est important pour votre référencement. Le référencement naturel est plus complexe que le référencement payant et le moyen le plus approprié de le faire est d’utiliser des liens internes sur votre site web. Les liens internes sur votre site web sont des liens qui vous renverront à une page de votre site web dans un autre article de votre site web. Ces liens internes sont très efficaces et peuvent vous aider à améliorer votre positionnement naturel. En utilisant cette technique, vous ne pourrez pas tous les utiliser sur votre page d’accueil, mais vous pouvez toujours les placer sur d’autres pages qui sont d’autres sujets que le sujet principal de votre site web. Il est également important de mettre des liens sur des sites qui sont dans le même domaine que votre site web et qui ont des pages de qualité. Ne mettez pas de liens sur des sites dont les sujets ne sont pas du tout en rapport avec votre domaine. C’est une technique très efficace pour améliorer votre positionnement, mais si vous n’utilisez pas la même stratégie sur tous les sites de votre domaine, le moteur de recherche peut vous pénaliser. Cela signifie que vous ne pouvez pas avoir trop de liens sur une page de votre site. Si vous avez une page qui contient beaucoup de liens, vous pouvez avoir des problèmes de positionnement et les moteurs de recherche peuvent penser que c’est un spam. Pour éviter cela, vous devriez créer des liens internes dans un certain nombre de pages, mais pas trop. Cela peut prendre du temps et cela peut être un travail ardu, mais c’est ce qui fonctionne le mieux pour votre positionnement.Autres techniques de référencement
Il y a d’autres techniques que vous pouvez utiliser pour améliorer votre positionnement, mais n’oubliez pas qu’il vaut mieux les utiliser avec la bonne stratégie. Le but du SEO est d’avoir un bon positionnement auprès des moteurs de recherche, alors soyez sûr de suivre les règles que nous avons mentionnées. Vous pouvez utiliser les liens sponsorisés sur Google Adwords. En fait, le partenaire de Google, Bing, a des liens sponsorisés sur son site, donc ne négligez pas cette possibilité. Vous pouvez aussi utiliser des liens sponsorisés sur Facebook et Instagram, mais cela peut vous coûter cher. Vous pouvez également utiliser les liens sponsorisés sur les sites comme Reddit ou d’autres forums. Vous devriez essayer ces techniques si vous voulez être très visible sur le web. Mais vous devez faire attention à ce que vous faites. Ne vous concentrez pas uniquement sur les liens sponsorisés, car ils ne sont pas aussi efficaces que les liens organiques. Avec tous les avantages que nous avons mentionnés, le SEO est la meilleure façon de générer du trafic vers votre site. Il est important de suivre les règles et d’avoir une stratégie pour obtenir des résultats positifs.3. Les liens d’autorité
Le terme de lien d’autorité est utilisé pour décrire les liens qui sont placés sur des sites qui ont une réputation élevée. Ces sites sont appelés des sites d’autorité. Avec le nombre croissant de liens, la distance entre le site et le site source est devenue un facteur important. Le lien d’autorité est le lien qui indique la proximité du site et du site source. Pour être très clair, les liens d’autorité sont très importants parce qu’ils sont vus comme un moyen de jauger la qualité du site. Par exemple, si vous êtes en train d’évaluer la qualité du site web de votre client, vous souhaitez voir des liens d’autorité. Les liens d’autorité sont difficiles à obtenir, car ils sont en grande demande. Ils sont surtout valorisés par les utilisateurs et les moteurs de recherche. Les utilisateurs valorisent les liens d’autorité parce qu’ils savent que ces liens indiquent la qualité du site. Les moteurs de recherche valorisent les liens d’autorité parce qu’ils savent que les liens d’autorité indiquent la qualité du site. Cela signifie que les liens d’autorité sont une partie importante de la stratégie d’accroissement du trafic du site.Comment obtenir des liens d’autorité
Obtenir des liens d’autorité est un processus long et complexe. De plus, il n’y a pas de méthode garantie pour obtenir des liens d’autorité. Cependant, il existe quelques stratégies pour maximiser vos chances de faire valoir vos liens d’autorité. La première étape est de faire la promotion de votre site. Cela signifie que vous avez besoin de créer une communauté sur votre site internet. Les utilisateurs aiment les sites qui sont constamment mis à jour et les moteurs de recherche aiment les sites qui ont une communauté active. La seconde étape est de créer un contenu exceptionnel. Les liens d’autorité sont associés au contenu exceptionnel. Vos utilisateurs ne voudront pas créer un lien vers votre site si il n’est pas pertinente pour leur domaine de compétence. La troisième étape est de vous assurer que votre contenu est accessible au plus grand nombre possible de personnes. Créer des liens vers votre site à partir de sites amis peut amener des visiteurs à votre site, mais cela ne va pas vous permettre d’obtenir des liens d’autorité pour un bon contenu. La quatrième étape est de demander des liens d’autorité à vos clients. Vous pouvez demander des liens d’autorité à vos clients en utilisant un formulaire sur votre site internet. Cependant, la meilleure façon de recevoir des liens d’autorité de vos clients est de leur donner le contenu qui répond aux besoins de leurs clients et leur permettre de vous faire une référence dans leur propre contenu. Les stratégies que vous utilisez pour gagner des liens d’autorité peuvent différer selon la nature de votre site internet. Vous pouvez utiliser les liens d’autorité pour attirer les visiteurs sur votre site, mais vous devez être prêt à investir du temps et de l’argent dans le contenu exceptionnel de votre site. La plupart des experts conseillent de ne pas espérer des liens d’autorité à partir de sites qui n’ont pas plus d’un an et seulement quelques centaines ou milliers de pages indexées par Google. L’une des meilleures façons d’obtenir des liens d’autorité est de créer de bonnes relations avec vos clients. Vous pouvez leur demander s’ils peuvent mettre un lien vers votre site internet dans leur propre contenu ou leur demander de faire une critique de votre produit ou service. Les stratégies que vous utilisez pour gagner des liens d’autorité peuvent différer selon la nature de votre site Internet (à savoir, votre site web en lui-même, un blog ou un site de réseautage social). Vous pouvez utiliser les liens d’autorité pour attirer les visiteurs sur votre site, mais vous devez être prêt à investir du temps et de l’argent dans le contenu qui a de la valeur.4. Les médias sociaux
À ce stade, vous avez peut-être l’impression que gagner des liens d’autorité est un travail fastidieux et que vous devez passer beaucoup de temps à trouver des liens et à créer du contenu de bonne qualité. Les médias sociaux, comme Facebook et Twitter, pourraient être une solution. Les médias sociaux peuvent vous faire gagner des liens d’autorité, mais il y a une limite à ce qu’ils peuvent faire pour vous. Bien que les médias sociaux puissent vous apporter des liens d’autorité, ils ne peuvent pas vous aider à créer du contenu de qualité. Vous devez toujours être prêt à investir du temps et de l’argent dans le contenu que vous publiez sur votre site web. Ensuite, vous pouvez tenter d’obtenir des liens vers votre contenu de votre communauté de fans sur les médias sociaux. Cela peut être très utile, mais ce ne sont que des liens indirects. Il y a une différence entre un lien direct et un lien indirect. Un lien direct est un lien vers votre site web, alors que les liens indirects sont des liens vers d’autres sites qui ont lié à votre contenu. Les médias sociaux ne peuvent pas vous apporter des liens directs, mais ils peuvent vous aider à obtenir des liens indirects vers votre contenu via la publication de liens vers d’autres sites sur lesquels vous avez publié du contenu. Cela peut également vous aider à obtenir des liens vers un nombre plus important de sites, ce qui peut accélérer la vitesse à laquelle les liens s’affichent dans les résultats de recherche. Les médias sociaux peuvent vous aider à créer du contenu, mais ils ne peuvent pas créer votre contenu de qualité. Vos efforts à la création de contenus et le travail que vous développez sur votre site web doivent être les priorités. Comment les médias sociaux peuvent-ils vous aider à améliorer votre trafic de site web ? Vous devez comprendre que les médias sociaux ne peuvent pas vous aider à augmenter votre trafic de site web gratuitement. Il n’y a rien d’illégal à utiliser ces valeurs, mais le résultat que vous obtiendrez ne sera pas automatique. Pour commencer, vous devez développer une stratégie sur Facebook ou d’autres plateformes sociales. Cela signifie que vous devez devoir passer du temps à comprendre comment ces outils fonctionnent et quelles sont les meilleures pratiques. Pour l’exemple de Facebook, vous devez être capable de créer des publications qui attireront l’attention des gens et qui tiendront leur attention. Cela signifie que vous devez savoir comment créer des images attrayantes, des vidéos intéressantes et des contenus traitant d’événements qui sont pertinents. Ensuite, vous devez développer une stratégie de médias sociaux pour votre site web. Si vous ne comprenez pas comment les médias sociaux peuvent vous aider à augmenter le trafic de votre site web et à générer du trafic vers celui-ci, alors vous devez vous demander ce que vous faites sur Facebook ou un autre site social. Soyez honnête avec vous-même et si vous n’avez rien à dire, alors n’utilisez pas les médias sociaux. Si vous êtes de ceux qui pensent qu’ils peuvent simplement créer un site web pour promouvoir leurs produits ou services et que les gens vont venir à eux, alors vous devez réviser votre approche. Si vous ne voyez pas pourquoi il est important d’avoir un site web et que vous ne comprenez pas comment optimiser votre site, alors vous pouvez vous inscrire à notre formation dédiée aux réseaux sociaux en cliquant sur ce lien.5. La page de résultats du moteur de recherche Google
Quand il s’agit de SEO, la page de résultats du moteur de recherche Google est l’endroit où vous voulez être car c’est là que le trafic et le trafic qualifié arrivent. Aujourd’hui, un grand nombre de gens passent par le moteur de recherche Google pour trouver les sites web et les informations qu’ils cherchent. Il y a une raison pour laquelle Google a été établi comme le leader du marché et cela commence avec la qualité de ses résultats de recherche. Les résultats de recherche Google sont organisés et faciles à trouver. Chaque fois que quelqu’un fait une recherche sur Google, il ou elle va chercher la première page des résultats. Ce que les gens ne savent pas est que vous pouvez définir les pages de résultats de Google et si vous ne faites pas, alors Google le fera pour vous. Si vous avez pas prévu d’être sur la première page des résultats de recherche, consultez notre site internet internet www.instants-web-agency.fr pour découvrir nos offres de référencement. La première page des résultats de recherche Google est aussi appelée la première page naturelle. Cela signifie que vous obtenez une présence sur la première page des résultats de recherche avec les mots clés qui correspondent au contenu de votre site web. Un bon référenceur devrait être capable de vous faire arriver sur la première page des résultats de recherche en un rien de temps. Vous vous demandez probablement pourquoi vous devriez faire confiance à un professionnel du référencement plutôt que de le faire votre-même. Le référencement naturel est un domaine très complexe et certaines choses sont assez difficiles à comprendre pour quelqu’un qui n’a pas d’expérience. Les entreprises qui offrent des services de référencement naturel sont les meilleures du marché, et ils ont des équipes de spécialistes qui travaillent sur les différents aspects du référencement naturel. Le référencement naturel est un processus qui est très long et exige beaucoup de travail, mais si vous obtenez un bon Référencement, vous obtiendrez des résultats positifs. Choisissez le bon référenceur et vous serez sur la première page des résultats de recherche. Trouver un bon référenceur peut être un processus difficile, car il y a beaucoup d’entreprises qui offrent des services de référencement naturel. La plupart de ces entreprises se présentent comme des experts dans le domaine, mais ce n’est pas toujours le cas. Lorsque vous êtes à la recherche d’une entreprise spécialisée dans le référencement naturel, vous devriez vous renseigner sur les certifications ou qualifications qu’elle possède. Vous voulez travailler avec une personne qui est qualifiée et qui a des qualifications professionnelles. Avant de vous lancer dans un projet de référencement naturel, vous devriez d’abord en apprendre plus sur le processus de référencement. Vous devez savoir aussi que le référencement ne peut pas faire tout le travail pour vous, il doit être accompagné d’autres actions. Source de l’article : www.instants-web.frLe guide ultime pour créer des landing pages qui convertissent.
La création d’une landing page est un moyen simple et rapide d’augmenter le trafic de votre site web et de booster vos ventes. Il existe cependant de nombreuses erreurs à éviter pour garantir la réussite de ces pages. Voici donc le guide ultime pour créer des landing pages qui convertissent.
1. Qu’est-ce qu’une landing page ?
Une landing page est une page web qui a pour but de convertir un visiteur en client. Elle est créée pour être le moyen le plus efficace possible d’amener un prospect à atteindre son objectif.
Avant de créer une landing page, il est important de savoir quels sont les objectifs que vous voulez atteindre avec cette page et comment vous pouvez les atteindre.
Par exemple, si votre objectif est de générer plus de trafic ou de conversions, il est préférable d’utiliser des outils de génération de trafic comme les campagnes AdWords (c’est-à-dire des annonces publicitaires) ou bien le marketing viral.
Néanmoins, si votre objectif est d’augmenter les ventes ou l’engagement de vos clients, il est préférable de créer une landing page. La bonne nouvelle est que vous pouvez faire les deux en même temps.
Une landing page est un outil puissant qui a beaucoup d’avantages pour votre site web et votre business. Elle vous permet de capturer l’attention des prospects et de les convertir en clients, en augmentant le taux de conversion de votre site Web.
Cependant, une landing page est plus qu’un simple site web qui comporte du texte et des images, c’est un outil marketing. C’est pourquoi il est important de créer la meilleure landing page possible qui correspond à vos objectifs et à vos besoins.
Ce guide vous expliquera le processus simple et facile à suivre pour créer une landing page qui convertit
2. Pourquoi créer des landing pages ?
Une landing page est un outil marketing qui vous permet d’attirer les visiteurs vers votre site web pour gagner de l’argent ou pour augmenter le nombre d’inscrits.
Le principal objectif d’une landing page est d’augmenter les inscriptions à votre liste de diffusion et les ventes. Vous pouvez aussi utiliser une landing page pour collecter des informations personnelles de vos clients.
Voici quelques raisons pour lesquelles vous devriez avoir une landing page sur votre site web :
- Augmenter le trafic vers votre site
- Augmenter la visibilité de votre entreprise
- Augmenter vos ventes
- Augmenter le nombre d’inscriptions à votre liste de diffusion
- Augmenter le nombre de clients
- Augmenter la conversion des prospects en clients
3. Comment créer des landing pages ?
1. Commencez par définir vos objectifs
Tout d’abord, vous devez définir vos objectifs. Il est important de savoir à quoi vous aspirez avant de pouvoir réaliser vos objectifs. Pensez bien à ce que vous souhaitez et à ce qui vous permettra d’atteindre votre but avant d’engager des dépenses.
2. Faites un plan
Maintenant que vous avez défini vos objectifs, il est temps de les réaliser. Vous devez définir un plan d’action et prévoir les ressources nécessaires pour y arriver. Faites en sorte que votre plan d’action soit adapté à vos objectifs, sinon vous risquerez de ne pas être efficace.
3. Trouvez une place pour votre landing page
Une fois que vous avez défini vos objectifs et que vous avez élaboré un plan d’action, il est temps de trouver une place pour votre landing page. En effet, vous devez choisir le bon endroit pour que votre page soit visible et accessible. On peut par exemple choisir un site de référencement, un site d’annonces ou un blog.
Créez une landing page
Une fois que vous avez défini votre public cible, votre plan d’action et le support de votre landing page, il est temps de créer la page. Vous pouvez faire cela seul, mais vous pouvez aussi faire appel à l’aide d’un spécialiste en contact notre agence web Une fois la page créée, il ne vous reste plus qu’à la mettre en ligne sur le site dédié.
Maintenant que vous avez toutes les informations nécessaires pour créer une landing page, vous êtes prêt à créer votre propre page et à réaliser vos objectifs. N’oubliez pas que les meilleurs résultats ne viennent pas du jour au lendemain. Il faut du temps et de la patience pour faire connaître votre page et gagner des clients.
4. La recette secrète pour réussir sa landing page
Vous avez créé votre page et vous l’avez mise en ligne sur Internet. Et maintenant ? Comment faire pour que vos visiteurs s’inscrivent à votre newsletter, entrent dans votre liste de contacts ou téléchargent votre ebook ? L’une des clés pour réussir est d’utiliser une landing page qui correspond exactement au profil de vos visiteurs. Pour cela, il est important de connaître leur comportement et leurs habitudes.
Le marketing personnalisé repose sur les informations que vous avez sur votre cible et qui vous permet de connaître ses besoins, ce qu’elle veut, ses centres d’intérêt et ses préférences. La bonne nouvelle est que vous pouvez utiliser les données personnelles de vos visiteurs pour créer une landing page qui leur correspond.
La première étape est de créer un profil de votre client idéal, en analysant tous les éléments concernant sa personne, son style de vie et ses habitudes. Il n’est pas rare que vous en appreniez plus sur lui que vous ne le pensiez.
La deuxième étape est de réaliser une étude de marché afin de déterminer les attentes et le comportement des visiteurs qui se rendent sur votre site. Cela vous donne des informations utiles, comme la fréquence à laquelle ils consultent votre site ou leurs habitudes de navigation.
La troisième étape est d’analyser l’adresse IP de vos visiteurs et leur navigateur. En effet, cette information vous permet d’identifier leur lieu géographique et leur navigateur internet.
La quatrième étape est de créer un profil des habitudes de navigation de chaque visiteur afin d’identifier les points communs qu’il a avec vos clients clés. Cela vous donne une image plus précise de votre cible et vous permet d’affiner votre offre en fonction des centres d’intérêt qu’elle a.
Enfin, la dernière étape est de savoir comment communiquer avec vos clients potentiels et de savoir comment vous positionner par rapport à eux.
C’est pourquoi il est essentiel d’identifier votre client idéal, car cela vous permettra d’affiner votre stratégie et de bien définir votre positionnement sur le marché.
Les 6 étapes à suivre pour identifier votre client idéal :
1 – Définissez votre cible marketing
Pour atteindre vos objectifs, il est primordial de définir clairement votre cible. Il faut savoir qui vous veut et pourquoi.
Dans un premier temps, vous devez définir le secteur d’activité de votre entreprise. Cette étape est importante car elle définit le périmètre de votre marché potentiel. Vous pouvez définir votre cible à un niveau très large comme « les entreprises » ou à un niveau très précis comme « les entreprises du secteur d’activité X en France ».
Une fois que vous avez défini le secteur d’activité de votre entreprise, vous pouvez définir votre cible à l’intérieur de ce secteur. Vous pouvez par exemple dire que votre cible est « les restaurateurs » ou « les restaurateurs de la région parisienne ».
Bien que vous partiez d’un large périmètre, il n’est pas toujours très facile de trouver des clients. C’est pourquoi il est important de se fixer des objectifs en fonction de votre cible . Par exemple, si vous définissez votre cible sur « les restaurateurs de la région parisienne », vous pourrez définir un objectif sur « le chiffre d’affaires généré par les restaurateurs de la région parisienne ».
Vous pouvez aussi définir une cible en fonction de votre produit. Vous pouvez dire que votre cible est « les restaurateurs qui ont besoin d’une solution automatisant leur traiteur ».
2 – Définissez votre client idéal
Au-delà de votre cible, vous devez aussi définir comment vous voyez votre client idéal.
Pour cela, il faut s’interroger sur les caractéristiques de l’entreprise que vous souhaitez développer. Vous vous demanderez ce qu’est un bon client pour vous. Vous pourrez par exemple répondre à la question suivante :
« Qu’est-ce qu’un bon client pour moi ? »
Ce peut être une entreprise qui a besoin de votre produit au bon moment. Ou encore une entreprise qui a les ressources pour financer le coût de votre produit sans renoncer à d’autres investissements.
Demandez-vous aussi ce qu’il vous faut pour gagner votre client, par exemple :
« Quel est le service que je peux apporter à mes clients ? »
Pour répondre à cette question, il faut avoir défini votre valeur ajoutée en tant qu’entrepreneur. Vous pouvez prendre comme référence votre expérience personnelle. Quelle était votre valeur ajoutée pour vos clients ? Vous pouvez aussi prendre comme référence votre expertise. Quelles sont les compétences que vous souhaitez mettre à disposition de vos clients ?
Vous pouvez aussi lister les points-clés du service que vous allez apporter à vos clients :
« Quel est le service que je veux offrir à mes clients ? »
Ce peut être tout un ensemble de services ou de produits que vous allez offrir à vos clients. Par exemple :
– Un service de conseil sur votre projet ;
– Un service d’accompagnement à la mise en place de votre projet ;
– Un service d’assistance pour le développement de votre projet ;
– Un service de formation pour lancer votre projet ;
– Un service de création de sites Internet.
Vous pouvez aussi élaborer une liste de vos produits :
« Quels sont les produits que je veux offrir à mes clients ? »
Ce peut être aussi tout un ensemble de produits que vous allez vendre à vos clients. Par exemple :
– Un produit de conseil sur votre projet ;
– Un produit d’accompagnement à la mise en place de votre projet ;
– Un produit d’assistance pour le développement de votre projet ;
– Un produit de formation pour lancer votre projet ;
– Un produit de création de sites Internet.
Vous pouvez aussi définir votre objectif financier : « Quelles sont les rentabilités que je veux ? »
Il est possible d’élaborer une liste avec les diverses rentabilités que vous souhaitez offrir à vos clients. Par exemple :
– Un tarif horaire ;
– Un tarif pour la mise en place de votre projet ;
– Un tarif pour l’accompagnement de votre projet ;
– Un prix pour une prestation d’assistance pour le développement de votre projet ;
– Un prix pour une prestation de formation pour lancer votre projet ;
– Un prix pour la création de sites Internet.
Vous pouvez aussi définir votre objectif d’activité : « Combien de clients je veux ? »
Il est possible d’élaborer une liste avec les différentes quantités que vous souhaitez avoir en activité. Par exemple :
– 1 client par mois ;
– 3 clients par mois ;
– 5 clients par mois ;
– 10 clients par mois ;
– 20 clients par mois ;
– 50 clients par mois ;
– 100 clients par mois.
Vous pouvez aussi définir votre objectif de chiffre d’affaires : « Combien de clients je veux ? »
Il est possible d’élaborer une liste avec les différentes quantités que vous souhaitez avoir en chiffre d’affaires. Par exemple :
– 1 000 € de CA par mois ;
– 3 000 € de CA par mois ;
– 5 000 € de CA par mois ;
– 10 000 € de CA par mois ;
– 20 000 € de CA par mois ;
– 50 000 € de CA par mois ;
– 100 000 € de CA par mois.
Vous pouvez aussi définir votre objectif d’audience : « Combien de clients je veux ? »
Il est possible d’élaborer une liste avec les différentes quantités que vous souhaitez avoir en audience. Par exemple :
– 1 000 visiteurs uniques par mois ;
– 3 000 visiteurs uniques par mois ;
– 5 000 visiteurs uniques par mois ;
– 10 000 visiteurs uniques par mois ;
– 20 000 visiteurs uniques par mois ;
– 50 000 visiteurs uniques par mois ;
– 100 000 visiteurs uniques par mois.
Vous pouvez aussi définir votre objectif d’achats : « Combien de clients je veux ? »
Il est possible d’élaborer une liste avec les différentes quantités que vous souhaitez avoir en achats. Par exemple :
– 1 achat par mois ;
– 3 achats par mois ;
– 5 achats par mois ;
– 10 achats par mois ;
– 20 achats par mois ;
– 50 achats par mois ;
– 100 achats par mois.
Vous pouvez aussi définir votre objectif d’abonnés : « Combien de clients je veux ? »
Il est possible d’élaborer une liste avec les différentes quantités que vous souhaitez avoir en abonnés. Par exemple :
– 1 abonné par mois ;
– 3 abonnés par mois ;
– 5 abonnés par mois ;
– 10 abonnés par mois;
Vous pouvez aussi définir votre objectif de pages vues : « Combien de fois je veux que mes pages soient visitées ? »
Il est possible d’élaborer une liste avec les différentes quantités que vous souhaitez avoir en pages vues. Par exemple :
– 1 000 pages vues par mois ;
– 3 000 pages vues par mois ;
– 5 000 pages vues par mois ;
– 10 000 pages vues par mois.
Enfin, il est possible d’élaborer une liste avec les différentes quantités que vous souhaitez avoir en revenus : « Combien de revenus je veux ? »
Il est possible d’élaborer une liste avec les différentes quantités que vous souhaitez avoir en revenus. Par exemple :
– 1 000 euros de revenus par mois ;
– 3 000 euros de revenus par mois ;
– 5 000 euros de revenus par mois ;
– 10 000 euros de revenus par mois.
5. Faire du split testing (test A/B)
Le test A/B est une technique qui consiste à tester deux variantes d’un même contenu afin de déterminer laquelle rencontre le plus de succès.
Pour cela, vous rédigez deux versions du même contenu, identiques dans tous les aspects à l’exception du titre du contenu.
Si vous avez choisi la variante A et que vous constatez que le nombre de clics est moins important que celui de la variante B, vous pourrez alors modifier votre titre pour connaître laquelle est plus réussie.
C’est une technique qui peut être très intéressante, mais qui nécessite un travail considérable en termes de temps. L’idéal est donc qu’elle soit menée avec un peu de recul par rapport à l’action, c’est-à-dire au moment où vous écrivez votre contenu.
Vous devez vous demander quels sont les objectifs que vous souhaitez atteindre avec votre contenu et quels sont les résultats que vous voulez obtenir.
Par exemple, si votre objectif est d’augmenter le taux de clics pour augmenter vos revenus publicitaires, vous pouvez rédiger deux versions du même contenu qui diffèrent par le titre. Vous travaillez alors sur la version A et vous mettez en place un test A/B.
Au bout d’un certain temps, vous regardez les résultats et vous modifiez votre titre si besoin. À ce moment-là, vous pouvez réaliser le même exercice avec la version B.
C’est un exercice qui vous permettra de savoir quelle est la bonne version, mais qui peut vous prendre beaucoup de temps.
Pourquoi opter pour des A/B tests ?
Le principal avantage du A/B testing est de savoir ce qui marche et ce qui ne marche pas. Cela vous donne une idée de ce que les utilisateurs veulent voir sur votre site et cela vous permet de l’améliorer.
Il est aussi possible d’évaluer plusieurs options en même temps, ce qui vous permet d’évaluer leur efficacité à la fois de façon qualitative et quantitative.
Au contraire, si vous ne testez pas votre site, vous ne saurez jamais quelle version marche le mieux et vous n’aurez pas d’idée de ce que les utilisateurs veulent voir sur votre site.
Faire du A/B testing est donc un excellent moyen de ne pas être complètement dans le flou, que ce soit sur la qualité de votre contenu, la façon dont il est présenté ou encore la manière dont il est structuré.
En conclusion sur l’A/B testing
L’A/B testing est une technique extrêmement pratique pour savoir comment écrire des contenus dans l’optique d’un site web, mais il faut avouer que cela demande un investissement considérable en termes de temps.
6. Quels outils utiliser ?
L’outil le plus connu et le plus utilisé pour l’A/B testing est Google Analytics. Vous pouvez y suivre les résultats de votre test et vous pouvez même visualiser la conclusion en temps réel. Une fois que vous avez choisi la version A et la version B, vous pouvez voir si cela fonctionne ou pas.
Avec Google AdWords, vous pouvez faire un test de différents formats de contenus pour voir quelle version génère le taux de clics le plus élevé.
Vous pouvez aussi utiliser Google Content Experiments. C’est un outil qui permet d’évaluer des expériences SEO, comme les campagnes de liens, mais aussi le contenu.
Dans ce cas-ci, vous pouvez cibler des groupes de personnes différentes. Par exemple, si vous souhaitez savoir comment écrire des contenus que vos clients lisent pour pouvoir les convertir en clients, vous pouvez cibler l’âge, le sexe et autres variables .
Vous pouvez visualiser les résultats en temps réel et vous verrez qui lisent le plus votre contenu. C’est très intéressant car vous pouvez ainsi adapter votre contenu pour faire en sorte que tout le monde lise votre contenu.
Conclusion
Vous l’avez compris, il faut passer à l’action et essayer différentes méthodes pour attirer des clients.
Vous pouvez aussi bien utiliser du contenu sponsorisé sur Google AdWords que du contenu sponsorisé sur Facebook.
La clé est d’essayer différents formats de contenu et de suivre la méthode qui fonctionne le mieux.
Si vous vous posez des questions, vous pouvez consulter notre site internet www.instants-web-agency.fr
Source de l’article : www.instants-web-formation.fr
les grands axes pour gagner de nouveaux clients grâce au business of experience.
Parce que les clients sont de plus en plus exigeants, les entreprises doivent les dépasser en matière d’expérience client. Elles ne peuvent pas se contenter de répondre aux attentes des clients. C’est le business of experience qui permet de répondre à cette exigence. Les clients s’attendent à ce que leur expérience soit parfaite. Et ils ont raison de le faire. L’expérience client constitue aujourd’hui un facteur clé de succès.
Le business of experience est une stratégie marketing qui permet à une entreprise de gagner des clients en améliorant leur expérience à chaque contact avec l’entreprise. Pour créer ce type d’expérience, les entreprises doivent prendre en compte les éléments suivants :
- L’expérience du client sur les différents canaux de communication avec l’entreprise (site web, application mobile…)
- Les technologies utilisées pour garantir la sécurité et la confidentialité des informations
- La simplicité d’utilisation de la solution
- L’expérience des autres clients avec le produit ou le service
- L’interactivité entre les employés et les clients
- La valeur ajoutée que l’entreprise apporte au service
Le design de l’expérience client prend en compte tous ces éléments. De manière générale, il est possible de découper une expérience client en trois parties : l’expérience physique, l’expérience verbale et l’expérience numérique.
L’expérience physique se déroule dans le magasin, durant une visite de site, lors d’un appel téléphonique ou d’une réunion. Cette phase est importante car c’est pendant cette phase que le client est le plus sensible à ce qui l’entoure. L’expérience verbale se déroule durant la phase de contact téléphonique, par mail ou via chat. L’expérience numérique intervient lorsque le client interagit avec un site web, une application ou une application mobile.
Le business de l’expérience client est donc une combinaison de ces trois aspects. Par exemple, si vous avez une boutique physique, il faut que celle-ci soit bien entretenue et qu’elle offre un environnement agréable aux clients. L’environnement physique est donc une composante importante de l’expérience client. Si vous avez un site web, il doit être facile d’utilisation et répondre à une certaine esthétique. L’expérience numérique est également importante et doit être conçue avec soin.
1. Le business of experience et le business design
Le business de l’expérience client est donc bien plus qu’une simple question de design visuel, c’est un ensemble de pratiques qui doivent être mises en place pour permettre au public d’avoir une expérience optimale. En effet, il faut pas seulement vouloir offrir une expérience optimale, mais aussi être capable d’identifier les bons projets pour la rendre réalité.
Le business de l’expérience client est une discipline qui travaille en étroite collaboration avec les autres disciplines qui composent le design d’un produit ou d’une marque. Vous avez par exemple le design d’interaction, qui a trait au déroulement d’une interaction entre l’utilisateur et un produit ou une marque et le design de la marque, qui travaille sur les aspects visuels du produit ou de la marque. C’est par exemple lorsqu’un produit va être mis sur le marché que les trois disciplines sont les plus sollicitées.
Lors d’une réunion de design, vous définirez des critères de qualité pour un produit ou une marque. Ainsi, vous pouvez définir ce qui est optimal pour le consommateur dans ses interactions avec le produit ou la marque. Lorsque ces critères seront atteints, l’expérience sera déclarée optimale.
Les étapes du business of experience
Le business of experience est donc une discipline qui, en plus d’être l’art du design, s’inspire du marketing et des sciences sociales pour concevoir les expériences que les consommateurs vont vivre avec un produit ou une marque.
Il y a plusieurs étapes à suivre pour bien concevoir et rendre réalité la meilleure expérience possible pour le consommateur :
1. Définir des critères d’expérience
Pour définir ces critères, il faut bien connaître le consommateur qui est au centre du business of experience. Les études se divisent en trois parties :
Les études consommateurs sont l’étape la plus importante du business of experience. C’est en effet en montrant aux consommateurs le produit ou la marque qu’ils ont l’intention d’acheter, que vous pourrez définir les critères d’expérience. En étudiant leurs réactions et leurs comportements, vous pourrez définir le comportement optimal que vous souhaitez voir chez un consommateur.
Les méthodes de mesure de l’expérience
Ensuite, il vous faut mesurer l’expérience que le consommateur va vivre avec votre produit. Il y a plusieurs approches :
La quantification des expériences
La mesure des expériences peut se faire par la quantification. Il s’agit d’observer les paramètres physiques, tels que la satisfaction, la mémorisation, l’engagement ou encore la fréquentation. Cette méthode est très utilisée dans le marketing et la vente.
La mesure par l’observation
Cette approche consiste à observer les comportements. Elle permet de mesurer le nombre de personnes qui utilisent un service, le temps passé sur un site internet, le nombre d’acheteurs d’un produit, le temps passé pour acheter ce produit…
La mesure par l’interrogation
Cette méthode consiste à interroger les consommateurs après une expérience. Elle permet de mesurer les critères qualitatifs et quantitatifs. Il s’agit du comportement du consommateur dans un espace défini, l’acquisition de nouveaux consommateurs, la fidélisation des clients, le taux d’usage…
La mesure par l’interaction
Cette méthode consiste à utiliser des outils technologiques pour évaluer l’expérience des consommateurs. Cela donne la possibilité de mettre en place des tableaux de bord interactifs.
Les données que vous allez rassembler ici ont pour but de vous permettre de construire votre plan d’action et de mesurer l’efficacité de vos actions.
Pourquoi s’engager dans une démarche d’analyse ?
Il existe plusieurs raisons pour s’engager dans une démarche d’analyse, mais la plus importante est la volonté de faire mieux. C’est le premier pas vers l’amélioration continue.
La démarche d’analyse vous permettra de vérifier si vos activités ont leur sens, si vos clients sont satisfaits et si vos impacts sur le développement durable sont à la hauteur de vos ambitions.
Elle permet aussi de mesurer la compétitivité de votre entreprise et d’identifier les points faibles. Une analyse permet donc de formuler des recommandations pour améliorer l’efficacité de l’entreprise.
Comment passer à l’action ?
Vous disposez désormais d’un portrait global de votre entreprise, vous pouvez maintenant vous mettre en action. C’est le temps de la planification, un temps d’action et de décisions.
Vous pouvez déjà commencer à réfléchir aux actions que vous pourriez mettre en place pour améliorer votre performance ou vos impacts sur le développement durable. Pensez à populariser les bonnes pratiques qui existent déjà à l’intérieur de votre entreprise.
Il est aussi important d’identifier toutes les sources d’informations utiles à cette démarche. Cela peut être la loi, des normes, des outils, des services ou des informations sur d’autres entreprises.
Alors maintenant que vous avez le portrait global de votre entreprise et de ses impacts sur le développement durable, c’est à vous de prendre les décisions et d’agir pour améliorer votre performance.
2. Pérenniser les clients et accroître les ventes
Un client satisfait n’est pas un client perdu
Pourquoi développer des relations de qualité ?
Vous disposez d’un rapport de forces avec vos clients. Votre entreprise peut ainsi les fidéliser et attirer de nouveaux clients.
Les clients sont la matière première de votre entreprise, c’est pourquoi il est important de les développer et de les fidéliser. Un client satisfait n’est pas un client perdu, c’est un client qui revient. Il peut ainsi être votre meilleur ambassadeur.
La satisfaction du client est un élément clé dans la maîtrise de la qualité et dans la fidélisation de vos clients. Si vous prenez le temps de satisfaire le mieux possible vos clients, ils reviendront à coup sûr.
L’amélioration de la satisfaction du client permet d’éviter les départs en retraite anticipés d’une partie des collaborateurs et de préserver l’attractivité de votre entreprise.
Quelles actions ?
Tout d’abord, prenez le temps de comprendre ce qui fait la différence entre un client satisfait et un client insatisfait. Vous pourrez ensuite déterminer quels sont les facteurs de satisfaction et les facteurs d’insatisfaction.
Ensuite, mettez en place une démarche d’amélioration continue de la satisfaction client. Dans un premier temps, faites le point sur la situation actuelle.
Puis, identifiez les facteurs de satisfaction et les facteurs d’insatisfaction. Une fois ces facteurs identifiés, vous pouvez mettre en place une démarche d’amélioration continue.
Vous pouvez ainsi lancer une campagne de satisfaction client avec des études de satisfaction à mettre en place, des focus groups, des enquêtes, etc.
Vous pouvez aussi vous tourner vers les nouvelles technologies pour améliorer la satisfaction de vos clients. Avec l’arrivée des réseaux sociaux, les clients aiment s’exprimer sur les produits et services qu’ils ont achetés.
Vous pouvez donc lancer une campagne de marketing viral en invitant vos clients à partager leurs expériences sur les réseaux sociaux. L’intérêt est que les prospects peuvent ainsi voir et lire les retours positifs des clients sur le produit ou service que vous proposez.
Enfin, vous pouvez développer votre activité en créant une communauté active sur les réseaux sociaux. Pour cela, vous devez créer un blog pour répondre à toutes les questions de vos clients et faire participer les clients à la définition des nouveaux produits ou services que vous allez créer.
Le marketing viral pour améliorer la performance commerciale
Vous avez peut-être entendu parler d’une récente étude menée par Business Insider. Elle révèle que les sites web qui utilisent les médias sociaux à leur avantage sont ceux qui engrangent le plus de ventes.
Cette étude a été réalisée sur une période de six ans et a montré que les marques qui ont utilisé les réseaux sociaux pour promouvoir leurs produits ou services ont gagné près de 10% de clients supplémentaires.
Pourquoi les marques ont-elles gagné 10% de clients grâce aux médias sociaux ?
C’est simple, les marques ont su utiliser les réseaux sociaux pour améliorer la performance commerciale de leurs produits ou services en créant de la viralité. Le marketing viral est un outil de communication qui a pour but d’améliorer le taux de transformation d’un prospect en client converti.
3. Nourrir le business of experience
Pour pouvoir atteindre cet objectif, il faut trouver des stratégies et des tactiques qui permettent d’augmenter le nombre de vues sur son contenu et qui vont également augmenter la proportion des utilisateurs qui vont le partager.
Le marketing viral est un outil de communication qui a pour but d’améliorer le taux de transformation d’un prospect en client converti.
En prenant exemple sur les marques qui ont utilisé les réseaux sociaux pour leur marketing, voici quelques stratégies à mettre en place pour améliorer votre performance commerciale.
1- Créer du contenu qui génère de l’engagement
Les marques utilisent les réseaux sociaux pour créer des contenus de qualité. Les contenus qui sont partagés sont ceux qui provoquent le plus d’engagement (partages, likes, commentaires…). Les marques mettent en place des stratégies très précises pour créer du contenu sur les médias sociaux qui va susciter le plus d’engagement. Leur objectif est de créer du contenu qui va susciter une réaction chez les internautes et leur permettre de se rapprocher des objectifs commerciaux qu’elles se sont fixés.
2- Diffuser du contenu de qualité sur les réseaux sociaux
La marque doit prendre en compte les informations relatives à la personnalité et aux centres d’intérêts de ses fans pour créer des contenus qui peuvent être intéressants pour eux. La marque utilise son identité d’entreprise pour créer un contenu qui est unique et qui rappelle l’identité de marque. Les marques mettent en place des stratégies de contenus en fonction de la cible et de ce qu’elle désire voir sur leurs réseaux sociaux. Ainsi, elles sélectionnent des contenus qui sont pertinents et qui correspondent à leurs centres d’intérêts. La marque utilise les informations relatives à la personnalité et aux centres d’intérêts de ses fans pour créer des contenus qui peuvent être intéressants pour eux.
3- Développer la notoriété et la crédibilité
Le contenu que la marque diffuse sur les réseaux sociaux doit être crédible et correspondre à ce qu’elle a fait dans le passé. La marque doit créer du contenu qui correspond aux attentes de ses clients sur les réseaux sociaux. Cela lui permettra de développer sa notoriété et de favoriser une image positive de son entreprise. Elle peut ainsi se différencier des autres marques sur les mêmes marchés.
4- Générer le plus d’engagement possible
La marque doit chercher à générer du contenu qui suscite une forte interactivité auprès de ses clients. Dans ce cas, les marques cherchent à créer du contenu qui est susceptible d’être partagé sur les réseaux sociaux et qui peut être commenté. Pour ce faire, la marque doit créer des contenus qui peuvent susciter l’intérêt des clients et qui les encouragent à réagir.
5- Créer un lien avec la communauté
La marque doit s’efforcer de créer un lien avec sa communauté sur les réseaux sociaux. Elle doit créer du contenu qui peut susciter l’intérêt des clients et qui leur permet d’interagir avec la marque. Cela permettra à la marque d’établir une relation durable avec sa clientèle. En effet, cela favorisera le développement de l’image de la marque et de ses produits.
6- Créer du contenu exclusif
La marque peut également créer du contenu exclusif. Il s’agit d’un contenu qui n’est pas disponible sur d’autres sites ou dans d’autres médias. Cela peut être des photos, des vidéos ou des infographies. Ce type de contenu a l’avantage de susciter une forte interactivité auprès des consommateurs.
7- Mettre en avant ses clients
La marque peut également mettre en avant ses clients. Elle peut leur demander de lui faire part de leurs avis et de leur expérience avec les produits et services qu’elle propose.
8- Créer une communauté sur les réseaux sociaux
La marque peut également créer sa propre communauté sur les réseaux sociaux. Pour ce faire, elle doit être en mesure de susciter l’intérêt des consommateurs pour ses produits et services. Elle doit également être en mesure d’interagir avec eux. Cela permettra aussi de s’assurer que les consommateurs l’apprécient et apprécient ses produits et services.
9- Offrir des bons de réduction
La marque peut également offrir des bons de réduction et des réductions aux consommateurs. Cela permettra à ces derniers d’acheter les produits ou services qu’elle propose à un prix moins cher. Ceci aura pour effet de susciter leur intérêt et celui des autres consommateurs.
10- Faire valoir ses points forts
La marque doit aussi faire valoir ses points forts. Elle doit avoir des produits et services qui suscitent l’intérêt des consommateurs. Elle doit être en mesure de s’assurer que ces produits et services sont de qualité supérieure.
11- Faire valoir la qualité de son service
La marque doit également faire valoir la qualité de son service. Elle doit avoir un service à la clientèle irréprochable. Elle doit être en mesure d’interagir rapidement avec les consommateurs. Elle doit être en mesure de leur fournir un service qui leur plaît.
12- Faire valoir la facilité d’utilisation de ses produits et services
La marque doit également faire valoir la facilité d’utilisation de ses produits et services. Elle doit être en mesure de s’assurer qu’ils sont faciles à utiliser. Elle doit pouvoir expliquer en détail comment ils peuvent être utilisés par les consommateurs.
13- Faire valoir l’équilibre de l’utilisation de ses produits et services
La marque doit également faire valoir l’équilibre de l’utilisation de ses produits et services. Elle doit être en mesure d’expliquer aux consommateurs comment ils pourraient utiliser leurs produits et services dans diverses situations sans risque.
14- Faire valoir la facilité d’utilisation de son service
La marque doit également faire valoir la facilité d’utilisation de son service. Elle doit être en mesure de faire valoir les services qu’elle offre. Elle doit être en mesure de faire valoir la façon dont ces services peuvent être utilisés par les consommateurs.
15- Faire valoir l’équilibre et l’intérêt de son service
La marque doit également faire valoir l’équilibre et l’intérêt de son service. Elle doit être en mesure de faire valoir le service que ses produits ou ses services offrent aux consommateurs. Elle doit également être en mesure de faire valoir l’équilibre qu’elle offre aux consommateurs.
16- Faire valoir le bon fonctionnement de ses produits et services
La marque doit également faire valoir le bon fonctionnement de ses produits et services. Elle doit être en mesure d’expliquer comment ses produits et services fonctionnent. Elle doit expliquer à ses clients comment les utiliser correctement.
17- Faire valoir le bon fonctionnement de son service
La marque doit également faire valoir le bon fonctionnement de son service. Elle doit être en mesure de faire valoir la manière dont ses services fonctionnent. Elle doit expliquer à ses clients comment utiliser ses produits et services correctement.
4. Former les collaborateurs au business of experience
L’entreprise doit former ses collaborateurs au business of experience. Elle doit leur apprendre à identifier les critères de la marque. Elle doit leur apprendre à identifier les critères de l’équilibre. Elle doit leur apprendre à identifier les critères du bon fonctionnement des produits et services. Elle doit leur apprendre à identifier les critères du bon fonctionnement du service.
Elle doit leur apprendre à identifier les critères de la performance. Elle doit leur apprendre à identifier les critères de la qualité. Elle doit leur apprendre à identifier les critères de la créativité. Elle doit leur apprendre à identifier les critères de la satisfaction. Elle doit leur apprendre à identifier les critères du standing. Elle doit leur apprendre à identifier les critères du service d’expérience.
5. Créer une expérience client de haut niveau
La marque doit créer une expérience client de haut niveau. Elle doit élaborer une expérience client de haut niveau. Elle doit définir une expérience client de haut niveau. Elle doit évaluer une expérience client de haut niveau. Elle doit consolider une expérience client de haut niveau. Elle doit mettre en place une expérience client de haut niveau.
Elle doit développer une expérience client de haut niveau. Elle doit gérer une expérience client de haut niveau. Elle doit élaborer une expérience client de haut niveau. Elle doit définir une expérience client de haut niveau. Elle doit évaluer une expérience client de haut niveau. Elle doit consolider une expérience client de haut niveau.
Conclusion sur le business of experience
L’enjeu du business of experience
Le business of experience est l’art de faire les bons choix, dès le départ. L’art de bâtir une entreprise sur la valeur. L’art de créer une différence entre la valeur intrinsèque et la valeur marchande. L’art d’atteindre, en peu de temps, un niveau de satisfaction élevé. L’art de créer des clients heureux. L’art de créer une expérience client satisfaisante. Le business of experience est l’art de transformer la valeur en profit.
Source de l’article : www.instants-web.fr
La théorie de Karpman et son influence sur nos comportements
La théorie de Karpman est basée sur les comportements humains. Ceux-ci sont déterminés par une chaîne d’événements qui s’engrenent les uns les autres. Ce processus est appelé «mouvement cyclique des victimes et des sauveurs». Dans cette chaîne, le rôle de la victime est habituellement incarné par le patient, celui du sauveur par le médecin.
Pour comprendre le processus en chaîne, il est nécessaire de bien comprendre les rôles et les fonctions que chacun de ces intervenants joue dans le processus.
1. Comment utiliser la théorie de Karpman ?
Le thérapeute peut utiliser la théorie de Karpman comme un outil d’observation, permettant d’identifier le rôle joué par chaque intervenant dans le processus. Cet outil permet également de déterminer si le rôle joué par chaque intervenant est adapté à la situation (si les rôles sont conformes à la réalité).
Le thérapeute peut aussi utiliser cet outil pour comprendre les mécanismes de ses patients. En effet, cette théorie permet de mieux comprendre pourquoi les patients se comportent de la sorte.
Enfin, cet outil permet de prévoir les réactions des patients quant à l’intervention du thérapeute (ou du sauveur).
Les différents protagonistes et leurs fonctions sont les suivants :
Le patient : qui représente la personne qui a besoin d’être sauvée. Le patient a un problème. C’est également lui qui a recours au guérisseur .
Le sauveur : qui représente la personne qui va intervenir pour aider le patient. C’est également lui qui va prendre en charge le problème du patient.
Le persécuteur: qui représente la personne qui est responsable de la situation du patient. Le persécuteur est généralement une personne très puissante, et qui peut avoir une grande influence sur le patient.
La victime : qui représente le problème du patient. La victime peut être un objet (comme un chien), ou une personne (comme son ennemi).
Les amis : qui représentent les aides du sauveur. Ils sont très proches de lui, et ils vont l’aider dans sa mission de sauvetage.
L’ennemi : qui représente les obstacles à la mission du sauveur . En général, le patient va devenir l’ennemi du sauveur, car il ne veut pas être guéri. Les amis peuvent aussi être vus comme des ennemis.
La mère du patient : qui représente la personne qui a donné la vie au patient.
3. Les conséquences de la théorie de Karpman
L’application de la théorie de Karpman a eu une influence décisive dans la thérapie comportementale. Les interventions basées sur la théorie des jeux ont été créées, et ont été utilisées pour aider des patients présentant différents types de problèmes.
La thérapie systémique a également été influencée par cette théorie. Elle est très proche de la thérapie comportementale, mais elle prend en compte la dynamique du groupe , et d’autres facteurs qui ne sont pas pris en compte par la thérapie comportementale.
L’application de la théorie de Karpman est très largement utilisée en thérapie familiale, et elle est aussi utilisée dans la thérapie individuelle.
4. L’impact de la théorie de Karpman sur nos comportements
La théorie de Karpman a eu une influence sur la psychologie, et sur la psychothérapie, mais elle a aussi eu une influence sur notre vie quotidienne. Comme toutes les théories, elle a ses conséquences positives et négatives.
Les conséquences positives de la théorie de Karpman
La théorie de Karpman est utilisée dans la thérapie comportementale, et dans bien d’autres disciplines. Elle est très utilisée en psychologie, en psychiatrie,en éducation, en hypnose, en thérapie systémique, et bien d’autres encore.
La théorie de Karpman est utilisée pour nous aider à comprendre la dynamique du groupe, et elle nous aide à savoir comment réagir face aux situations difficiles qui se présentent à nous. Elle nous permet aussi de savoir ce qu’il est possible d’attendre de la réaction d’un groupe ou d’une personne.
Les conséquences négatives de la théorie de Karpman
- La théorie de Karpman est utilisée dans les aventures des super héros ou dans les films d’horreur.
- Elle est utilisée pour faire peur aux gens, pour faire croire aux gens que les autres sont mauvais, et qu’il vaut mieux rester à l’écart.
- Elle est utilisée dans la littérature de science fiction.
- Elle est utilisée dans la littérature et la philosophie pour poser le problème du bien et du mal.
La théorie de Karpman est utilisée dans beaucoup d’autres domaines.
La théorie de Karpman est utilisée pour montrer que les gens sont mauvais, qu’ils vont réagir en fonction de leurs besoins, et que cela va entraîner des conséquences négatives. C’est un peu comme si la théorie de Karpman exprimait le problème du bien et du mal.
La théorie de Karpman nous dit qu’il vaut mieux ne pas avoir de relations avec les autres. Ainsi, nous ne risquons pas de nous faire trahir, mais aussi de ne pas connaître la trahison d’autrui.
Ainsi, nous n’aurons pas d’expériences négatives.
La théorie de Karpman nous dit qu’il vaut mieux être un héros, mais elle nous montre aussi que cela peut être difficile ou qu’il y a des risques de se faire trahir.
Dans la théorie de Karpman, il est possible de tenir les rôles de victime, de héros et de manipulateur. La victime peut être une personne ou un pays, le héros peut être une personne ou un pays, et le manipulateur peut être une personne ou un pays.
Conclusion sur la triangle de Karpman
La théorie de Karpman est très utile pour comprendre les relations humaines. Elle nous montre que les êtres humains sont similaires et différents.
En même temps, elle nous montre que nous faisons des choses similaires et différentes.
Elle nous montre aussi la possibilité de choisir nos comportements. Nous pouvons choisir d’être victime, héros ou manipulateur. Nous pouvons aussi choisir de changer de rôle.
Dans notre vie, il y a beaucoup de relations. Il y a des relations avec les autres êtres humains, des relations avec la nature, des relations avec les objets.
Nous avons besoin de comprendre les relations entre les êtres humains, entre les êtres humains et la nature, et entre les êtres humains et les objets. C’est pour cela que la théorie de Karpman est utile.
Nous avons beaucoup d’expériences différentes dans notre vie. Il y a des expériences positives et négatives. Nous pouvons utiliser ces expériences pour progresser dans notre vie.
Nous avons besoin de comprendre les relations entre les êtres humains, entre les êtres humains et la nature, et entre les êtres humains et les objets.
C’est pour cela que la théorie de Karpman est utile.
L’Adaptive learning est-il l’avenir de la formation ?
L’adaptive learning, une nouvelle façon de penser la formation ? Les avantages de cette méthode ont été démontrés dans de nombreux cas. En effet, l’adaptive learning permet à un apprenant de réaliser des progrès plus rapides et plus significatifs. En outre, il est possible d’individualiser la formation et de prendre en compte les besoins spécifiques de chaque stagiaire.
En matière de formation, l’adaptive learning est très répandue dans les écoles de commerce et les universités. Cette méthode de formation a également fait ses preuves dans la formation au management, en gestion d’entreprise ou en management des ressources humaines. L’apprentissage par compétences permet à un apprenant de progresser plus vite et plus efficacement, car il est possible d’individualiser le programme en fonction des besoins et des attentes.
1. Introduction
Adaptive learning : qu’est-ce que c’est ?
L’adaptive learning est une méthode de formation qui permet d’individualiser la formation en fonction des besoins de chaque apprenant. Il s’agit d’un système permettant une progression d’apprentissage personnalisée et basée sur des résultats individuels.
Il s’agit d’un apprentissage par compétences qui permet d’évaluer la progression des stagiaires et de créer des programmes adaptés en fonction de leurs réussites.
En bref, l’adaptive learning est une méthode d’apprentissage qui s’adapte à chaque apprenant, et qui permet à chacun de progresser plus rapidement et plus efficacement.
2. Le concept d’Adaptive learning
Ce système, mis en place dans la formation professionnelle depuis une vingtaine d’années, est encore peu connu. La méthode d’apprentissage par compétences permet en effet à un apprenant de progresser plus vite et plus efficacement, car il est possible d’individualiser le programme en fonction des besoins et des attentes.
L’adaptive learning s’adresse à tous les profils : stagiaires ayant déjà une expérience professionnelle, jeunes diplômés ou personnes en reconversion professionnelle.
L’apprentissage est basé sur la personnalisation et l’autonomie. Les connaissances sont progressivement acquises et chaque apprenant a la possibilité de jouer un rôle actif dans sa formation.
Le profil de l’apprenant est régulièrement mis à jour et il permet à l’apprenant de suivre son parcours, de se remémorer les étapes déjà franchies, d’échanger avec les formateurs et d’accéder aux documents utiles (ex. : plans de cours, vidéos de formation, fiches de présentation du cours).
Sans surprise, le concept d’apprentissage par compétences est apprécié des entreprises qui peuvent ainsi sélectionner les futurs collaborateurs qui leur conviennent le mieux et recruter en toute confiance.
Le développement des technologies de l’information et de la communication (TIC) permet la mise en place d’un tel système. Il permet aussi à l’entreprise d’être plus efficiente et performante, en proposant à ses clients une formation de qualité et à moindre coût.
Dans tous les cas, l’apprentissage par compétences est un moyen efficace de former les collaborateurs et d’optimiser l’organisation interne des entreprises.
3. La pratique d’Adaptive learning
Tout le monde connaît le concept d’apprentissage par compétences. Il est aujourd’hui largement utilisé par les entreprises qui cherchent à former leurs collaborateurs.
Cependant, l’apprentissage par compétences ne suffit pas toujours à résoudre les problématiques liées aux besoins de formation des individus. En effet, les techniques d’apprentissage actuelles ne permettent pas toujours une adaptation aux besoins et aux capacités de chaque apprenant.
C’est pourquoi il est nécessaire de compléter le concept d’apprentissage par compétences avec celui d’apprentissage adaptatif. Le principe de base reste le même : l’entreprise forme ses collaborateurs, à partir de leurs besoins et des compétences qu’elle juge importantes. Elle le fait notamment en utilisant les techniques d’apprentissage par compétences.
La différence se situe au niveau de la mise en œuvre : alors que l’apprentissage par compétences se fait en combinant plusieurs méthodes d’apprentissage (exemple : formation en présentiel et en e-learning), l’apprentissage adaptatif utilise une seule méthode d’apprentissage (exemple : formation en présentiel).
L’apprentissage adaptatif est donc un mode opératoire d’apprentissage qui vise à répondre aux besoins et aux capacités de chaque apprenant. Il n’est pas le seul à prétendre être une solution aux problèmes de l’apprentissage actuel, mais il peut se montrer particulièrement adapté à certains objectifs, et particulièrement efficace dans certaines situations.
Le principe de base de l’apprentissage adaptatif est le suivant :
Chaque apprenant possède un profil qui définit ses besoins et ses capacités (connaissances, compétences, aptitudes, motivations, etc.). L’entreprise identifie les besoins et les capacités de ses apprenants à partir de tests. Elle définit ensuite une stratégie d’apprentissage en fonction de ces compétences et aptitudes. Elle forme ses apprenants à l’aide de ce processus d’apprentissage adaptatif qui s’adapte aux besoins et capacités des apprenants.
Ainsi, dans le cadre d’une formation en interne, l’entreprise identifie les besoins et les capacités des salariés, puis définit une stratégie d’apprentissageen fonction de ces compétences et aptitudes. Elle forme ses apprenants à l’aide de ce processus d’apprentissage adaptatif qui s’adapte aux besoins et aux capacités des apprenants.
Les avantages du mode opératoire d’apprentissage adaptatif :
Les entreprises qui intègrent le mode opératoire d’apprentissage adaptatif dans leur stratégie de formation en interne peuvent bénéficier de plusieurs avantages :
- Une meilleure connaissance des besoins et des capacités des apprenants,
- Une meilleure connaissance des compétences et des aptitudes des apprenants,
- Une meilleure connaissance des motivations et des intérêts des apprenants,
- Une meilleure connaissance de leurs perceptions sur la formation en interne,
- La possibilité de définir une stratégie d’apprentissage en fonction de ces compétences et aptitudes.
Pour toutes ces raisons, les entreprises qui intègrent le mode opératoire d’apprentissage adaptatif dans leur stratégie de formation en interne peuvent faire face aux défis du marché avec plus de facilité.
L’entreprise qui utilise le mode opératoire d’apprentissage adaptatif pourra :
L’histoire des avantages du mode opératoire d’apprentissage adaptatif est récente. L’adoption de ce mode opératoire d’apprentissage est encore marginale. Elle s’explique par le fait qu’il représente une méthode très différente des pratiques d’apprentissage traditionnelles. Le mode opératoire d’apprentissage adaptatif est un concept nouveau qui est apparu avec le développement des technologies de l’information et de la communication.
Cependant, il y a une tendance claire à un déploiement progressif du mode opératoire d’apprentissage adaptatif. En effet, plus de 90% des dirigeants de l’industrie de la formation et des ressources humaines sont convaincus que le mode opératoire d’apprentissage adaptatif sera au cœur des stratégies de formation en interne dans les années à venir.
4. Quelques réflexions et questions pour mieux comprendre le mode opératoire d’apprentissage adaptatif
Le mode opératoire d’apprentissage adaptatif se base sur l’apprentissage par renforcement positif. Les mécanismes utilisés sont les algorithmes de machine learning et de logiciels d’intelligence artificielle. Ces algorithmes permettent d’analyser des données relatives au comportement du travailleur et de développer des stratégies d’apprentissage qui sont spécifiques à ce travailleur.
Le mode opératoire d’apprentissage adaptatif est généralement déployé dans le cadre de l’entreprise :
Le déploiement du mode opératoire d’apprentissage adaptatif permet de réduire les coûts des processus de formation, la durée des formations et d’améliorer la performance des personnes.
L’approche d’apprentissage adaptatif est développée en 2 phases :
La première phase consiste à élaborer une méthodologie pour traduire les objectifs de formation en objectifs d’apprentissage. L’objectif d’apprentissage est une description précise et abstraite de l’état d’esprit que l’on souhaite obtenir au terme de la formation.
La deuxième phase consiste à développer des algorithmes permettant d’analyser les comportements du travailleur, d’identifier ses lacunes et d’élaborer des stratégies d’apprentissage adaptatif.
Dans le cadre du déploiement du mode opératoire d’apprentissage adaptatif dans l’entreprise, on peut distinguer trois types de personnes :
L’apprenant : C’est l’employé qui apprend. Il peut être soit un débutant (il vient d’arriver dans l’entreprise) soit un pratiquant (il travaille dans l’entreprise depuis un certain temps).
Le formateur : C’est le responsable de la formation. De plus, il peut être assisté d’un coach, qui est un membre de l’entreprise ou un formateur extérieur.
Le système d’apprentissage adaptatif : Il est développé par un expert en apprentissage adaptatif. Il peut être utilisé à plusieurs reprises avec différents formateurs et différents apprenants.
Conclusion sur l’adaptive learning
Lorsque l’on apprend de manière classique, c’est-à-dire selon le principe de la transmission de connaissances, on peut avancer à la vitesse de l’élève. Dans ce cas, les cours sont conçus pour être reçus par tous les apprenants, quel que soit leur niveau d’avancement. Cependant, si l’apprenant est en avance sur son groupe, il ne peut pas vraiment en profiter car il ne peut pas avancer plus rapidement que le groupe.
Les systèmes d’apprentissage adaptatif permettent de trouver le niveau de l’apprenant. De plus, ils permettent d’augmenter la productivité des personnes par le fait qu’ils leur permettent de travailler à leur rythme
Source de l’article : www.instants-web-formation.fr