6 conseils pratiques pour se protéger des cyber-attaques
Les cyber-attaques sont un très vaste sujet. Il serait impossible de tous les aborder en un seul article. Cependant, nous vous proposons de découvrir dans ce guide 6 conseils pratiques pour vous protéger des cyber-attaques. Nous avons sélectionné 6 points cruciaux avec lesquels vous pourrez mettre en place une protection efficace contre les hackers.
1. Sécuriser son ordinateur
La sécurité de votre ordinateur est la première chose à considérer. Il s’agit de la première ligne de défense et votre meilleure arme pour vous protéger des cyber-attaques.
Pour cela, vous devrez installer un antivirus sur votre ordinateur. Cet antivirus doit être mis à jour régulièrement, il ne doit pas être obsolète. En effet, il vous permettra de détecter toutes les menaces potentielles qui pourront se glisser dans votre ordinateur.
Il vous faudra aussi installer un pare-feu sur votre ordinateur. L’utilisation de ce pare-feu est une étape très importante à prendre. Il vous permettra de limiter les cyber-attaques et d’éviter les intrusions. C’est un des freins majeurs à la sécurité des informations.
Avec le pare-feu, vous pourrez limiter les contacts entre votre ordinateur et le reste du réseau. Cela signifie aussi que vous serez en mesure de limiter les accès aux serveurs de votre entreprise.
Vous devrez aussi vérifier les mises à jour de votre antivirus et de votre pare-feu. En effet, les hackers ne s’arrêtent pas à une mise à jour, ils continueront leurs recherches jusqu’à tomber sur votre antivirus. Dès lors qu’ils sauront qu’il est obsolète, ils pourront passer à l’attaque et prendre le contrôle de votre ordinateur. De plus, le pare-feu pourra être la proie des intrusions.
Un autre point essentiel est l’utilisation d’un mot de passe robuste. Il ne faut pas utiliser simplement une date de naissance, un numéro de téléphone ou encore un code pin. Vous aurez à choisir un mot de passe qui ne sera pas facilement déchiffrable par les hackers. Vous trouverez des sites qui vous donneront des codes plus sûrs.
2. Protéger ses données
Enfin, en tant que responsable informatique, vous aurez à protéger les données de votre entreprise. Ces données peuvent être des emails, des fichiers présents sur votre ordinateur ou encore tout ce qui se trouve dans le Cloud. Si vous n’avez pas la possibilité d’avoir une sauvegarde en interne, vous pourrez avoir recours à un service de sauvegarde tout en sachant que cette solution est assez onéreuse.
Trouver un hébergement sécurisé est une bonne alternative à la sauvegarde en interne. En effet, vos données seront toujours en sécurité. De plus, vous n’aurez pas à réfléchir à comment les stocker. Vous pourrez utiliser un hébergement Cloud. Renseignez-vous sur nos hébergements en visitant notre site
Pour protéger vos données, vous devrez veiller à ce que personne ne puisse y avoir accès. Il est conseillé d’utiliser un mot de passe pour vous connecter au service de sauvegarde. Ce mot de passe sera particulièrement difficile à découvrir et aucun utilisateur n’y aura accès en dehors de vous.
Enfin, on peut vous proposer un service de sauvegarde Cloud qui vous permettra de sauvegarder vos données dans le sous-sol d’une entreprise. Vous ne pourrez pas y accéder par vous-même mais seulement par un intermédiaire spécialisé. Par conséquent, si l’entreprise est attaquée ou que des personnes mal intentionnées s’en prennent à lui, vos données seront sauvegardées dans un endroit sécurisé.
Dans cet article, nous avons évoqué différents moyens d’assurer la sécurité de vos données. Cela est très important car, en cas de vol ou de perte, vous pourriez vous retrouver dans une situation délicate voire même en perdre toute trace.
3. Se protéger contre les virus
Voici différents conseils afin de vous protéger contre les virus :
– Installez un antivirus. Les antivirus sont des logiciels qui s’installent sur votre ordinateur et qui vous permettent de détecter tout logiciel malveillant. Il ne s’agit pas d’un produit miracle, cependant il peut vous éviter bien des désagréments.
– Évitez d’ouvrir des fichiers suspects. Ces derniers peuvent contenir des virus et, par conséquent , ils peuvent endommager votre ordinateur.
– Évitez d’ouvrir des sites qui proviennent de sources peu fiables. Cela pourrait vous conduire à des virus ou des logiciels malveillants qui pourraient endommager votre ordinateur.
– Évitez d’ouvrir des courriers électroniques suspects. Si vous ne connaissez pas l’expéditeur, il est préférable de ne pas l’ouvrir.
– Installez tous les correctifs et mises à jour de sécurité que cela soit sur votre ordinateur ou sur votre navigateur. Il est important de les mettre à jour régulièrement pour rester protégés contre les menaces qui peuvent vous menacer.
– Évitez d’ouvrir les courriels qui proviennent de sources inconnues. Il est possible que ces courriels contiennent des virus et malgré toutes les précautions que vous prenez, ces derniers peuvent entrer dans votre ordinateur.
– Évitez de lire les courriers électroniques de spam. Aussi appelés spams, ces courriers électroniques ne proviennent pas d’une personne connue et ils ne contiennent pas d’informations utiles. Ces courriers électroniques sont généralement remplis d’informations trompeuses et des virus pourraient vous entrer dans votre ordinateur en ouvrant ces courriers électroniques.
– Évitez de répondre aux courriels qui vous demandent de fournir des informations personnelles. Les pirates informatiques peuvent utiliser ces informations pour réaliser des fraudes à votre égard.
– Évitez de cliquer sur les liens dans les courriels qui proviennent de sources inconnues. Ces liens peuvent vous entraîner vers des sites Web malveillants qui peuvent contenir des virus.
– Évitez de cliquer sur les publicités qui apparaissent dans les courriels. Ces publicités peuvent vous amener vers des sites Web malveillants qui peuvent contenir des virus.
– Évitez de télécharger des programmes ou des logiciels provenant de sources inconnues. Les logiciels de pirate informatique sont généralement conçus pour infecter les ordinateurs et peuvent prendre beaucoup d’espace dans votre disque dur. Utilisez uniquement les logiciels et les programmes qui sont sûrs.
– Évitez de révéler vos informations personnelles aux inconnus. Les pirates informatiques peuvent utiliser ces informations pour créer des faux comptes à votre nom.
– Évitez de révéler vos mots de passe et vos numéros de carte de crédit aux inconnus. Les pirates informatiques peuvent utiliser ces informations pour réaliser des fraudes à votre égard.
4. Se protéger contre les phishing (arnaques par courriel)
Lorsque vous recevez un courriel qui semble provenir d’une source légitime, mais que vous ne reconnaissez pas, vérifiez la légitimité de ce message en contactant cette source pour confirmer. Par exemple, si un message arrive d’une compagnie dont vous avez effectué une réservation sur Internet, mais que vous n’avez pas encore reçu le courriel de confirmation, vérifiez auprès de cette compagnie.
Se protéger contre les arnaques par courriel
Lorsque vous recevez un courriel qui semble provenir d’une source légitime, mais que vous ne reconnaissez pas, vérifiez si ce message est bien un phishing.
– Un phishing peut vous demander de divulguer des informations personnelles telles qu’un numéro de carte de crédit ou votre nom d’utilisateur et votre mot de passe.
– Un phishing peut vous demander de réaliser des tâches telles qu’envoyer de l’argent à unautre individu ou en informer un autre individu.
– Un phishing peut vous demander de vous connecter à Internet ou à votre messagerie électronique et d’entrer des informations personnelles.
– Un phishing peut vous demander de réaliser des tâches telles que l’installation d’un logiciel ou l’accès à votre ordinateur.
5. Se protéger contre les hackers
Vous pouvez aussi être victime d’un piratage informatique. Voici quelques mesures que vous pouvez prendre pour vous protéger contre les pirates informatiques :
– N’ouvrez pas les courriels qui contiennent des virus. Si vous recevez un courriel qui semble provenir d’une source légitime, mais que vous ne reconnaissez pas, ne faites pas confiance à ce courriel et ne cliquez pas sur les liens ou les images car cela pourrait transmettre des informations à un pirate informatique.
– N’ouvrez pas les pièces jointes dans les courriels que vous recevez de sources inconnues.
– Lorsque vous êtes sur Internet, utilisez des logiciels antivirus et antispyware pour protéger votre ordinateur contre les logiciels malveillants.
– Ne répondez pas aux courriels qu’un pirate informatique pourrait envoyer pour vous demander de donner d’autres informations personnelles.
– Si vous êtes victime d’un piratage informatique, changez immédiatement vos mots de passe pour vous protéger contre les pirates informatiques.
– Si vous utilisez un ordinateur à la maison, vous pouvez choisir de connecter votre ordinateur à un routeur plutôt qu’à un modem. Cela permet d’éviter que tous les ordinateurs de votre famille soient vulnérables aux attaques informatiques.
Avez-vous des questions ? Des suggestions ? Contactez-nous sur notre site
6. Utiliser des mots de passe forts
et différents pour chaque compte que vous possédez sur Internet peut vous aider à éviter la plupart des attaques informatiques.
Les logiciels malveillants cherchent souvent les mots de passe d’autres personnes pour essayer de compromettre leurs comptes. En utilisant des mots de passe différents pour chacun de vos comptes, vous ne rendez pas votre ordinateur plus vulnérable. Les pirates informatiques ne savent pas quels mots de passe ils doivent essayer.
Utiliser des mots de passe forts et différents pour chaque compte que vous possédez sur Internet peut vous aider à éviter la plupart des attaques informatiques. Les logiciels malveillants cherchent souvent les mots de passe d’autres personnes pour essayer de compromettre leurs comptes. En utilisant des mots de passe différents pour chacun de vos comptes, vous ne rendez pas votre ordinateur plus vulnérable. Les pirates informatiques ne savent pas quels mots depasse ils doivent essayer. Mettre à jour votre système d’exploitation régulièrement
Mettre à jour régulièrement votre système d’exploitation permet à votre ordinateur de recevoir les meilleures protections disponibles contre les menaces informatiques.
Veuillez consulter le site Web de votre fournisseur pour connaître les mises à jour logicielles les plus récentes pour votre système d’exploitation.
Conclusion
Le piratage informatique a toujours été un risque, mais il est devenu encore plus répandu au cours des dernières années. Il y a plusieurs façons dont vous pouvez protéger votre système d’exploitation et les données que vous avez là-dessus. Cette fiche technique fournit des informations sur les menaces actuelles et sur les mesures que vous pouvez prendre pour vous protéger contre elles. Si vous avez besoin de plus d’aide contactez nos experts sur notre site dédié à l’hébergement et à la sécurité
3 choses à savoir sur les RGPD et votre site internet
Les entreprises doivent mettre en œuvre les mesures nécessaires pour assurer la sécurité des données personnelles qu’elles conservent afin de satisfaire aux exigences du RGPD. Les mesures de sécurité retenues doivent être proportionnées au risque encouru par les données personnelles considérées. La base juridique du traitement des données personnelles est légale.
Les données personnelles font l’objet d’un traitement lorsque des données à caractère personnel sont collectées, traitées ou communiquées à des fins autres que celles pour lesquelles elles ont été collectées. Ainsi, le traitement des données personnelles doit être nécessaire et proportionné au but recherché.
L’information du responsable du traitement doit être assez précise pour permettre à la personne concernée de savoir en quoi consiste le traitement de ses données personnelles. Le droit à l’information porte sur les finalités du traitement des données personnelles, les catégories de données personnelles concernées, la durée de conservation des données ainsi que sur les droits de la personne concernée. La personne concernée a le droit d’accéder à ses données personnelles et d’en obtenir une copie, d’exercer son droit d’opposition au traitement, éventuellement son droit à la limitation du traitement ainsi que son droit à la portabilité de ses données.
1. Qu’est-ce que les RGPD ?
La réglementation générale sur la protection des données (RGPD) a été promulguée le 27 avril 2016 et remplace la directive « Vie privée et communications électroniques » transposée en droit français par la loi « Informatique et libertés » du 6 janvier 1978. Elle s’applique dans les 28 pays de l’Union européenne à toutes les entreprises qui traitent des données personnelles de citoyens européens.
Cette réglementation harmonise les règles de protection des données personnelles et impose des obligations aux entreprises qui collectent, stockent et traitent des données personnelles.
Les données personnelles
La RGPD définit les données personnelles comme « toute information portant sur une personne physique identifiée ou identifiable ». Cette notion inclut donc également les pseudonymes et les données de localisation, lorsqu’il est techniquement possible de l’identifier.
Lorsque la personne concernée est un citoyen européen, le traitement de ses données personnelles est soumis à la réglementation européenne. Le traitement de ses données personnelles par une entreprise située hors de l’Union européenne est soumis à la réglementation européenne, mais seulement si l’entreprise a un établissement en Europe.
Les droits des personnes concernées :
Le RGPD prévoit des droits pour les individus dont les données personnelles sont collectées, stockées ou traitées par un responsable de traitement. Ces droits sont identiques dans l’ensemble des pays européens.
Le droit d’accès : les individus ont le droit de demander à un responsable de traitement de leur fournir une copie de leurs données personnelles. Ils ont également le droit d’obtenir des informations sur la façon dont leurs données personnelles sont utilisées et expliquées sur la base juridique pour laquelle elles sont collectées, stockées ou traitées.
Le droit de rectification : les individus ont le droit de demander à un responsable de traitement de rectifier, de compléter ou de mettre à jour leurs données personnelles.
Le droit d’effacement : les individus ont le droit à ce que leurs données personnelles soient effacées lorsqu’elles ne sont plus nécessaires au regard des finalités pour lesquelles elles ont été collectées.
Le droit de limitation du traitement : les individus ont le droit à ce que leurs données personnelles ne soient pas traitées pour autant qu’ils contestent l’exactitude de leurs données personnelles et demandent que celles-ci ne soient pas utilisées jusqu’à ce qu’une décision finale sur l’exactitude des données ait été établie.
Le droit à la portabilité : les individus ont le droit à demander à un responsable de traitement de fournir les données personnelles qu’ils ont fournies à ce responsable, dans un format structuré, couramment utilisé et lisible par machine et d’entransmettre une copie à tout autre responsable de traitement.
Le droit d’opposition : les individus ont le droit de s’opposer à tout moment, pour des raisons tenant à leur situation particulière, au traitement de leurs données personnelles, sous réserve que cette opposition ne compromette pas la licéité du traitement basé sur l’un des motifs énoncés à l’article 6 alinéa 1 de la loi n° 78-17 du 6 janvier 1978.
Le droit de définir le sort des données après la mort : les individus ont le droit de définir le sort des données à caractère personnel communiquées par eux après leur disparition.
La loi porte sur les traitements automatisés de données à caractère personnel, qu’ils soient effectués par des personnes physiques ou des personnes morales, dans le cadre de leur activité professionnelle ou bien dans celui de leurs activités commerciales.
Les données à caractère personnel sont les informations permettant d’identifier directement ou indirectement une personne physique.
Leur traitement comprend toute opération ou tout ensemble d’opérations effectuées ou non à l’aide de procédés automatisés et appliquées à ces données, telles que la collecte, l’enregistrement, l’organisation, la structuration, la conservation, l’adaptation ou la modification, l’extraction, la consultation, l’utilisation, la communication par transmission, diffusion ou toute autre forme de mise à disposition, le rapprochement ou l’interconnexion, la restriction, l’effacement ou la destruction.
La loi ne s’applique pas aux traitements de données à caractère personnel opérés par les autorités publiques dans l’exercice de leurs fonctions.
Le traitement automatisé de données à caractère personnel portant sur des personnes physiques répondant aux conditions définies par le Règlement (UE) 2016/679 du Parlement européen et du Conseil du 27 avril 2016 relatif à la protection des personnes physiques à l’égard du traitement des données à caractère personnel et à la libre circulation de ces données et abrogeant la directive 95/46/CE (règlement général sur la protection des données) est assimilé à un traitement de données à caractère personnel.
Le responsable de traitement est une personne physique ou morale, l’autorité publique, un service ou un organisme qui, seul ou conjointement avec d’autres, détermine les finalités et les moyens du traitement de données à caractère personnel.
Le sous-traitant est une personne physique ou morale, l’autorité publique, un service ou un organisme qui exécute les instructions du responsable de traitement en ce qui concerne le traitement des données à caractère personnel et agit sous son autorité.
Le responsable de traitement choisit un sous-traitant après avoir vérifié qu’il fournit des mesures techniques et organisationnelles adéquates pour protéger la confidentialité, l’intégrité et la disponibilité des données à caractère personnel et pour empêcher qu’elles ne soient déformées, endommagées, ou que des tiers non autorisés y aient accès.
Le responsable de traitement fixe les critères et les modalités d’exercice par le sous-traitant des activités de traitement de données à caractère personnel.
Les données à caractère personnel doivent être protégées contre les risques liés à la perte des données, au traitement illicite ou inadéquat, à l’accès non autorisé et à la divulgation non autorisée.
Les données à caractère personnel ne doivent pas être traitées pour d’autres finalités que celles précisées au moment de leur collecte.
Un traitement de données à caractère personnel est licite si le responsable de traitement démontre qu’il répond aux conditions ci-après :
En cas de violation de données à caractère personnel, le responsable de traitement en avise sans délai l’autorité nationale compétente.
En cas de violation de données à caractère personnel, le responsable de traitement prend immédiatement les mesures adéquates afin d’en limiter les effets sur les personnes concernées. Le responsable de traitement doit prendre toutes les mesures raisonnables pour identifier ou prévenir les violations des données à caractère personnel qu’il est susceptible d’encourir.
Un responsable de traitement doit protéger les droits et libertés de la personne concernée, et notamment le droit à la vie privée et à la protection des données à caractère personnel, sur l’ensemble du territoire de l’Union.
Les dispositions du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne ne peuvent pas être interprétées comme portant une atteinte disproportionnée à la liberté d’entreprendre ou à l’innovation. Cette directive s’applique aux organismes publics et aux organismes privés qui se livrent à un traitement de données à caractère personnel pour des fins autres que celles auxquelles les données à caractère personnel ont été recueillies.
1. Quelles sont les différences avec la loi Informatique et Libertés ?
La loi Informatique et Libertés n’a pas été modifiée, les dispositions d’application restent inchangées. La directive est applicable aux traitements de données à caractère personnel effectués dans le cadre de la mise en œuvre de l’activité d’un responsable de traitement ou dans le cadre des activités d’un responsable de traitement qui sont exercées pour son compte par une autre personne. Le champ d’application de la directive concerne donc les organismes privés.
Les personnes concernées par l’application de cette directive sont les personnes physiques, les personnes morales et les personnes morales de droit public qui se livrent à un traitement de données à caractère personnel pour des fins autres que celles auxquelles les données à caractère personnel ont été recueillies.
La directive s’applique aux organes de l’État qui traitent des données à caractère personnel dans le cadre de leurs activités.
Quelles sont les nouvelles obligations auxquelles sont soumis les responsables de traitement ?
2. Les obligations des entreprises et des particuliers
qui exercent une activité de traitement de données à caractère personnel sont les suivantes :
– informer les personnes concernées des finalités du traitement ;
– recueillir leur consentement ;
– respecter la finalité pour laquelle les données à caractère personnel ont été recueillies ;
– informer les personnes concernées de toute utilisation de leurs données à caractère personnel pour d’autres finalités que celles pour lesquelles elles avaient été recueillies ;
– assurer une sécurité appropriée des données à caractère personnel ;
– notifier l’accès aux données à caractère personnel ou toute autre utilisation de celles-ci à une autre personne, à moins que les données à caractère personnel ne soient recueillies pour un usage exclusif ;
– mettre en place les mesures techniques et organisationnelles appropriées afin de prévenir la perte des données à caractère personnel, leur traitement illicite ou non autorisé, l’accès non autorisé et l’altération des données à caractère personnel ;
– conserver les données à caractère personnel pendant une durée n’excédant pas celle nécessaire à l’accomplissement des finalités pour lesquelles elles ont été collectées ;
– informer les personnes concernées de leur droit de retirer leur consentement et de leur droit d’introduire une réclamation auprès de la CNIL ou du médiateur.
Le médiateur peut être saisi directement par la personne concernée ;
– informer les personnes concernées de leurs droits d’opposition, d’accès, de rectification et de suppression des données à caractère personnel collectées ;
– informer les personnes concernées de leurs droits à la limitation du traitement et du droit à l’oubli.
La CNIL rappelle que ces exigences sont applicables tant au paiement en ligne qu’à toute autre technique de paiement qui serait mise en œuvre.
La CNIL rappelle également qu’en cas de sous-traitance de traitement de données à caractère personnel, il est de la responsabilité du prestataire de sous-traitance de s’assurer que les exigences légales sont respectées.
Dans le cadre du règlement (UE) n°679/2016 sur la protection des personnes physiques à l’égard du traitement des données à caractère personnel, et notamment à l’article 25, la CNIL rappelle également aux professionnels du secteur du paiement qu’ils doivent informer leurs clients de ces obligations légales lorsqu’ils leur fournissent des services de paiement en ligne.
La CNIL rappelle enfin que les entreprises qui ne respectent pas ces obligations sont passibles d’une sanction pouvant aller jusqu’à 20 millions d’euros ou 4 % de leur chiffre d’affaires annuel mondial.
3. La période de transition des données personnelles
vers le Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD) aura lieu le 25 mai 2018.
Les entreprises qui doivent encore se mettre en conformité avec la loi informatique et libertés avant cette date, doivent mettre en place dès maintenant les mesures nécessaires pour s’adapter au RGPD.
Afin de les aider dans cette transition, la CNIL a mis en place une enquête auprès des professionnels du secteur du paiement afin de connaître les freins à la mise en conformité des entreprises.
Cette enquête, qui a été menée du 22 novembre au 2 décembre 2017 auprès de 170 entreprises, a permis à la CNIL d’avoir une image plus précise de la situation des entreprises en France.
Les principaux freins identifiés ont été les suivants :
- Le manque de temps consacré à cette tâche (38 %) ;
- Les moyens financiers manquants (31 %) ;
- Le coût pour améliorer la sécurisation des données (31 %) ;
- Le manque de compétences sur la protection des données (22 %) ;
- L’absence de directives claires et précises (20 %) ;
- Le manque de formation des salariés et de l’encadrement (19 %).
Ces résultats témoignent d’un manque de moyens financiers et humains pour mettre en place les mesures techniques et organisationnelles afin que leur entreprise soit conforme aux obligations légales.
Cette enquête a aussi permis à la CNIL de prendre la mesure de l’importance de la formation des salariés et de l’encadrement pour les entreprises.
Les entreprises doivent en effet déployer une politique de formation afin que leurs salariés aient les connaissances sur la protection des données (droit à l’oubli, droite d’accès, consentement, etc.), qu’ils soient sensibilisés aux risques et aux obligations ainsi qu’à la mise en conformité. Cette formation peut être également acquise grâce à des personnes extérieures comme des consultants ou des organismes de certification.
Au-delà de la formation, il convient de donner des responsabilités au directeur de la protection des données afin que celui-ci puisse coordonner les mesures du point de vue organisationnel et juridique (en lien avec le conseil d’administration et le comité de direction).
Conclusion
En tout état de cause, avant de déployer des actions de communication auprès de ses clients, l’entreprise doit prendre en compte la mise en conformité des mesures techniques et organisationnelles nécessaires à la protection de leurs données personnelles.
L’objectif est d’apporter aux clients de l’entreprise la preuve que celle-ci est sérieuse et digne de confiance. Elle doit montrer qu’elle maîtrise les risques liés à la collecte, à l’usage ou à la transmission des données personnelles.
En fonction de la taille de l’entreprise et du nombre de clients, cette mise en conformité peut être faite dans un délai supérieur à 6 mois, mais elle peut être faite dans un délai de 3 mois. Cependant, cette évaluation de la mise en conformité doit être faite avant l’implantation d’actions de communication auprès des clients.
La mise en conformité peut être l’occasion de remettre en cause certaines pratiques et modes de fonctionnement.
Il convient de corriger un certain nombre de dysfonctionnements, notamment :
– le fait que les responsables de traitement ne disposent pas d’une vision complète sur l’ensemble des traitements et des processus informatiques ;
– la non-conformité de certaines pratiques à la loi ;
– l’absence de traçabilité des traitements et des processus informatiques ;
– l’absence d’une vision globale de la gestion des données personnelles ;
– l’absence d’un audit des systèmes d’information en vue de leur mise en conformité.
S’il est primordial que tous les acteurs concernés par une démarche de mise en conformité aient une vision commune de la finalité et du sens de la mise en conformité, il est tout aussi important de mettre en place des procédures de contrôle de la mise en conformité.
Le contrôle est d’autant plus important que le niveau d’exigence est élevé. En effet, pour pouvoir mettre en conformité une entreprise, il faut prendre en compte la diversité des traitements et processus informatiques. Il faut déterminer les traitements à mettre en conformité et les processus informatiques à modifier ou à créer. C’est la raison pour laquelle, dans l’optique de mettre en conformité une entreprise, le contrôle est primordial.
Or, lorsque l’on veut mettre en conformité tous les traitements et processus informatiques d’une entreprise, il est difficile de savoir comment procéder. Dans certains cas, il est nécessaire d’évaluer les risques liés à la non-conformité des traitements et processus informatiques et à l’absence de documents de procédure.
En savoir plus sur les RGPD sur le site de la CNIL
Le choix du nom de domaine et le choix d’hébergement d’un site web.
Le choix de votre nom de domaine est un processus difficile. Vous devrez faire des recherches approfondies et trouver le nom qui convient à votre entreprise. Le choix d’un nom de domaine est complexe, car il ne s’agit pas simplement de choisir le nom le plus facilement accessible pour l’internaute, c’est un choix stratégique que vous avez à faire . Il vous faudra donc faire un choix après avoir étudié différents critères.
Il est vivement recommandé de faire appel à un professionnel pour l’étude de votre secteur d’activité en relation avec les noms de domaine disponibles. En effet, il est important d’y réfléchir en amont car cela vous permettra d’être le plus à l’aise possible dans votre réflexion pour trouver le nom parfait.
Par ailleurs, n’oubliez pas que le nom de domaine est également un élément fondamental de votre réputation sur la toile. Le choix de votre nom de domaine sera déterminant pour la bonne visibilité et la crédibilité de votre activité. Il est donc important d’être précis, clair et précis dans le choix de celui-ci. Votre nom de domaine doit être unique, facile à retenir, facile à mémoriser.
C’est enfin l’occasion pour vous d’affirmer votre identité sur la toile. En effet, votre nom de domaine sera la première information que les internautes verront en arrivant sur votre site web. Il est donc très important de bien réfléchir à son choix et de prêter attention aux différents critères que nous allons aborder dans cet article.
Vous êtes maintenant prêt pour vous lancer dans l’aventure ! Toutefois, pour que le processus de recherche de votre nom de domaine soit le plus aisé possible, nous vous conseillons de faire appel à une agence. Une agence de création de site internet vous permettra de ne pas perdre de temps dans le processus et d’être accompagné et conseillé tout au long de la recherche.
Vous pouvez consulter nos offres d’hébergement sur notre site dédié.
1. Comment choisir le meilleur nom de domaine
Choisir son nom de domaine n’est pas chose aisée et cela s’avère encore plus complexe lorsque l’on débute. Afin de vous aider, nous avons répertorié les différents critères à prendre en compte lors de votre recherche.
1. Le nom de domaine doit être facile à retenir
Le premier critère que vous devez prendre en compte lors de la recherche de votre nom de domaine est de choisir un nom facilement mémorisable. Il est également important que ce dernier soit unique afin d’éviter tout risque d’erreur et qu’il ne soit pas déjà pris.
2. Le nom de domaine doit faire référence à votre activité et votre marque
En tant que société, il est primordial que le nom de domaine choisi corresponde à votre marque et à votre activité. Les internautes doivent en effet pouvoir comprendre ce que vous êtes et ce que vous faites.
Le nom de domaine doit être facilement reconnaissable
Le principal intérêt du nom de domaine est qu’il puisse servir de support dans la diffusion et la promotion de votre activité. Pour ce faire, il doit être facilement reconnaissable par les internautes afin que ce ux-ci puissent le retenir facilement.
La maintenance du nom de domaine
Une fois le nom de domaine choisi, la prochaine étape est de prendre en compte la maintenance de ce dernier. Pour vous aider, nous avons répertorié les différentes étapes à suivre lorsque vous décidez d’enregistrer un nom de domaine.
L’enregistrement du nom de domaine
Lorsque vous êtes sur le point d’enregistrer un nom de domaine, vous devez d’abord prendre en compte les différentes extensions que vous pouvez choisir. En effet, le .com reste l’extension la plus utilisée, mais vous pouvez également opter pour les extensions .net ou .fr.
C’est la partie la plus importante du processus d’ouverture d’un compte de nom de domaine. En effet, lorsque vous ouvrez un compte de nom de domaine, vous allez devoir renseigner les informations personnelles qui vous permettent d’accéder à votre compte. Il est conseillé d’être particulièrement prudent lorsque vous remplissez votre profil afin d’éviter toute mauvaise surprise.
Le choix du nom de domaine
Avant de procéder à l’enregistrement du nom de domaine, il est important de prendre en compte les règles de sécurité que vous pouvez suivre afin d’être certain que ce dernier ne sera pas utilisé par des personnes mal intentionnées. Vous devez également prendre en compte le nom de domaine que vous souhaitez choisir, parce qu’il doit être facile à retenir et à reconnaitre par les internautes.
Les démarches d’ouverture d’un compte de nom de domaine
Les démarches d’ouverture d’un compte de nom de domaine sont très simples, et vous pouvez même effectuer toutes les étapes depuis votre domicile. Avant de vous lancer, il est toutefois important de prendre en compte les différentes étapes à suivre lorsque vous décidez d’ouvrir un compte de nom de domaine.
L’ouverture du compte de nom de domaine
Lorsque vous êtes sur le point d’ouvrir un compte de nom de domaine, vous devez d’abord prendre en compte les différentes extensions que vous pouvez choisir. En suite, vous devez choisir votre nom de domaine afin d’être certain que ce dernier ne soit pas déjà enregistré par un autre utilisateur. Enfin, vous allez devoir demander le transfert du nom de domaine.
De plus, certains fournisseurs de nom de domaine vous demanderont également d’effectuer un paiement avant même d’ouvrir votre compte. Cela vous permet d’avoir un accès total à toutes les fonctions du service de nom de domaine dès que vous le recevez. Toutefois, cela ne veut pas dire que vous devez payer à l’avance.
L’activation du compte de nom de domaine
Lorsque vous avez ouvert votre compte de nom de domaine, vous devez alors le configurer et l’activer. Il vous faudra ensuite patienter quelques heures avant d’avoir accès à toutes les fonctionnalités proposées par le service de nom de domaine.
2. Comment choisir l’hébergeur de site Web ?
L’hébergeur de site Web est une compagnie qui vous permet d’avoir un espace d’hébergement pour votre site Internet. Il s’agit d’une solution très efficace pour ceux qui ont peu de moyens et qui ne veulent pas se soucier des charges techniques liées à l’installation d’un site Internet. En plus de cela, l’hébergement de site Web donne la possibilité aux utilisateurs d’être en mesure de gérer leurs données et leur contenu ainsi que d’accéder à leur site Internet à tout moment.
La plupart des hébergeurs de site Web proposent des solutions d’hébergement pour les utilisateurs qui ont une demande limitée en termes de capacité et d’espace d’hébergement. Cependant, il existe également des offres d’hébergement payantes avec un prix variant selon les prestations offertes par l’hébergeur de site Web. Voici quelques critères à prendre en compte avant de choisir un hébergeur de site Web.
Il existe différents types de solutions d’hébergement, chacun ayant ses propres avantages et inconvénients. L’hébergement d’hébergement sur serveur dédié permet d’avoir une plus grande flexibilité et une facilité d’utilisation, mais cela implique un coût élevé. Il est aussi possible d’opter pour l’hébergement sur serveur mutualisé, qui offre également une flexibilité et une facilité d’utilisation, mais le coût est moins élevé. Le serveur dédié et le serveur mutualisé sont des solutions d’hébergement qui offrent une grande capacité d’espace d’hébergement.
L’hébergement sur serveur virtuel (VPS) est une solution d’hébergement qui permet aux utilisateurs de bénéficier d’une grande flexibilité et de contrôler leurs serveurs à l’aide d’une interface utilisateur web. L’hébergement sur serveur virtuel requiert cependant une configuration et une formation avant de pouvoir être utilisé.
L’hébergement sur serveur dédié est une solution d’hébergement qui est réservée aux sites Web de taille importante. L’hébergement sur serveur dédié offre une grande flexibilité, mais implique des coûts d’entretien élevés.
L’hébergement sur serveur mutualisé peut être défini comme l’hébergement sur un serveur dont la capacité est partagée par plusieurs utilisateurs. Ce système d’hébergement est souvent utilisé par des sociétés qui hébergent plusieurs sites Web ou par des petites entreprises qui ont besoin d’un espace d’hébergement à moindre coût.
3. Quel hébergeur choisir ?
L’hébergement est un domaine qui regorge de solutions et d’offres allant du très bon au très mauvais.
Pour choisir son hébergeur, il est important d’avoir une idée précise de ce que l’on veut faire avec son site Web. Il n’y a pas de meilleur hébergeur que les autres, chaque hébergeur propose des options plus ou moins importantes, dans la plupart des cas on peut trouver la solution adaptée à son besoin rapidement.
Il faut aussi penser à la pérennité de l’entreprise hébergeant notre site Web, il est toujours plus rassurant de savoir que son hébergeur est un acteur reconnu du marché et qu’il est présent depuis plusieurs années.
Vérifiez bien les périodes d’essai et les conditions d’annulation. Il est important de savoir combien de temps il nous reste pour résilier le contrat d’hébergement ou de revenir sur nos choix au cas où nous avons choisi un hébergeur trop cher, trop gourmand en ressources ou qui ne fait pas ce qu’on nous avait promis.
4. Le coût de l’hébergement
Le coût de l’hébergement est une grande différence entre les offres d’hébergement des sociétés. Certaines offres peuvent être très alléchantes, d’autres sont relativement chères. C’est un point important à vérifier pour trouver un hébergeur qui propose une offre répondant à tous nos besoins.
Les tarifs d’hébergement sont généralement définis par des coûts fixes et des coûts variables.
Le coût mensuel d’abonnement, c’est-à-dire le prix de l’hébergement va dépendre de la taille de l’espace disque que vous allez utiliser pour votre site Web, du nombre de mails que vous allez recevoir. Si vous voulez en savoir plus sur le coût de l’hébergement, lisez notre article sur le sujet : Coût de l’hébergement.
Le coût variable, c’est-à-dire le prix de connexion ou de mise à disposition du service d’hébergement va dépendre du nombre de requêtes effectuées par les visiteurs du site.
En fait, il est rare que les coûts variables soient pris en compte dans la facture d’hébergement car ils sont très peu élevés.
5. Tout ce qui concerne le nom de domaine
Il est important de bien choisir le nom de domaine pour le site afin qu’il soit facilement retrouvable. La plus part du temps, le nom de domaine et le nom d’hébergeur sont réservés dès le départ et il est donc difficile de changer le nom de domaine après avoir créé le site.
Le nom de domaine est composé d’un nom, d’un préfixe et d’un suffixe. Le nom, c’est la partie principale du nom de domaine. Il doit être facilement mémorisable et facile à retenir. C’est souvent le nom du site (par exemple : www.google.com).
Le préfixe est la partie avant le nom du domaine. Il sert à indiquer l’organisation qui possède le domaine. Il est généralement composé de lettres majuscules (par exemple .org ou .com). Le suffixe est la partie après le nom du domaine et il permet de spécifier la langue du site ou bien l’endroit où est hébergé votre site (par exemple : .fr ou .be).
Quel que soit le site ciblé, il faut faire attention à la concurrence qui peut être très importante dans certains secteurs. Le site doit aussi être facilement retrouvable par les moteurs de recherche pour que les internautes puissent le trouver sans trop de difficultés . Le site ne doit pas avoir de grande difficulté à se positionner dans les moteurs de recherche.
Conclusion
En résumé, le choix d’un nom de domaine est très important. Il doit être facilement mémorisable et facile à retenir. Il doit être court et facile à écrire. C’est un élément très important de l’e-réputation de votre site car il doit être unique.
Les principaux facteurs à prendre en compte pour le choix d’un nom de domaine sont :
-La concurrence : il faut être présent sur le marché mais aussi être bien référencé.
-La facilité de mémorisation du nom de domaine
-L’originalité du nom de domaine
-La facilité d’écriture du nom de domaine
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La méthode AIDA en webmarketing, de la théorie à la pratique
La méthode AIDA (« attention », « intérêt », « désir », « action ») est une méthode de vente qui a fait ses preuves depuis des décennies. Elle permet d’identifier les différentes étapes d’un processus de vente (ou d’un processus d’achat), ainsi que les leviers à actionner pour amener le prospect à franchir chaque étape.
Cette méthode, qui repose sur l’identification des étapes du processus de vente, est aujourd’hui largement utilisée en webmarketing. En effet, la mise en place d’un site Internet suppose également la mise en place d’une stratégie de marketing, qui doit permettre à ce dernier de générer des leads (des prospects), lesquels seront ensuite acheminés vers un processus de transformation (c’est-à-dire vers un projet commercial).
Pour y parvenir, la méthode AIDA est très souvent utilisée, car elle permet de déterminer les actions à mener, de manière à amener le prospect à franchir les étapes du processus de vente.
1. Qu’est-ce que la méthode AIDA?
Pour commencer, nous allons vous expliquer ce qu’est la méthode AIDA. AIDA est une ancienne méthode de marketing qui désigne les actions suivantes: Attirer, Interagir, Développer et Acquérir.
Attirer
Il s’agit du premier objectif du marketing. Il s’agit de séduire les prospects et d’attirer leur attention et leur intérêt. Le but est de les amener à interagir avec votre site ou avec votre entreprise.
Interagir
L’interaction est un second objectif du marketing. Son but est de développer une relation avec le prospect et de lui créer une véritable relation de confiance. L’objectif est de pouvoir enfin réaliser l’acquisition.
Développer
La découverte est un autre objectif très important. Le but est d’amener le prospect à avoir envie de découvrir votre entreprise, vos produits et vos services. Les actions de marketing sont nombreuses et variées, mais le but est toujours le même: créer une relation avec le prospect.
Acquérir
Le dernier objectif du marketing est l’acquisition. Lorsque la relation est bien établie, il s’agit de réaliser l’acquisition. Le but est de faire du prospect un client à part entière.
Comme vous pouvez le voir, la méthode AIDA est une méthode très ancienne. Elle permet d’identifier les objectifs d’un marketing et de les hiérarchiser. C’est une méthode très simple: vous déterminez votre objectif, puis vous faites ce qu’il faut pour l’atteindre. Lorsque vous avez réussi à créer une relation avec un prospect et que vous l’avez convaincu de venir sur votre site web, il s’agit d’un premier pas vers la conquête.
2. Les étapes de la méthode AIDA
Le processus d’achat ou de vente se découpe en 4 étapes :
– la première étape est celle de l’attention. Il s’agit donc de capter l’attention du prospect. Cette étape peut être déclenchée par divers canaux : le bruit de fond (publicité, par exemple), l’image (logo, marque, slogan), etc.
– La seconde étape est celle de l’intérêt. Le prospect commence à s’intéresser à votre produit ou à votre service. Cette étape peut être déclenchée par le bruit de fond du canal d’attention. C’est le moment où il vous faut répondre aux questions « Qui sont-ils ? », « Que font-ils ? », « Où les trouver ? », « Pourquoi sont-ils intéressés par le produit ou le service ? ».
– La troisième étape est celle de l’intention d’achat. C’est l’étape où le prospect envisage sérieusement d’acheter votre produit et/ou votre service. En général, il vous met en compétition avec d’autres entreprises. Cette étape est déclenchée par le bruit de fond du canal d’intérêt. Il vous faut donc répondre aux questions « Qui sont mes concurrents ? », « Comment les aider à répondre à leurs propres besoins ? », « Qu’est-ce qui fait la différence entre mon produit et ceux de mes concurrents ? ».
– L’étape ultime est celle de la conversion. Le prospect est convaincu que vos produits et/ou services répondent à ses besoins. C’est la décision d’achat. Cette étape est déclenchée par le bruit de fond du canal d’intention d’achat. Il faut donc répondre aux questions « Quel est mon processus de vente ? », « Comment communiquer avec le prospect ? », « Comment pouvons-nous l’aider à prendre sa décision d’achat ? ».
Pour avoir une chance de réussir dans le commerce électronique, il faut savoir être attentif à toutes les étapes de l’expérience client et répondre dans les meilleures conditions possibles à ses besoins. Cela suppose une excellente connaissance de son marché et de ses concurrents. Une stratégie marketing bien menée est essentielle pour réussir.
Toutes les étapes de l’expérience client sont importantes : la phase d’intérêt, celle d’intention d’achat et celle de conversion. Il faut savoir répondre aux besoins des acheteurs et à leurs questions. Les mots clés sont : la connaissance du marché, la préparation, la communication et l’analyse. L’objectif est de satisfaire un maximum de clients en respectant trois critères : l’efficacité, la satisfaction et le coût .
La phase d’intérêt : C’est le moment où le prospect est attiré par un produit, un service ou une information. Cela peut être à la suite d’une campagne publicitaire ou d’une réunion commerciale par exemple. Cette phase est primordiale pour la suite de l’expérience client. C’est pourquoi il faut garder la trace de tous les contacts avec les prospects afin de pouvoir les recontacter.
La phase d’intention d’achat : ce sont les contacts avec le prospect. La première rencontre est le moment où l’on tente de s’introduire dans le marché et d’attirer l’attention du client. Il faut savoir se différencier et faire parler de soi. Il faut donc être sur tous les fronts, dans toutes les conversations, à toutes les époques, avec de l’information pertinente et pertinente.
La phase de conversion : c’est celle où le client passe à l’acte d’achat. Cette phase doit être la plus court possible et doit être efficace. Il faut être présent au bon endroit au bon moment.
La phase de fidélisation : il faut se démarquer de la concurrence, fidéliser ses clients et les faire revenir.
Le client a besoin d’être informé sur l’évolution du marché et sur les offres du moment. Il doit être sûr de son choix parce qu’il achète de plus en plus sur internet et qu’il n’a pas envie de perdre son temps. Il faut donc être présent sur les réseaux sociaux et communiquer de façon pertinente sur internet.
Il faut donc être présent sur tous les fronts si l’on veut toucher le maximum de clients potentiels. Il faut être présent sur tous les canaux d’information (presse, radio, web, …) et essayer à chaque fois de se différencier de la concurrence. Lorsqu’un client sera en phase d’intérêt il sera plus facile à fidéliser.
3. Les objectifs de la méthode AIDA
A quoi sert la méthode AIDA?
La méthode AIDA est d’une grande utilité pour l’entreprise. La méthode AIDA aide à définir les objectifs de l’entreprise, à communiquer efficacement auprès de la clientèle et à fidéliser celle-ci. En intégrant cette méthode dans son marketing, l’entreprise est en mesure de définir les objectifs qu’elle doit atteindre.
Les objectifs sont définis une fois que l’entreprise a bien compris ses besoins et ses attentes.
Le marketing permet de communiquer efficacement auprès de la clientèle et cette communication dépend des objectifs que l’entreprise se fixe.
C’est une méthode très pratique et efficace pour fidéliser la clientèle.
L’entreprise sait quels sont ses clients et elle sait comment les fidéliser.
La méthode AIDA aide à mieux comprendre les besoins et les attentes des clients. En effet, l’utilisation de cette méthode permet d’analyser les attentes du client et d’en tirer profit pour pouvoir améliorer la qualité de service à la clientèle.
Lorsque l’on souhaite fidéliser la clientèle, il est important que celle-ci soit satisfaite. Durant l’étape de l’acquisition de la clientèle, l’entreprise doit donc répondre aux attentes des clients.
Ce ne sont pas les seuls clients qui sont satisfaits. L’entreprise doit aussi fidéliser les clients existants. Elle peut faire en sorte que ses clients rachètent leurs produits ou services et qu’ils parlent d’eux-mêmes à leur entourage.
AIDA est une méthode qui permet d’atteindre un objectif en quatre étapes. La méthode AIDA est un outil marketing qui aide à fidéliser la clientèle. On peut l’utiliser dans de nombreuses situations.
4. Les avantages de la méthode AIDA
La méthode AIDA est un outil marketing qui aide à fidéliser la clientèle. C’est une méthode simple à utiliser. L’entreprise peut l’utiliser dans de nombreuses situations.A l’issue de ce chapitre, vous aurez une bonne connaissance de la méthode AIDA. Vous serez en mesure d’appliquer cette méthode dans un contexte marketing.
Grâce à notre formation, vous serez capable :
• D’expliquer le contexte de la méthode AIDA
• De décrire les quatre étapes de la méthode AIDA
• D’expliquer les avantages de la méthode AIDA
• D’expliquer le contexte de la méthode AIDA
Source de l’article : www.instants-web-formation.fr
Les applications nocode pour la création de site web, est-ce vraiment simple ?
Vous souhaitez créer un site web, mais vous n’avez aucune expérience dans le domaine de la programmation, et encore moins les compétences en HTML et CSS requises par le langage de programmation WordPress. Vous ne savez pas par où commencer ? Nocode est une solution à votre problème. Ce sont des applications pratiques qui vous permettent de créer un site web facilement. Comment ça marche ? Vous n’avez pas besoin d’avoir de compétences particulières pour maîtriser les applications nocode, car elles sont très simples d’utilisation. Mettre en place un site web n’a jamais été aussi simple. Une fois les applications nocode installées sur votre ordinateur, vous avez accès à un nombre impressionnant d’outils qui vous permettent de créer des sites web professionnels, même si vous n’avez aucune connaissance du HTML et du CSS.Vous avez juste besoin d’une connexion à Internet pour commencer à utiliser les applications nocode.
Les applications nocode sont très simples d’utilisation. Vous avez juste besoin d’un ordinateur et d’une connexion internet pour commencer à créer des sites web professionnels.1. Les différentes applications nocode
Nous avons sélectionné pour vous les meilleures applications nocode.
Vous n’avez pas besoin d’avoir des compétences particulières pour créer un site web professionnel avec ces applications. WordPress est une application nocode qui vous permet de créer facilement votre propre site web. Vous pouvez personnaliser votre site WordPress grâce à l’aide d’un large éventail d’outils puissants, comme des modules de menus, des widgets, des thèmes et des éléments graphiques. Joomla est une application nocode qui vous permet de créer facilement votre propre site web. Vous pouvez personnaliser votre site Joomla grâce à l’aide d’un large éventail d’outils puissants, comme des modules de menus, des widgets, des thèmes et des éléments graphiques. Drupal est une application nocode qui vous permet de créer facilement votre propre site web. Vous pouvez personnaliser votre site Drupal grâce à l’aide d’un large éventail d’outils puissants, comme des modules de menus, des widgets, des thèmes et des éléments graphiques. Wix est une application nocode qui vous permet de créer facilement votre propre site web. Vous pouvez personnaliser votre site Wix grâce à l’aide d’un large éventail d’outils puissants, comme des modules de menus, des widgets, des thèmes et des éléments graphiques. Weebly est une application nocode qui vous permet de créer facilement votre propre site web. Vous pouvez personnaliser votre site Weebly grâce à l’aide d’un large éventail d’outils puissants, comme des modules de menus, des widgets, des thèmes et des éléments graphiques. Squarespace est une application nocode qui vous permet de créer facilement votre propre site web. Vous pouvez personnaliser votre site Squarespace grâce à l’aide d’un large éventail d’outils puissants, comme des modules de menus, des widgets, des thèmes et des éléments graphiques. SmartDraw est une application nocode qui vous permet de créer facilement votre propre site web. Vous pouvez personnaliser votre site SmartDraw grâce à l’aide d’un large éventail d’outils puissants, comme des modules de menus, des widgets, des thèmes et des éléments graphiques. Site123 est une application nocode qui vous permet de créer facilement votre propre site web. Vous pouvez personnaliser votre site Site123 grâce à l’aide d’un large éventail d’outils puissants, comme des modules de menus, des widgets, des thèmes et des éléments graphiques. Sitelio est une application nocode qui vous permet de créer facilement votre propre site web. Vous pouvez personnaliser votre site Sitelio grâce à l’aide d’un large éventail d’outils puissants, comme des modules de menus, des widgets, des thèmes et des éléments graphiques. Strikingly est une application nocode qui vous permet de créer facilement votre propre site web. Vous pouvez personnaliser votre site Strikingly grâce à l’aide d’un large éventail d’outils puissants, comme des modules de menus, des widgets, des thèmes et des éléments graphiques.Pour les applications no code plus avancées, voici quelques exemples :
BootstrapBuilder : Bootstrap Builder est l’un des outils les plus avancés pour créer des sites web utilisant le CSS et le code HTML5. Il permet de créer des sites web sous la forme d’une page web par page et de créer des pages qui correspondent à une URL. Weblium est un outil de création de sites web simple et puissant qui vous permet de créer facilement votre propre site web. Avec Weblium, vous pouvez personnaliser votre site Wellium grâce à l’aide d’un large éventail d’outils puissants, comme des modules de menus, des widgets, des thèmes et des éléments graphiques. Typedream est un outil très puissant pour la création de sites web dans un environnement no code. Typedream vous permet de créer des sites web grâce à un ensemble diversifié d’outils puissants, comme des modules de menus, des widgets, des thèmes et des éléments graphiques. Webflow : Webflow est un outil de création de sites web dans un environnement no code. Webflow vous permet de créer des sites web grâce à un ensemble diversifié d’outils puissants, comme des modules de menus, des widgets, des thèmes et des éléments graphiques. J’espère que cette liste vous aidera à choisir le meilleur outil pour créer le site Web que vous avez toujours rêvé. Ne vous faites d’illusion , ne vous lancez pas dans la création d’un site si vous ne vous sentez pas capable car l’apprentissage en solo est long.2. Les possibilités intéressantes des applications nocode sont indéniables.
Elles permettent aux entreprises d’eviter le coût des ressources humaines et la création d’une équipe dédiée à la conception de sites web. La plupart des applications nocode sont gratuites.Le seul inconvénient de l’utilisation de ces outils est que vous aurez besoin de quelques compétences HTML/CSS pour obtenir un site agréable à utiliser et qui ne sera pas un embarras pour les internautes.
3. Les applications nocode pour créer votre boutique en ligne
Vous voulez créer une boutique en ligne ? Découvrez quelles sont les applications nocode qui vous permettront de concevoir une boutique en ligne facilement. Shopify : Shopify est une plateforme de commerce électronique qui vous permet de créer votre boutique en ligne. Il est possible d’utiliser plusieurs moyens de paiement, dont le prélèvement automatique, Paypal et carte bancaire. Vous pourrez aussi gérer les produits que vous avez en stock comme les produits de votre boutique, et les promotions qui sont proposées. Vous pourrez aussi gérer les commandes, car vos articles seront imprimés à partir de votre propre imprimerie. Prestashop : Prestashop est une plateforme de e-commerce créée il y a plus de 10 ans et qui permet de créer des boutiques en ligne. Il possède toutes les fonctionnalités dont vous aurez besoin pour gérer votre boutique, comme le suivi des commandes, la gestion des produits en stock, la gestion des commandes et bien plus encore. Vous pourrez aussi personnaliser votre boutique en ligne en modifiant le CSS dans les templates proposés. Magento : Magento est une plateforme de commerce électronique qui est très appréciée des e-commerçants. Elle vous permet de créer votre boutique en ligne, et vous permet de gérer les produits, les commandes, les promotions, comme sur une autre plateforme de commerce électronique. Magento est très intuitif et facile à prendre en main, et vous pourrez aussi y intégrer des extensions qui vous permettront d’avoir plus de fonctionnalités que sur les autres plateformes.Conclusion
Vous l’aurez compris, il existe une multitude de plateformes de commerce électronique qui vous permettront de créer votre boutique en ligne. Chacun d’entre eux ont des avantages et des inconvénients, et vous devrez faire le choix qui vous correspond le mieux. Vous pouvez aussi installer plusieurs plateformes de commerce électronique afin de comparer les fonctionnalités que chacune d’entre elles propose. Source de l’article : https://www.instants-web-agency.frL’importance des mises à jour pour garder votre site internet stable et sécurisé.
Les mises à jour sont un aspect clé de la sécurité informatique, et sont essentielles pour maintenir votre site web en bon état. Si votre site web n’est pas mis à jour, il pourrait être vulnérable à des attaques informatiques, ce qui peut avoir des conséquences désastreuses. Les mises à jour vous permettent de garder votre site protégé contre des attaques informatiques et de maintenir son fonctionnement de façon fiable.
1. Les mises à jour logicielles et les périodicités
Les mises à jour des logiciels sont parfois nécessaires pour corriger des failles de sécurité ou améliorer la stabilité du site web. Les mises à jour pour votre site web peuvent inclure des versions plus récentes des programmes que vous utilisez sur votre serveur web, comme WordPress, Joomla! et d’autres. Les mises à jour peuvent également être appliquées à des programmes tiers, comme les plug-ins, les thèmes et autres.
Il est important de mettre à jour votre site web régulièrement. Certains programmes permettent d’automatiser les mises à jour, mais d’autres doivent être mis à jour manuellement. Dans certains cas, il peut être nécessaire de mettre à jour un programme pour l’utiliser avec une version supérieure de votre système d’exploitation. Par exemple, vous pouvez avoir besoin d’une version plus récente du serveur Web Microsoft Internet Information Services (IIS) pour utiliser un plug-in ou un thème de WordPress.
Les mises à jour peuvent apporter des améliorations au fonctionnement et à la stabilité des programmes, mais elles peuvent également introduire des problèmes. C’est pourquoi il est important d’examiner les notes de mise à jour pour chaque programme afin de déterminer si elles contiennent des changements significatifs. Par exemple, vous pourriez découvrir que le temps de chargement de votre site est plus long qu’avant, mais que cela est attribuable à une amélioration de la sécurité.
Les notes de mise à jour sont également importantes pour les programmes tiers (comme les plug-ins, les thèmes et autres) qui peuvent être installés sur votre site web. Les notes de mise à jour fournissent des informations sur les problèmes connus avec le programme et des recommandations sur l’utilisation du programme dans votre environnement. Si vous prévoyez d’installer un plug-in ou un thème sur votre site, assurez-vous de télécharger les notes de mise à jour et de les lire attentivement.
WordPress propose habituellement des notes de mise à jour automatiquement lorsque vous ouvrez le panneau d’administration. Cependant, certaines mises à jour ne sont disponibles que si vous appuyez sur un bouton spécifique, ou si vous cliquez sur Annuler au lieu de Terminer.
Observez également que certaines notes de mise à jour peuvent être disponibles uniquement en anglais. Bien que les notes de mise à jour soient disponibles en français, elles sont souvent plus brèves et moins détaillées que leurs versions anglaises. Si vous ne comprenez pas toutes les informations d’une note de mise à jour, vous pourrez toujours demander de l’aide à un expert WordPress ou à votre fournisseur.
Enfin, si un plug-in ou un thème indique clairement dans sa note de mise à jour qu’il est incompatible avec une version précédente de WordPress et que vous êtes encore sous cette version, vous devez suivre les instructions du plug-in ou du thème.
Si vous ne suivez pas ces instructions, vous pourriez facilement être incapable d’accéder à votre site Web, voire à votre site Internet tout entier. Il est donc très important de toujours lire les notes de mise à jour des plug-ins et des thèmes que vous installez.
L’importance de la documentation
La documentation est une autre source de conseils pratiques pour les administrateurs qui utilisent WordPress . Il existe plusieurs types de documents, comme les guides intégrés, les tutoriels et les FAQ.
Ces documents vous aideront à utiliser WordPress de façon optimale et sûre. Vous trouverez des éléments d’information sur l’installation et le paramétrage de WordPress, ainsi que des instructions sur l’utilisation de ses fonctionnalités.
Par exemple, si vous ne savez pas comment vous connecter à votre compte client WordPress, la documentation vous expliquera comment le faire. Si vous voulez savoir quels sont les plug-ins à installer, vous pouvez consulter la page de plugins WordPress.
La documentation est un excellent moyen de trouver des informations précises sur n’importe quel sujet. Vous pouvez vérifier la page FAQ WordPress pour plus d’informations sur l’installation ou la configuration.
Parce que ces documents sont mis à jour régulièrement, vous pouvez toujours les consulter en vous assurant que vos questions ont été déjà posées et résolues.
Vous pouvez également accéder à de nombreuses autres ressources utiles, comme des tutoriels vidéo, des articles et des listes de lecture sur tous les sujets liés à WordPress.
Mise à jour automatique
Non seulement la documentation s’améliore constamment, mais elle est également accessible à tout moment. WordPress met à jour automatiquement la documentation en ligne et vous pouvez accéder aux mises à jour de manière continue.
Cela signifie que vous pouvez vous connecter à n’importe quel moment de la journée , ou même la nuit, et bénéficier des dernières mises à jour.
Un centre de support gratuit
Il n’y a rien de mal à avoir besoin d’aide avec une installation ou un problème WordPress. Vous pouvez toujours demander de l’aide en utilisant le forum de support officiel de WordPress ou vous rendre sur l’excellent site wpmarmite.com
2. Les mises à jour des bases de données
Si vous utilisez une version de WordPress antérieure à la version 3.7, vous devez faire attention quand vous utilisez le gestionnaire des mises à jour et que vous utilisez une mise à jour de base de données.
En effet, si vous utilisez une base de données intégrée avec WordPress, il faut désactiver cette fonction avant d’utiliser l’option « Mettre à jour ».
La raison est simple : une base de données intégrée est stockée dans le même fichier que le code source de WordPress. Si vous mettez à jour votre version de base de données, vous téléchargerez aussi les modifications apportées au code source.
Cela signifie que votre site ne fonctionnera plus parce qu’il ne saura pas quoi utiliser : soit la version de base de données, soit la version du code source.
Pour éviter ce désagrément, vous devez désactiver la fonction de mise à jour avant d’utiliser le gestionnaire des mises à jour. Pour cela, vous devez vous rendre dans le panneau de configuration > Système > Mises à jour des bases de données.
Puis, vous cochez l’option « Désactiver les mises à jour automatiques de la base de données ».
Vous pouvez maintenant mettre à jour votre site WordPress.
3. Les mises à jour des plugins
Le processus de mise à jour des plugins est très similaire à celui de la base de données. Vous devez tout d’abord vous rendre dans le panneau de configuration > Système > Mises à jour des plugins.
Là, vous sélectionnez les plugins que vous souhaitez mettre à jour.
Une fois cela fait, vous cliquez sur « Mettre à jour ».
Une fois la mise à jour terminée, vous devez cliquer sur « Fermer la fenêtre ».
Il existe plusieurs plugins qui gèrent eux-mêmes leurs mises à jour. C’est le cas du plugin WordPress SEO par exemple.
Votre site WordPress va alors se mettre en pause pendant quelques instants. Lorsqu’il revient, il affiche un message vous indiquant que la mise à jour a été réussie.
Vous pouvez alors réactiver le site pour que les modifications soient enregistrées.
Pour mettre à jour un plugin WordPress, vous devez d’abord aller dans le panneau de configuration > Apparence > Plugins.
Vous sélectionnez alors le plugin que vous souhaitez mettre à jour.
Une fois votre choix fait, vous cliquez ensuite sur « Mettre à jour ».
Une fois la mise à jour terminée, vous pouvez cliquer sur « Fermer la fenêtre ». Les mises à jour des thèmes et des plugins WordPress
4. Les mises à jour des thèmes WordPress
Pour mettre à jour un thème WordPress, vous devez d’abord aller dans le panneau de configuration > Apparence.
Vous sélectionnez alors le thème que vous souhaitez mettre à jour.
Une fois votre choix fait, vous cliquez ensuite sur « Mettre à jour ».
Une fois la mise à jour terminée, vous pouvez cliquer sur « Fermer la fenêtre ».
5. Les mises à jour de la version de WordPress
Pour mettre à jour une version de WordPress, vous devez d’abord aller dans le panneau de configuration > Mise à jour.
Vous sélectionnez alors la version que vous souhaitez mettre à jour.
Une fois votre choix fait, vous cliquez ensuite sur « Mettre à jour ».
En régle général sur nos serveurs chez instants-web-hosting les mises à jour de version de WordPress se font automatiquement.
N’hésitez pas à consulter notre site pour découvrir nos offres d’hébergement de site internet.
Source de l’article : www.instants-web-agency.fr
Améliorer votre référencement naturel grâce à un cocon sémantique
Lorsque l’on souhaite améliorer son référencement naturel, on a tendance à se focaliser sur les mots clés et la structure de son site. Cependant, le contenu sémantique est un facteur clé que l’on oublie. Il existe plusieurs stratégies permettant de développer son cocon sémantique, de la construction de son nid de contenus à la mise en oeuvre de micro-contenus.
L’importance d’un cocon sémantique
1. Qu’est-ce que le cocon sémantique ?
Un cocon sémantique est un ensemble de mots clés répertoriant des sujets liés entre eux et ayant une forte charge émotionnelle pour le visiteur. En d’autres termes, il s’agit d’un ensemble de mots clés qui permettent au visiteur de comprendre l’objectif du site et lui donne envie de le consulter.
Pour en savoir plus sur le cocon sémantique, nous vous recommandons de vous connecter sur le site de notre agence web et découvrir nos offres SEO.
Créer un cocon sémantique permet d’augmenter sa visibilité sur les moteurs de recherche. Le contenu sémantique doit être construit de manière à attirer les mots clés ciblés par les internautes. Il doit donc être pertinent et complémentaire.
C’est pourquoi, le contenu sémantique est essentiel à la réussite de votre stratégie de référencement naturel, quels que soient le thème et le secteur d’activité de votre site.
2. Pourquoi utiliser le cocon sémantique ?
Le contenu sémantique est celui qui permet d’exprimer une information, uncontenu, une image ou encore une vidéo de manière précise et pertinente.
Il est important de connaitre la nature du site et sa mission avant d’opter pour un contenu sémantique. En effet, il n’est pas possible d’utiliser le même type de contenu pour un site de vente en ligne qu’une plateforme e-learning.
Ainsi, le contenu sémantique peut être :
• Des textes qui expriment clairement l’objectif du site et les avant ages qu’il offre à ses utilisateurs.
• Des images illustrant le thème du site, du produit ou du service.
• Des vidéos qui permettent de présenter les caractéristiques, le fonctionnement d’un produit ou d’une application.
• Une personnalisation de l’interface de navigation et de la charte graphique.
• Des liens hypertexte permettant une navigation plus fluide et plus intuitive.
Quels sont les avantages du cocon sémantique ?
Le cocon sémantique est une alternative intéressante à la création de site vierge. En effet, il permet de construire une architecture et une navigation pratiques avec moins d’efforts et surtout avec des moyens financiers limités.
En outre, le cocon sémantique permet de :
• Optimiser la visibilité du site : les moteurs de recherche détectent plus facilement le contenu sémantique grâce aux balises.
• Améliorer la navigation : grâce au contenu sémantique, les internautes peuvent trouver plus facilement ce qu’ils recherchent sur le site.
• Améliorer la performance du site : la construction du site se fait sans retard et avec un budget maîtrisé.
Le cocon est-il adapté à tous les types de sites ?
Le cocon sémantique a été développé pour répondre aux besoins des entreprises. Il est donc idéal pour :
• Les sites qui souhaitent mettre en place une stratégie e-commerce sans investissement important.
• Les sites qui veulent réduire le temps passé à créer des pages web.
• Les sites qui sont confrontés au problème de l’indexation par les moteurs de recherche.
• Les sites qui souhaitent développer leur visibilité sur le web.
Quels sont les avantages du cocon pour les entreprises ?
Avec le cocon sémantique, les entreprises peuvent :
• Développer leur visibilité sur le web.
• Construire un site web performant et puissant sur lequel ils pourront développer une stratégie e-commerce.
• Réduire le temps passé à créer et à maintenir le site web.
• Obtenir les informations nécessaires au positionnement des mots clés dans les moteurs de recherche.
• Augmenter le trafic sur le site : les moteurs de recherche pourront retrouver plus facilement les pages du site grâce au contenu sémantique.
• Augmenter le nombre de ventes : le site sera plus facilement trouvé par les internautes.
Quels sont les avantages pour les internautes ?
• Un contenu enrichi : le contenu sémantique permet d’avoir une meilleure expérience utilisateur et de pouvoir développer des stratégies e-commerce performantes.
• Une meilleure visibilité sur le web : les moteurs de recherche seront plus facilement en mesure de retrouver le site et de lui offrir une positionnement dans les résultats de recherche.
• Une meilleure expérience utilisateur : les internautes pourront enfin bénéficier d’un meilleur contenu.
Avoir une stratégie e-commerce performante implique donc de se lancer dans l’e-réputation et le contenu sémantique !
3. Instaurer un cocon sémantique
Même si vous ne connaissez pas encore le contenu sémantique, il est inutile de paniquer ! Il existe plusieurs solutions pour commencer à y voir plus clair :
• La première solution est d’aller voir sur le site de Google ce qu’il en est. Vous pourrez y découvrir les trois types de contenus sémantiques : les microformats, les nouveaux contenus sémantiques.
• La seconde solution est de voir avec votre agence web comment vous pouvez déjà commencer à utiliser le contenu sémantique sur votre site.
• La troisième solution est d’utiliser le moteur de recherche de Google qui vous permettra de trouver des outils simples pour vous aider à commencer à rédiger du contenu sémantique.
Quel que soit votre choix, il faudra bien entendu prendre le temps de vous former et de former vos développeurs afin qu’ils maîtrisent cette nouvelle technologie.
Les recommandations du W3C
Les recommandations du World Wide Web Consortium (W3C) sont à la base de l’élaboration des nouveaux standards du Web, qu’il s’agisse de HTML, d’XML, d’Open Graph ou d’autres encore.
Le W3C est l’organisation internationale sans but lucratif créée par Tim Berners-Lee pour définir les standards du Web. Il a pour mission de favoriser l’interopérabilité des applications sur le Web et de promouvoir la liberté technologique.
Les recommandations du W3C sont publiées sur http://www.w3.3.org/TR/ et elles sont consultables par toute personne avec un lien vers le lien source.
Le W3C s’appuie sur des groupes de travail qui sont nommés «spécifications » et qui élaborent les standards du Web. Ces groupes de travail sont gérés par des individus motivés, qui sont volontaires pour participer à l’élaboration des standards du Web. Les membres du W3C peuvent être individuellement ou collectivement impliqués dans un ou plusieurs groupes de travail, selon leurs intérêts et leurs compétences.
Lorsqu’une spécification est terminée, elle est soumise aux membres du W3C pour révision. Si elle est approuvée, elle est publiée et devient alors une recommandation du W3C.
4. Générer des liens vers votre blog
Pour générer des liens vers votre blog avec l’adresse que vous souhaitez, allez dans “Affichage” et cliquez ensuite sur “Dynamiser”. Des liens de changement de domaine seront alors générés et vous pourrez les copier/coller où vous le souhaitez.
La possibilité de générer des liens depuis la dernière version fait partie de l’intégration de WordPress dans les extensions sur la tableau de bord de WordPress. Cette possibilité est disponible par le biais d’un applet de gestion et est proposée à l’utilisateur en fonction de différentes situations :
La génération de liens pour les utilisateurs de WordPress est possible depuis la dernière version. Elle est possible avec l’adresse que vous souhaitez. Cette méthode permet de créer des liens vers n’importe quel site web.
Dans notre formation sur le référencement naturel nous vous apprenons les meilleures techniques pour générer des liens qui boostent votre notoriété sur le web.
Le digital outsourcing : le nouveau mode de travail dans les entreprises
L’outsourcing est un phénomène qui prend de plus en plus d’ampleur. Les entreprises n’hésitent plus à recourir à ce mode de gestion pour leurs activités, car il permet de réduire leurs frais tout en accélérant leur développement. Dans la même veine, un nouveau type d’outsourcing est apparu ces dernières années : le digital outsourcing. Ce dernier consiste à externaliser la création et l’exploitation d’un site web ou d’une application mobile à une agence spécialisée de production de contenus.
Le digital outsourcing consiste à confier la création ou l’entretien d’un site web ou d’une application à une agence spécialisée de production de contenus. Ce mode de gestion est apparu ces dernières années et semble répondre aux attentes des entreprises. En effet, tout comme ledigital marketing, le digital outsourcing permet de se développer de manière rapide tout en réduisant les frais.
Par exemple : pourquoi externaliser la création d’un site web ?
Le digital outsourcing est particulièrement intéressant pour les entreprises qui souhaitent se développer sur internet et élaborer une stratégie web efficace. En effet, l’entreprise ne dispose pas nécessairement des compétences nécessaires pour mettre en place un site web de qualité. L’agence de création de sites web possède des connaissances et des compétences en matière de développement web, d’ergonomie, de design et de marketing digital.
Le digital outsourcing permet de dégager du temps pour l’entreprise. En effet, la création d’un site web ou d’une application nécessite des compétences pointues, ce qui demande un temps et des ressources importantes. L’externalisation de la création d’un site web à une agence spécialisée permet à l’entreprise de se concentrer sur son activité principale.
1. Le digital et l’importance de l’apprentissage continu
Devenir un digital native, c’est-à-dire un individu qui bénéficie de l’accès à l’ensemble des équipements et à l’ensemble des services liés au digital, est un avantage considérable pour les entreprises. Il permet aux employés de maîtriser les nouvelles technologies et d’être ainsi plus efficaces dans leur travail. Il est nécessaire pour les employés de se former en continu afin de s’adapter aux nouveaux moyens de communication mis à la disposition des consommateurs.
Le digital est un secteur en plein essor qui a des retombées positives sur le pouvoir d’achat et qui augmente les marges des entreprises. En effet, le digital est présent dans tous les métiers et couvre toutes les étapes de la vie d’une entreprise : depuis sa communication jusqu’à ses ventes, en passant par sa stratégie digitale, sa formation, son service client et sa communication digitale.
L’environnement numérique est donc de plus en plus important dans l’exercice des activités économiques et ne pas s’y intéresser est une faute. Le digital peut être vu comme une opportunité pour la création d’emplois et la croissance. Il permet à une entreprise de se développer à l’international, d’être présente sur les réseaux sociaux, de rester proche de ses clients et de bénéficier d’une image positive.
2. Le digital et l’effectivité de la formation
Le digital se démocratise de plus en plus dans la formation. De plus en plus d’établissements scolaires comprennent l’importance du digital afin de permettre aux élèves d’avoir une formation qui leur soit utile dans la vie active. En effet, l’utilisation des nouvelles technologies sont indispensables pour les jeunes et adultes afin qu’ils puissent rester compétitifs dans un monde où le digital prend une place de plus en plus importante.
L’enseignement des métiers du digital est une des priorités de la formation professionnelle. Ce nouvel enjeu est important pour les jeunes qui désirent avoir une bonne insertion professionnelle. De plus, l’utilisation des nouvelles technologies est indispensable pour être compétitif dans le monde actuel.
La formation passe donc par l’utilisation des nouvelles technologies et pas seulement lors de cours. De plus, le digital permet aux élèves de s’exprimer de la même manière que les professionnels du secteur. Ainsi, grâce aux nouvelles technologies, les élèves vont pouvoir s’exprimer sur leur formation, créer et produire du contenu.
Le digital permet aussi un meilleur apprentissage. En effet, grâce à la réalité augmentée et à la 3D, les élèves vont être amenés à développer de nouvelles compétences afin de se sentir acteurs de leur formation. Les outils numériques favorisent l’apprentissage par l’expérimentation et l’immersion au sein d’un environnement virtuel.
Les élèves pourront ainsi acquérir de nouvelles compétences et acquérir une maîtrise de l’outil numérique.
Enfin, les outils numériques permettent une plus grande interaction entre les élèves, entre les enseignants et avec les partenaires de la formation.
Le digital dans la formation professionnelle
Les réformes en cours au sein de la formation professionnelle vont dans le sens de l’utilisation des nouvelles technologies .
Le décret du 26 juin 2016 dit « décret sur la formation professionnelle tout au long de la vie » prévoit, notamment, l’obligation pour les entreprises d’avoir un espace numérique de formation.
De plus, l’article 24 de la loi n° 2014-811 du 6 août 2014 relative à la formation professionnelle, à l’emploi et à la démocratie sociale prévoit que les Pôles de compétitivité doivent avoir recours aux technologies numériques en matière de formation, afin de maximiser l’efficacité des actions qu’ils mènent et de favoriser leur diffusion et leur appropriation par les entreprises, notamment par la création d’espaces numériques de formation.
Dans ce sens, l’Agence nationale pour la cohésion sociale et l’égalité des chances (Acsé), dans son programme de travail 2016-2017, a présenté un programme de travail sur les digital natives et la transformation numérique des métiers. La mise en place d’un groupe de travail thématique a permis d’identifier un certain nombre de problématiques, qui ont été examinées au cours d’ateliers organisés avec les représentants des acteurs concernés.
Pour répondre à ces enjeux, le groupe de travail a défini deux orientations stratégiques :
– l’hypothèse numérique : il s’agit de permettre aux entreprises d’intégrer les technologies numériques dans leurs pratiques quotidiennes. Cela implique que les entreprises soient sensibilisées à l’utilisation des outils numériques et que les acteurs de la formation et de l’insertion accompagnent leur déploiement dans les entreprises ;
– l’hypothèse des compétences : il s’agit de créer un cadre de concertation permettant aux différents acteurs de se rencontrer afin d’identifier et de mutualiser les évolutions professionnelles, en particulier celles liées à la transformation numérique. Ce cadre permettra d’adapter les parcours de formation en considérant la diversité des profils et des parcours des salariés.
Pour atteindre ces objectifs, le groupe de travail a défini un plan d’action en trois volets :
– le volet « déploiement des compétences » pour favoriser la diffusion des outils numériques et l’intégration des compétences numériques dans les parcours de formation ;
– le volet « mutualisation des évolutions professionnelles » pour améliorer les connaissances et l’information sur les évolutions professionnelles liées au numérique ;
– le volet « déploiement des compétences » pour favoriser la diffusion des outils numériques et l’intégration des compétences numériques dans les parcours de formation ; – le volet « mutualisation des évolutions professionnelles » pour améliorer les connaissances et l’information sur les évolutions professionnelles liées au numérique ; Le plan d’action présenté par le groupe de travail est structuré autour de trois axes :
– La mise en place de dispositifs d’accompagnement à la formation et à l’apprentissage pour permettre aux salariés de s’approprier les outils numériques.
– La mise en place d’une démarche d’amélioration continue des pratiques managériales et organisationnelles.
– La mise en place de dispositifs d’accompagnement à la formation et à l’apprentissage pour permettre aux salariés de s’approprier les outils numériques. – La mise en place d’une démarche d’amélioration continue des pratiques managériales et organisationnelles. Le groupe de travail a ainsi identifié plusieurs pistes d’actions :
– Mettre en place des dispositifs d’accompagnement à la formation et à l’apprentissage des salariés par l’intermédiaire de leurs représentants.
– Élaborer une charte de la formation numérique ouverte à tous les acteurs de l’entreprise.
– Encourager le déploiement d’outils numériques facilitant l’utilisation des outils numériques par les salariés.
– Engager une démarche d’amélioration continue des pratiques managériales et organisationnelles pour créer les conditions d’un apprentissage continu de la gestion de l’entreprise.
– Mettre en place des dispositifs d’accompagnement à la formation et à l’apprentissage des salariés par l’intermédiaire de leurs représentants. – Élaborer une charte de la formation numérique ouverte à tous les acteurs de l’entreprise. – Encourager le déploiement d’outils numériques facilitant l’utilisation des outils numériques par les salariés. – Engager une démarche d’amélioration continue des pratiques managériales et organisationnelles pour créer les conditions d’un apprentissage continu de la gestion de l’entreprise. Mettre en place des outils d’aide à l’orientation des jeunes sortant du système scolaire pour favoriser l’accès aux métiers du numérique.
– Mettre en place des dispositifs d’accompagnement à la formation et à l’apprentissage des salariés par l’intermédiaire de leurs représentants. – Élaborer une charte de la formation numérique ouverte à tous les acteurs de l’entreprise.
– Encourager le déploiement d’outils numériques facilitant l’utilisation des outils numériques par les salariés.
– Engager une démarche d’amélioration continue des pratiques managériales et organisationnelles pour créer les conditions d’un apprentissage continu de la gestion de l’entreprise. Mettre en place des outils d’aide à l’orientation des jeunes sortant dusystème scolaire pour favoriser l’accès aux métiers du numérique.
– Mettre en place des dispositifs d’accompagnement à la formation et à l’apprentissage des salariés par l’intermédiaire de leurs représentants.
3. Le digital et les entreprises : un enjeu de société
La loi pour une République numérique du 7 octobre 2016 pose le principe d’une éducation aux médias et à l’information du public dès le plus jeune âge. Dans ce cadre, les outils numériques doivent être mis au service de la transmission des savoirs par le biais de la découverte de contenus culturels et artistiques.
La mission a souhaité que les entreprises soient associées à cette démarche :
– Mettre en place des partenariats entre les acteurs économiques et les établissements scolaires pour promouvoir l’utilisation des outils numériques dans le cadre d’une offre éducative en ligne.
– Renforcer la sensibilisation des jeunes aux usages numériques et aux risques qu’ils présentent à l’aide des dispositifs de sensibilisation à la protection des données personnelles.
La sécurité au quotidien grâce au numérique
L’essor du numérique est aussi source d’innovation en matière de sécurité.
La mission a notamment été alertée par les nouvelles technologies, qui permettent de développer des outils aux avantages certains, mais qui doivent aussi faire l’objet d’une vigilance particulière.
Les nouveaux services de sécurité et de sûreté numériques, tels que les logiciels d’analyse des risques et de gestion de la sûreté, visent à améliorer la prise en compte des risques et à faciliter le travail des forces de l’ordre, des collectivités ou des entreprises. Mais ces nouveaux outils peuvent aussi faire l’objet d’abus. Ils doivent donc faire l’objet d’une réglementation adaptée, en particulier pour leur utilisation par des acteurs privés.
Les capteurs et les objets connectés sont aujourd’hui omniprésents. Ils permettent de collecter de grandes quantités de données, qui peuvent être utilisées pour améliorer la prévention des risques, mais qui peuvent aussi être exploitées à des fins de vol de données personnelles ou de dégradation des infrastructures publiques. La mission a donc recommandé la mise en place d’une régulation adaptée et d’un échange d’information entre l’État et les industriels pour s’assurer que les capteurs ne soient pas utilisés à des fins de surveillance du public, par exemple en matière de santé.
4. Le digital et lest métiers de la formation
La mission d’évaluation et de contrôle a étudié la question de l’impact du numérique sur la formation professionnelle et le maintien dans l’emploi des salariés. Elle a notamment constaté l’importance des métiers de la formation professionnelle. Ces métiers sont confrontés à un double enjeu : celui de la transformation digitale des entreprises et celui de la transformation des métiers eux-mêmes, à cause notamment du développement d’apprentissage par compétences.
L’accompagnement des entreprises dans leur transformation digitale passe par une meilleure visibilité des métiers de la formation professionnelle, mais aussi par l’adaptation de leurs formations. Une telle évolution est d’autant plus nécessaire que les besoins en compétences ont évolué : la digitalisation implique en effet de nouveaux profils de compétences, comme la maîtrise des logiciels d’intelligence artificielle et de reconnaissance vocale, ou encore les compétences numériques, indispensables pour faciliter le travail collaboratif.
Enfin, le développement d’apprentissage par compétences met en avant la nécessité de disposer de référentiels professionnels permettant de définir des profils de compétences et des qualifications correspondant aux besoins des entreprises.
5. Le digital et le travail à domicile
La digitalisation a également un impact sur les modes d’organisation du travail. En effet, à travers les technologies de l’information et de la communication, elle offre de nouvelles possibilités aux entreprises d’organiser leur activité, qui ont permis de transformer profondément les habitudes de travail des salariés. Ainsi, le travail à domicile s’est progressivement développé.
Dans le secteur privé, la part des salariés exerçant à domicile est passée de 7 % en 1995 à 13 % en 2015.
Dans le secteur public, la part des salariés exerçant à domicile est passée de 4 % en 1997 à 12 % en 2016. Cette augmentation du travail à domicile est liée aux possibilités offertes par la digitalisation : les salariés sont désormais plus autonomes, et peuvent travailler à partir de leur propre domicile, avec une légère réduction de leur temps de transport et de déplacement.
Le travail à domicile est aussi permis par l’évolution des modes de vie : les salariés passent de plus en plus de temps à la maison, et de moins en moins de temps au travail. Ainsi, le temps de travail dans les entreprises a diminué au cours des années 2000 : il est passé de 8 à 7 heures par jour en France, et de 7 à 6 heures par jour en Allemagne.
La crise sanitaire de ces deux dernières années a également favorisé le travail à domicile : de nombreux salariés préfèrent rester chez eux pour ne pas risquer d’être contaminés.
Le travail à domicile est aussi encouragé par les entreprises, qui cherchent à se réduire les coûts associés à la présence des salariés dans les bureaux. En effet, les salariés à domicile sont rémunérés comme des salariés de bureaux, bien que leurs conditions de travail soient différentes. Enfin, on peut supposer que les entreprises profitent de la flexibilité de leurs salariés et de leur facilité à être délocalisées.
Le travail à domicile présente des avantages pour les entreprises : ils permettent une meilleure gestion de l’emploi du temps, une réduction des frais de transport et de logement, une plus grande disponibilité des salariés, et également une économie de 30 % sur les charges sociales.
Malgré ces avantages pour les entreprises, le travail à domicile est peu répandu, notamment à cause d’une culture du travail en collectif. De plus, les travailleurs sont souvent considérés comme des moins que rien par leur hiérarchie.
Conclusion sur le digital et nos méthodes de travail et de formation
Aujourd’hui, on voit que les entreprises doivent s’intéresser de près à la formation des employés. Cette dernière permet de les amener vers des méthodes de travail modernes et souvent plus efficaces. Il est donc nécessaire de former les employés à l’utilisation du digital. Pour cela, on leur apprend à se servir du PC, du smartphone ainsi que d’Internet. Ces outils permettent non seulement d’améliorer la productivité, mais aussi de renforcer la communication entre les collaborateurs.
Le digital est donc un moyen pour les entreprises de se démarquer. Cependant, de nombreuses entreprises sont toujours réticentes à intégrer ces nouvelles technologies dans leur quotidien. Cela est très souvent dû à une culture du travail en collectif. Il est donc important pour les dirigeants et les salariés de prendre conscience que le numérique est indispensable pour le développement des entreprises.
Aujourd’hui, les nouveaux modes de travail et de formation nécessitent de nouvelles méthodes de gestion. La flexibilité d’horaires, la présence permanente sur le lieu de travail, le travail à distance ont en effet un impact important sur le management des salariés. En effet, la confiance et les relations humaines, dont il est démontré qu’elles jouent un rôle important dans le développement et la motivation du personnel, sont fortement impactées par ces nouveaux modes de travail.
Source de l’article : www.instants-web-formation.fr
La loi du plus fort a-t-elle encore sa place dans l’entreprise ?
La loi du plus fort a-t-elle encore sa place dans l’entreprise? C’est la question que beaucoup se posent. L’autoritarisme est-il toujours efficace? Faut-il donner du pouvoir à tous et quid de la responsabilisation? Être à la tête d’une entreprise implique de prendre des décisions et de les assumer. Mais aujourd’hui, la situation est plutôt confuse. Les salariés ont gagné beaucoup d’indépendance et il est difficile de savoir comment les motiver.
Pourquoi un tel désordre?
En 1990, le PDG de la société de calcul informatique Hewlett-Packard, Lew Platt a déclaré : « Nous sommes un groupe de 35 000 employés. Il n’y a aucun système pour nous dire qui nous sommes et ce que nous faisons. » Selon lui, il s’agit d’une entreprise sans entreprise! Autrement dit, le concept de l’ « entreprise » avait changé. Les salariés ne sont plus reliés à un chef mais plutôt à une direction.
Le résultat, c’est que les employés ne dépendent pas d’un patron qui décide à leur place. Ils n’ont plus à faire ce qu’on leur ordonne. Ils sont en mesure de prendre leur propre décision et d’agir selon leurs intuitions et leurs propres priorités. En d’autres termes, ils sont devenus des entrepreneurs.
Aujourd’hui, le mot « entreprise » a une autre signification. Il désigne un groupe d’individus qui ont des objectifs et qui s’organisent pour les atteindre.
1. Les forces en présence
L’entreprise est le résultat d’un certain nombre de forces que vous pouvez classer en quatre catégories :
les forces de production,
les forces de vente,
les forces de marketing,
et les forces politiques.
Les forces de production
Elles englobent l’ensemble des activités qui permettent au groupe d’atteindre ses buts. Elles comprennent tout ce qui est nécessaire à la fabrication et à la vente des produits. Par exemple, les forces de production incluent toutes les ressources nécessaires à la production, y compris les machines, les matières premières, l’équipement et les sites de production. Elles englobent aussi le personnel qui travaille pour le compte de l’entreprise, y compris les ouvriers, les techniciens, les ingénieurs et les dirigeants.
Les forces de vente
Elles comprennent l’ensemble des activités qui permettent de vendre les produits. Le groupe doit trouver des clients pour acheter ses produits.Il doit également disposer d’un système de vente et d’un personnel de vente pour vendre les produits.
Les forces de marketing
Elles comprennent l’ensemble des activités qui permettent d’accroître la demande pour les produits, qu’il s’agisse de la publicité, d’initiatives marketing, d’une stratégie promotionnelle ou de relations publiques. Les forces de marketing permettent à l’entreprise de faire connaître ses produits.
Les forces politiques
Elles comprennent l’ensemble des activités qui permettent d’influencer les décisions politiques afin d’obtenir un avantage concurrentiel. Par exemple, le groupe peut demander des mesures fiscales favorables ou s’assurer que ses produits sont bien référencés par les pouvoirs publics.
Les forces de la technologie
Elles comprennent l’ensemble des activités qui permettent de développer les technologies nécessaires à la production et à la vente des produits. Par exemple, le groupe peut développer une technologie nouvelle pour ses produits.
Les forces de la communication
Elles comprennent l’ensemble des activités qui permettent d’informer et de persuader les consommateurs. Le groupe peut communiquer via des supports publicitaires, des médias, des relations publiques et des relations avec les clients.
Les forces de l’environnement
Elles comprennent l’ensemble des facteurs externes qui influencent les décisions de l’entreprise et son environnement. Par exemple, le groupe peut développer une stratégie de communication pour ses produits lorsque le prix du pétrole augmente.
Les forces mixtes
Elles incluent les trois groupes précédents. Par exemple, le groupe peut développer une nouvelle technologie de production lorsque sa politique commerciale lui permet de vendre des produits dans un pays émergent.
2. La loi du plus fort: je gagne, tu perds
La loi du plus fort est un fonctionnement simple. Elle s’appuie sur les trois principes suivants:
L’élimination de la concurrence. Elle passe par la mise en place de règles destinées à favoriser l’une des parties, et par l’interdiction de certains comportements. L’un des objectifs est d’empêcher le développement d’une concurrence dommageable pour l’entreprise.
La concentration des ressources. Il s’agit d’obtenir les ressources matérielles et humaines nécessaires pour exercer sa domination.
L’allocation des ressources. Il s’agit de définir les tâches et les critères de répartition des ressources entre les différentes parties.
Les deux premiers points visent à assurer la domination de l’entreprise sur le marché, et le troisième à définir les règles du jeu.
Le modèle des quatre forces a été amélioré par celui des cinq forces d’approche, qui en fait un outil plus puissant. Il met en évidence cinq forces de réalité:
La force de l’offre. Elle correspond à la quantité d’offre sur le marché et à son évolution. Cette force est déterminée par les facteurs de production, c’est-à-dire les ressources matérielles et humaines nécessaires pour produire un bien ou un service.
La force de la demande. Elle correspond à la quantité de demande sur le marché et à son évolution. Cette force est déterminée par les facteurs de la demande, c’est-à-dire la capacité d’un consommateur à réaliser ses besoins.
La force concurrentielle. Elle correspond au nombre d’entreprises sur le marché et à leur évolution. Cette force est déterminée par l’environnement, c’est-à-dire les autres entreprises sur le marché.
La force des partenaires externes. Elle correspond à la quantité et à l’évolution des partenaires externes (partenaires commerciaux, fournisseurs, prestataires de services, fournisseurs de ressources, etc.). Cette force est déterminée par l’environnement, c’est-à-dire les autres entreprises dans la chaîne de valeur.
La force des concurrents. Elle correspond au nombre et à l’évolution des concurrents sur le marché. Cette force est déterminée par l’environnement, c’est-à-dire les autres entreprises sur le marché.
3. Travailler en équipe pour identifier et résoudre les problèmes
Identifier et résoudre les problèmes est une étape cruciale de la planification stratégique. En effet, il est essentiel de prendre des décisions fondées sur des faits et non pas sur des hypothèses. Il s’agit d’un processus important, car vous devez identifier vos problèmes stratégiques pour pouvoir les résoudre.
Pour identifier vos problèmes, vous devez d’abord savoir quoi faire (votre stratégie ) et comment le faire (vos plans d’action), avant de pouvoir déterminer qui fait quoi.
Le processus de résolution des problèmes stratégiques se décompose en quatre étapes :
- Identifier les problèmes stratégiques.
- Faire une analyse et établir une liste des problèmes.
- Définir les priorités.
- Résoudre les problèmes stratégiques.
La première étape consiste à identifier les problèmes stratégiques et à les classer par ordre de priorité. La question à se poser est : « Quels sont les problèmes qui m’empêchent de réaliser ma stratégie et de réaliser mes plans d’action ? »
Chacun des problèmes doit ensuite être analysé pour déterminer la cause du problème, c’est-à-dire pourquoi il existe. Il faut recueillir des informations auprès de tous les intervenants de l’entreprise, comme les employés, les fournisseurs, les clients et les concurrents. Ensuite, il faut analyser ces informations, en dresser la liste et identifier les facteurs clés.
Les problèmes doivent être classés par ordre de priorité en fonction des facteurs clés. La priorité doit refléter la gravité du problème et la possibilité de solutionner le problème à court terme.
L’analyse des facteurs clés peut inclure également l’analyse de la situation concurrentielle : qui sont les concurrents, quels sont leurs objectifs et quelles sont leurs stratégies ?
Puis, les problèmes doivent être classés par ordre de priorité en fonction des facteurs clés. La priorité doit refléter la gravité du problème et la possibilité de solutionner le problème à court terme.
Dans une société multinationale, les problèmes peuvent être différents d’un pays à l’autre et il faut se demander si ces problèmes peuvent être réglés par des actions locales ou s’il faut une action globale.
Les problèmes doivent être classés par ordre de priorité en fonction des facteurs clés.
La priorité doit refléter la gravité du problème et la possibilité de solutionner le problème à court terme.
4. Faire équipe pour réussir
L’équipe d’analystes est un moyen de réaliser les projets qui nécessitent plusieurs personnes pour travailler en parallèle sur un projet spécifique.
L’équipe d’analystes peut être définie comme les différents groupes de personnes qui travaillent ensemble pour réaliser un projet spécifique ou un certain nombre de projets.
Les équipes d’analystes peuvent être constituées dans le cadre d’un projet, d’une sous-activité ou d’une activité. Les équipes d’analystes peuvent être utilisées de différentes façons. Par exemple, elles peuvent être utilisées pour effectuer des analyses, étudier des problèmes ou développer des solutions. L’équipe peut également être utilisée pour réaliser les tâches spécifiques qui sont requises par un projet ou une activité.
Les équipes d’analystes peuvent être utilisées pour effectuer des analyses pour divers types de projets, y compris ceux qui sont liés à l’amélioration de l’efficacité et de l’efficience opérationnelle, ceux qui sont liés à la gestion du changement ou ceux qui sont liés au développement. Les tâches de développement d’une équipe d’analystes peuvent inclure la réalisation des analyses.
5. Le travail d’équipe
Il commence par la réalisation d’un diagnostic à l’égard des besoins de l’entreprise. Ses objectifs sont établis par l’analyste ou le chef d’équipe et ses membres. Ils permettent de déterminer les personnes qui seront nécessaires à la réalisation des différentes étapes de l’analyse, et les ressources dont elles auront besoin.
De nombreuses études ont démontré que la collaboration avec un chef d’équipe engendrait un engagement accru, une motivation plus grande et des résultats plus positifs.
6. L’importance du rôle du leader
Le rôle du leader dans une équipe est de guider et d’encadrer le travail de l’équipe. Il (elle) doit fournir des retours d’information et encourager le partage des idées. Il (elle) doit aussi s’assurer que les membres ont les connaissances et les compétences nécessaires pour réaliser la démarche qui leur est assignée. Il (elle) doit aussi accompagner les membres de l’équipe dans leurs démarches de recherche et de réflexion. Enfin, il (elle) doit fournir un appui moral et aider les membres à surmonter les difficultés auxquelles ils peuvent être confrontés.
Source de l’article : www.instants-web.fr
La pyramide de Maslow pour booster votre chiffre d’affaires.
La pyramide de Maslow est un modèle d’affaires incontournable. Elle décrit les besoins humains en fonction de leur importance : physiologique, sécurité, social, estime d’elle-même, épanouissement personnel et finalement transcendance. Ces besoins évoluent dans un processus historique. Ainsi, l’être humain doit répondre à ses besoins physiologiques et sécuritaires avant de se préoccuper de l’estime d’elle-même et de l’épanouissement personnel.
1. La pyramide de Maslow
Aujourd’hui, les entreprises ne peuvent plus se contenter de satisfaire leurs clients en répondant uniquement à leurs besoins physiologiques et sécuritaires. Les entreprises doivent en effet répondre à leurs besoins émotionnels, car ces derniers sont un levier essentiel pour augmenter les prises de commandes.
Cette idée s’inspire de la publication, en 1987, du livre de Daniel Goleman : La Force de l’émotion. Ce dernier explique qu’il existe des émotions positives (amour, empathie, sensibilité…) et des émotions négatives (peur, haine…). Selon lui, les émotions positives sont plus fortes que les émotions négatives dans le déclenchement des actions humaines.
Quand on veut déclencher l’adhésion à une cause ou à un produit chez un consommateur, il est plus rentable d’utiliser les émotions positives que les émotions négatives, et ce même si le produit est moins bien.
Ainsi, on parle de « ventes émotionnelles » quand la communication vise à créer une émotion positive chez un consommateur. On parle aussi de « ventes rationnelles » quand la communication vise à informer le consommateur.
La référence à la pyramide de Maslow est utile pour comprendre comment répondre aux besoins émotionnels de la cible visée, mais elle ne permet pas de calculer quels besoins émotionnels il faut satisfaire.
La méthode des cinq besoins émotionnels de la pyramide de Maslow
Pour définir les besoins émotionnels à satisfaire, on utilise la méthode des cinq besoins émotionnels, développée par le consultant américain Francis A. Schaeffer. Il s’agit d’une méthode simple et efficace pour identifier les sentiments qui vont attirer et retenir un client. Cette méthode est basée sur les cinqbesoins émotionnels de la pyramide de Maslow :
2. Les besoins physiologiques
se nourrir, boire, dormir, se déplacer (bien être physique).
La méthode des cinq besoins émotionnels
La méthode des cinq besoins émotionnels est très simple à mettre en œuvre. Il suffit de répondre à ces questions :
Quelle émotion ressent-on quand on a mangé ? Quand on a bu ? Quand on a dormi ? Quand on peut se déplacer ?
L’idée est alors de s’adresser à ces besoins émotionnels, en faisant appel à des émotions positives, comme la joie, le bonheur, la liberté, la sécurité, la confiance, le respect.
Par exemple :
- Quel effet produit la lumière du soleil dans l’esprit de celui qui se promène ?
- Quel effet produit le fait de pouvoir prendre une douche dans un lieu propre et bien entretenu ?
- De pouvoir dormir dans un lit confortable ?
- D’avoir des vêtements et des chaussures propres et bien entretenus ?
- De pouvoir se déplacer en voiture ou en métro ?
3. Les besoins de sécurité
Se sentir en sécurité, avoir une identité, un statut, avoir des relations (bien être émotionnel).
Ce besoin se décline en :
– le besoin de sécurité physique (the need for physical safety),
– le besoin de sécurité financière (the need for financial security),
– le besoin de sécurité sociale (the need for social security),
– le besoin de sécurité existentielle (the need for existential security).
La méthode des cinq besoins de sécurité
Cette méthode est très semblable à la précédente. Il suffit de répondre à ces questions :
Quelle émotion ressent-on quand on a son identité, sa voiture, son domicile ? Quand on a ses amis, des relations ?
L’idée est alors de s’adresser à ces besoins de sécurité, en faisant appel à des émotions positives, comme la satisfaction, la confiance, le respect.
Par exemple :
Quel effet produit l’absence de son identité dans l’esprit de celui qui ne peut se construire une identité ?
Quel effet produit l’absence de sa voiture dans l’esprit de celui qui ne peut se déplacer ?
Quel effet produit l’absence de son domicile dans l’esprit de celui qui ne peut vivre chez soi ?
La méthode des cinq besoins d’expression
La question qui sert de point de départ à cette méthode est : Quel effet produit l’absence de son expression dans l’esprit de celui qui ne peut pas s’exprimer ?
Voyons quels sont les besoins d’expression, et comment ils se traduisent en expressions verbales ou non verbales.
Le besoin d’expression personnelle :
– le besoin d’exprimer son opinion, son ressenti , ses découvertes, ses pensées, cela se traduit en une expression verbale ou non verbale permettant d’exprimer cette opinion, ce ressenti.
Le besoin d’expression relationnelle :
– le besoin d’exprimer ses sentiments, son attente par rapport à un autre individu, à un groupe, cela se traduit en une expression verbale ou non verbale permettant d’exprimer cet attachement.
Le besoin d’expression sociale :
– le besoin d’être reconnu , d’être valorisé par les autres, de plaire aux autres, cela se traduit en une expression verbale ou non verbale permettant d’exprimer cette volonté.
Le besoin d’expression culturelle :
– le besoin d’être informé, d’apprendre quelque chose sur le monde qui nous entoure, des choses sur lesquelles nous ne savons rien, ce qui nous intéresse, ce qui nous passionne, cela se traduit en une expression verbale ou non verbale permettant d’exprimer cet intérêt.
Le besoin d’expression politique :
– le besoin d’exprimer un point de vue, une volonté, une idée, sur les choses publiques, politiques, ce qui se traduit en une expression verbale ou non verbale permettant d’exprimer cette volonté.
Le besoin d’expression religieuse :
– le besoin d’exprimer sa foi en Dieu, de se reconnaître comme partie d’un groupe, de rejoindre une communauté,de partager sa foi avec d’autres êtres humains, ce qui se traduit en une expression verbale ou non verbale permettant d’exprimer cet attachement.
Le besoin d’expression philosophique :
– le besoin de s’interroger sur ce qui est, ce qui est dû à la nature, ce qui est dû à la société, ce qui est dû aux hommes, ce qui est dû au destin, ce qui est dû au hasard, ce qui se traduit en une expression verbale ou non verbale permettant d’exprimer ce questionnement.
Le besoin d’expression esthétique :
– le besoin de créer, de voir, de sentir, de se sentir, de s’exprimer, de transmettre une émotion, une sensation, un sentiment, une impression, un sentiment d’extase ou d’enchantement par l’usage d’objets, de formes, des couleurs… etc., ce qui se traduit en une expression verbale ou non verbale permettant d’exprimer l’émotion.
Le besoin d’expression affective :
– le besoin de communiquer ses sentiments, d’exprimer ses émotions, d’exprimer sa joie, son enthousiasme, sa colère, ses craintes, ses peurs, sa tristesse, sa peine, ce qui se traduit en une expression verbale ou non verbale permettant d’exprimer l’émotion.
Le besoin d’expression relationnelle :
– le besoin d’interagir avec les autres, de discuter avec les autres, de partager des moments avec les autres , de se rapprocher des autres, de se lier d’amitié avec les autres, de s’éloigner des autres, ce qui se traduit en une expression verbale ou non verbale permettant d’exprimer la relation.
Le besoin d’expression sociale :
– le besoin de faire partie de la société, de s’intégrer à la société, de participer aux activités de la société, de se faire accepter par la société, ce qui se traduit en une expression verbale ou non verbale permettant d’exprimer la relation.
4. Les besoins d’appartenance sont de deux types:
• les besoins d’appartenance d’être du groupe (the need to belong) : le besoin d’intégrer un groupe, de se sentir admis dans un groupe et d’être accepté par ce groupe.
• les besoins d’appartenance d’avoir du groupe (the need to have a group): le besoin de posséder un groupe, de détenir un groupe, de diriger un groupe, de contrôler un groupe.
Les besoins d’être du groupe :
– le besoin d’être admis dans un groupe, le besoin d’être aimé par un groupe, le besoin d’être accepté par un groupe, le besoin de faire partie d’un groupe, ce qui se traduit en une expression verbale ou non verbale permettant d’exprimer la relation.
Les besoins d’avoir du groupe :
– le besoin de posséder un groupe, le besoin de diriger un groupe, le besoin de contrôler un groupe, le besoin de posséder un groupe, ce qui se traduit en une expression verbale ou non verbale permettant d’exprimer la relation.
5. Les besoins de la réalisation de soi sont de trois types :
• les besoins de réalisation de soi d’être (the need to be) : le besoin d’être reconnu, le besoin d’être créatif, le besoin d’être original.
• les besoins de réalisation de soi d’avoir (the need to have) : le besoin de développer sa personnalité, le besoin de posséder son identité.
• les besoins de réalisation de soi d’agir (the need to do) : le besoin d’accomplir ses projets, le besoin d’être efficace.
Un besoin est dit « primaire » lorsqu’il est assuré par les besoins de base (à savoir : le besoin de sécurité, d’appartenance à un groupe et de réalisation de soi). Un besoin est dit « secondaire » lorsqu’il est assuré par les besoins des étapes ultérieures, c’est-à-dire par les besoins spécifiques à ces étapes.
La théorie de Maslow est une théorie évolutive. Elle s’est enrichie et complétée au cours du temps. Des chercheurs ont ainsi essayé de montrer que la hiérarchie des besoins de Maslow n’est pas universelle (elle ne serait applicable qu’aux sociétés occidentales industrialisées).
6. Les besoins du développement personnel
Les besoins du développement personnel sont la somme des besoins individuels. Si ces besoins sont satisfaits, l’individu pourra évoluer dans son contexte social et personnel. Les besoins du développement personnel ont été développés par Abraham Maslow avec les théories de la motivation et de la personnalité.
Les besoins du développement personnel sont différents selon l’âge de l’individu et son niveau évolutif.
Les besoins du développement personnel varient également selon la culture, la religion et le contexte socio-économique.
- Les besoins spécifiques à l’enfance sont liés à l’évolution de l’enfant.
- Les besoins spécifiques à l’adolescence sont liés à l’évolution de l’adolescent.
- Les besoins spécifiques à l’âge adulte sont liés à la vie de couple, de famille et professionnelle.
- Les besoins spécifiques à la vieillesse sont liés au développement psychosocial de l’âge adulte.
Pour répondre aux besoins du développement personnel, un individu doit évoluer dans son contexte social et personnel. Si ces besoins sont satisfaits, l’individu pourra évoluer dans son contexte social et personnel. Le contexte social est composé des normes sociales et des lois qui régissent les comportements collectifs. Le contexte personnel est composé des rôles sociaux, des valeurs culturelles et des caractéristiques personnelles de l’individu.
Les besoins physiques représentent les besoins biologiques de l’individu. Ces besoins sont liés à la fonction vitale de l’individu. Ils permettent à l’individu de maintenir sa structure physique. Ces besoins sont satisfaits par les pressions biologiques, chimiques et physiques.
Les besoins physiologiques sont des besoins biologiques de base. Il y a quatre types de besoin physiologique :
Les besoins biologiques sont des besoins de base face auxquels l’homme n’a pas toujours le contrôle. Les besoins psychologiques sont des besoins psychologiques et sociaux de base. Ils sont liés à la satisfaction des besoins physiologiques.
Les besoins psychologiques permettent à l’individu de se sentir bien dans sa peau et lui donnent confiance en lui-même.
Les besoins sociaux sont des besoins face auxquels l’individu n’a pas le contrôle. Les besoins culturels sont des besoins qui sont liés à la reconnaissance de l’individu dans sa communauté.
Conclusion sur la pyramide de Maslow
Les besoins bio-psychologiques sont des besoins primaires. Ce sont les besoins fondamentaux qui permettent à l’individu de survivre et de se développer. Les besoins culturels sont des besoins secondaires. Ce sont des besoins qui sont liés à la reconnaissance de l’individu dans sa communauté.
Cette théorie a été très critiquée car elle simplifie trop la nature humaine et ne prend pas en compte les facteurs sociaux, économiques et politiques. De plus, elle est réductrice car elle ne prend pas en compte les femmes.
Les critiques sur la pyramide de Maslow
La pyramide de Maslow n’est pas acceptable car elle ne prend pas en compte les facteurs psychologiques. Elle est réductrice car elle ne prend pas en compte les femmes. D’autre part, elle simplifie trop la nature humaine dans le sens où elle ne présente les besoins que selon une approche biologique et psychologique. En outre, la pyramide de Maslow ne prend pas en compte les besoins sociaux, économiques et politiques.
Dans toutes les cultures, il existe des besoins individuels et collectifs. Les besoins peuvent être primaires ou secondaires. Les besoins primaires sont ceux qui permettent à l’individu de se développer et de survivre. Les besoins secondaires sont ceux qui permettent à l’individu de se sentir valorisé dans sa communauté.
Source de l’article : www.instants-web-formation.fr