La méditation de pleine conscience, une méthode efficace pour améliorer vos relations au travail ? (première partie)
La méditation de pleine conscience s’est développée au cours des dernières années. Aujourd’hui, la méditation de pleine conscience est considérée comme une pratique à part entière, avec ses bienfaits. Cette pratique vous permet de vous concentrer sur votre respiration et sur la conscience de votre corps, afin de faire le vide dans votre esprit et d’améliorer votre santé mentale. Cependant, vous pouvez aussi utiliser la méditation de pleine conscience pour favoriser l’amélioration de vos relations au travail, en particulier les relations avec vos collègues et votre supérieur, mais aussi dans vos relations au quotidien avec les autres.
1. La méditation de pleine conscience
La méditation de pleine conscience est très facile à pratiquer, même si elle demande une certaine discipline, puisqu’il faut s’y consacrer régulièrement afin d’obtenir des résultats. Vous pourriez tout simplement vous concentrer sur votre respiration tout en marchant ou en travaillant. Dès que vous sentez que vous êtes distrait et que votre esprit vagabonde, revenez à la sensation de votre respiration. La pratique de la méditation de pleine conscience est considérée comme une pratique du moment. Elle vous aide à apprécier chaque moment de votre vie en l’acceptant tel qu’il est, et non pas en vous demandant ce que vous auriez pu faire différemment.
La méditation de pleine conscience va vous permettre d’être plus proche des autres, en particulier lorsque ces personnes sont remplies d’émotions négatives. En effet, cette pratique vous permet d’être moins influencé par leurs émotions et de rester plus objectif. Cette pratique est très utile pour ceux qui ont du mal à gérer leurs émotions et qui peuvent s’énerver facilement. En méditant, vous allez développer une plus grande sérénité qui vous permettra d’être plus empathique et de mieux comprendre ceux qui vous entourent.
Exercice de respiration :
Il est important de pratiquer régulièrement la respiration consciente, c’est-à-dire de prendre conscience de chaque inspiration et expiration. La respiration consciente a un effet apaisant et rééquilibrant sur votre mental. Vous pouvezpratiquer cet exercice en marchant ou assis.
La respiration consciente consiste à inspirer pendant quatre secondes et expirer pendant six secondes.
Vous pouvez pratiquer cet exercice debout, assis sur une chaise, dos droit, jambes croisées ou non.
Placez vos mains devant votre abdomen et respirez lentement, en comptant les mouvements de votre poitrine.
Asseyez-vous confortablement sans vous appuyer sur vos fesses ni sur vos cuisses.
Suspendez votre respiration une seconde avant d’inspirer, inspirez au ralenti, et expirez lentement.
Comptez mentalement jusqu’à quatre pendant votre expiration.
Répétez cette séquence trois fois en comptant jusqu’à six.
Attention ! Les respirations profondes, et notamment la respiration consciente, peuvent provoquer une sensation de vertige chez certaines personnes, notamment les personnes âgées. Il est donc important de ne pas pratiquer cet exercice si vous avez des problèmes de santé, en particulier de santé cardiaque. Vous pouvez toujours le pratiquer une fois que vous vous sentez mieux.
Respirer consciemment, c’est prendre le temps de respirer lentement et profondément. C’est un exercice préventif qui permet d’apaiser et de se vider la tête. La respiration consciente vous aidera également à somnoler plus facilement avant de vous endormir.
2. Améliorer vos relations au travail
Quand vous êtes stressé, vous pouvez avoir tendance à être plus irritable. C’est la raison pour laquelle un des moyens les plus efficaces de lutter contre le stress est de travailler dans un environnement sain et de bonne qualité.
Vous ne pouvez pas négliger cet élément. Si vous n’êtes pas content du climat ou du contexte dans lequel vous travaillez, faites en sorte que quelque chose soit fait pour améliorer la situation.
Les relations avec vos collègues
Une des raisons de l’insatisfaction au travail est le mauvais climat qui règne entre vous et vos collègues. Cela peut être une source de stress importante.
Nous savons que nous n’avons pas toujours des relations avec nos collègues pour la meilleure raison. Ces relations peuvent souvent être très difficiles à gérer.
Il est donc important de rechercher les bons outils et les bonnes méthodes pour améliorer vos relations avec vos collègues. Ne sous-estimez pas l’importance de cet aspect dans le domaine du stress au travail.
Mouvement et Détente
Le stress vient de plusieurs facteurs. Un des éléments les plus importants est le manque de mouvement et de détente.
Vous pouvez lutter contre le stress en faisant plus d’activités sportives et en cherchant des moyens pour améliorer votre hygiène de vie. Une des choses les plus importantes à retenir est la détente. Si vous n’aimez pas faire du sport, découvrez tout ce que vous pouvez faire pour vous détendre.
Ce peut être une longue balade, une séance d’automassage ou une séance de yoga. Faites quelque chose pour vous détendre. Les activités physique et mentale peuvent être un moyen efficace pour réduire le stress au travail.
Manger sainement
Malheureusement, la nourriture n’est pas toujours la meilleure. En outre, certains types de nourriture peuvent augmenter votre stress au travail.
Il est donc essentiel de manger sainement et de manger pour votre organisme. Si votre alimentation est mauvaise, votre corps aura besoin d’énergie à partir de sources comme les graisses et les sucres que l’on trouve dans les aliments gras et sucrés.
Cela peut augmenter votre stress à cause des hormones qui sont libérées lorsque le corps digère les aliments. Votre alimentation est également importante pour votre mental.
Essayez de manger des aliments qui vous aident à rester calme pendant la journée, comme des légumes verts et des fruits. Essayez d’éviter les aliments qui produisent de la peur et de l’anxiété, comme les sucreries, le chocolat et les boissons énergisantes.
Votre environnement au travail
La nourriture n’est pas la seule chose qui peut influencer votre stress au travail. D’autres facteurs peuvent également jouer un rôle.
Votre environnement au travail est l’un des plus importants. Si vous êtes dans un environnement stressant, il est probable que vous soyez plus stressé.
Les effets de l’environnement sont particulièrement importants pour les personnes qui travaillent dans le secteur de la santé et de l’hôpital ou dans les services sociaux.
Le bruit, la lumière trop forte ou trop faible, les odeurs, l’espace, les horaires du travail et les relations avec vos collègues sont tous des facteurs qui peuvent influencer votre stress. Vous pouvez prendre le contrôle de certains de ces facteurs. Vous pouvez même prendre de gros efforts pour améliorer votre environnement.
Mais il y a des choses que vous ne pouvez pas contrôler. Par exemple, si vous travaillez dans un environnement bruyant, vous ne pouvez pas faire grand-chose pour changer cela.
Essayez de créer un environnement de travail sain pour vous-même et votre personnel. Par exemple, essayez de diminuer le bruit et de renforcer les odeurs. Vous pouvez aussi envisager d’augmenter la luminosité ou d’aménager un espace plus confortable.
Si vous êtes un employeur, assurez-vous que votre environnement de travail est sain pour tout le monde.
Participez à l’équipe de soutien au travail
L’équipe de soutien au travail (workplace support team : WST) est un groupe d’employés et d’employeurs qui travaillent ensemble pour trouver des solutions aux problèmes de santé mentale et à d’autres problèmes qui se posent dans l’entreprise.
L’équipe de soutien au travail peut se réunir régulièrement ou peut être une équipe plus informelle. Dans les deux cas, les membres de l’équipe se retrouvent régulièrement pour discuter des problèmes de santé mentale et d’autres problèmes qui se posent au travail. Ils décident eux-mêmes des sujets à aborder et peuvent même former des groupes autonomes pour traiter différents problèmes.
L’équipe de soutien au travail peut être un endroit où les employés qui vivent des problèmes de santé mentale peuvent parler librement. Cela leur permet de discuter des problèmes qu’ils rencontrent au travail, des solutions possibles et des stratégies à adopter.
L’équipe de soutien au travail peut aussi être un moyen d’aider les employés à vivre avec leurs problèmes de santé mentale et leur donne l’occasion de participer à des activités qui peuvent contribuer à leur santé mentale.
Les employeurs peuvent aussi jouer un rôle important en reconnaissant et en reconnaissant les problèmes de santé mentale dans leur entreprise. Cela peut donner aux employés l’occasion de parler librement de leurs problèmes de santé mentale et de recevoir du soutien.
3. Augmenter votre performance au travail
Vous voulez travailler plus efficacement ? Vous souhaitez obtenir de meilleurs résultats ? Si c’est le cas, il est temps de vous concentrer sur votre performance au travail. Il y a de nombreuses façons dont vous pouvez faire cela, et certaines sont plus évidentes que d’autres. Voici quelques conseils pour vous aider à atteindre vos objectifs et à travailler tout en douceur.
1. Trouvez un équilibre entre vos vies professionnelle et personnelle. Cela vous donnera plus d’énergie et vous permettra de travailler plus efficacement.
2. Faites des pauses régulièrement au cours de la journée. Cela vous permet de retrouver le focus, et sera encore plus efficace si vous décidez de prendre des pauses en plein air, ou de faire de l’exercice.
3. Assurez-vous que l’environnement est propre, clair et organisé. Cela vous permettra de travailler plus facilement et efficacement.
4. Vous pouvez aussi rechercher de l’aide professionnelle si vous avez des problèmes de travail. Faites confiance à un professionnel qui peut vous aider à faire évoluer votre carrière.
4. Réduire votre stress
Vous pouvez passer beaucoup de temps à chercher comment vous relaxer. Vous pouvez aller de l’avant et essayer plusieurs techniques pour vous aider à vous détendre. Voici quelques conseils pour vous aider.
Faites de l’exercice régulièrement
Une étude publiée dans le Journal of Strength and Conditioning Research a découvert que faire de l’exercice régulièrement peut être un excellent moyen d’alléger votre stress. L’étude menée sur des participants âgés de 18 à 25 ans, a constaté que faire de l’exercice régulièrement pendant plus de six mois a réduit les niveaux de stress.
Un métabolisme lent peut causer des niveaux élevés de stress. L’indice glycémique bas, les fibres et la nourriture riche en vitamines et en minéraux peuvent vous aider à améliorer votre métabolisme, et donc réduire votre stress. Les aliments riches en protéines comme les viandes maigres, le poisson, les œufs, les noix et les légumineuses, sont tous bonnes sources d’acides aminés. Ils ont un effet détoxifiant et sont bons pour la santé.
Prenez un petit-déjeuner équilibré
Le petit-déjeuner est le premier repas de la journée, ce qui signifie que vous êtes censé l’avoir avant tout le monde autour de vous. Cela veut dire que vous êtes le premier à entrer dans le bâtiment. Lorsque vous avez un petit-déjeuner équilibré, vous avez plus de chance de commencer la journée en pleine forme et dispos. Une étude publiée dans le Journal of the American Dietetic Association a constaté que les gens qui consomment un petit-déjeuner équilibré sont plus susceptibles de maigrir et de manger moins de calories au cours de la journée. Le petit-déjeuner est le repas qui a le plus d’importance sur votre niveau de stress.
Profitez des bienfaits d’un repas « à la fourchette »
Le repas « à la fourchette » est un concept alimentaire qui suggère que nous n’avons pas besoin d’avaler cinq portions par jour. L’idée est que lorsque vous consommez des aliments qui ont tendance à mousser lorsqu’ils sont cuits, vous pouvez manger un peu de plus sans en avoir l’impression. Lorsque vous mangez des aliments comme les pommes de terre, les haricots et les fèves, vous avez tendance à manger moins parce que vous remplissez votre assiette et votre estomac.
Ne mangez pas trop vite
Beaucoup d’entre nous mangent trop vite. Nous avons tendance à nous asseoir devant la télévision, à regarder un film ou simplement à travailler et à manger en même temps. Beaucoup d’entre nous ne se rendent pas compte que nous avalons les aliments trop vite. Il faut au moins 20 à 30 minutes pour que votre estomac se remplisse et que le signal de satiété arrive à votre cerveau. Si vous mangez trop rapidement, vous aurez tendance à manger plus que si vous mâchiez lentement.
Faites du sport
Beaucoup d’entre nous manquent d’activité physique. Nous travaillons, nous faisons des courses en voiture, nous prenons un repas rapide à la cafétéria ou au fast-food et nous retournons à la maison pour regarder une émission télévisée. Nous sommes bien trop assis et bien trop peu actifs. Nous manquons de force musculaire et d’endurance. Cela nous fait prendre du poids et nous provoque une sensation de fatigue.
Faites des exercices quotidiens
Il est important de faire des exercices quotidiens (marche, randonnée, vélo, natation, etc.). Les exercices font travailler votre métabolisme et vous aideront à brûler les calories et à maintenir votre poids. Si vous faites des exercices trop intensifs, vous risquez d’augmenter votre excès de poids avec l’augmentation de la masse musculaire. Il est donc préférable de faire des exercices d’endurance et de rechercher une augmentation de votre résistance plutôt que de vous concentrer sur la force musculaire.
Cherchez le bonheur
L’état d’esprit est important dans le processus d’équilibre alimentaire. Cela signifie que vous devez être heureux, optimiste et avoir un bon sens de l’humour. Vous devriez être capable de garder l’esprit ouvert à tout ce qui vous arrive. Si vous êtes malheureux, déprimé ou en colère, vous aurez tendance à manger pour compenser ces émotions. Vous aurez plus de difficulté à perdre du poids et à maintenir votre poids et votre équilibre alimentaire.
Si vous avez de la difficulté à atteindre l’équilibre alimentaire, je vous suggère de faire un examen de votre mode de vie et de vos habitudes alimentaires. Vous pouvez utiliser le tableau suivant pour commencer à évaluer votre mode de vie et vos habitudes alimentaires.
Examen de votre mode de vie
Déterminer le nombre d’heures que vous passez chaque jour :
• en mouvement (ex. marche, jogging)
• en méditation
• à manger et à boire (café, boissons gazeuses, etc.)
• à travailler (bureau, classe, etc.)
• à regarder la télévision ou à passer du temps sur Internet
Examen de vos habitudes alimentaires
Qu’est-ce que vous consommez ?
La quantité de calories dans votre alimentation est un facteur important de l’équilibre alimentaire. Il peut être utile de faire des calculs pour connaître les calories consommées et les calories brûlées. Cela vous aidera à évaluer si votre alimentation est équilibrée ou non.
La semaine prochaine, je vous parlerais de la relaxation et comment améliorer votre concentration.
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Les 5 éléments essentiels pour réussir votre communication digitale
Une communication digitale efficace est essentielle à la croissance d’une entreprise. Mais il ne suffit pas de se lancer dans une stratégie digitale pour réussir. Il faut avoir une vision claire de la façon dont on veut se positionner ou de ce que l’on souhaite faire passer. Puis, il faut définir les objectifs que l’on souhaite atteindre et les moyens à mettre en place. Enfin, il faut savoir évaluer cette communication digitale en termes de coût et d’efficacité. L’objectif de ce guide est de vous donner les 5 éléments principaux pour lancer une campagne digitale
1. Qu’est-ce que la communication digitale?
La communication digitale est l’utilisation d’internet et des réseaux sociaux pour relayer l’image d’une entreprise, vendre ses produits ou services, fidéliser sa clientèle, faire de la publicité ou encore communiquer avec elle. Il existe plusieurs formes de communication digitale:
Les médias sociaux : ils permettent d’interagir avec les consommateurs, de solliciter des avis et des retours d’expérience, d’interagir avec votre communauté, de recueillir de nouveaux clients à travers des concours ou des offres promotionnelles .
Les sites web : ils permettent de vendre des produits et des services, d’informer les clients sur votre activité, de recueillir des données par le biais d’un formulaire de contact. Une bonne gestion du site permet d’avoir un positionnement plus clair vis-à-vis de la concurrence.
Les blogs : ils permettent d’aller plus loin dans l’information sur votre entreprise, vos produits ou vos services, de publier des articles d’experts ou des études sur votre marché.
Le marketing viral : il consiste à diffuser des informations et des contenus sur les réseaux sociaux qui seront partagés et relayés par les internautes.
L’e-mailing : il permet d’envoyer des messages directement aux clients et prospects, de maintenir leur attention, de fidéliser, de faire de la publicité, d’obtenir des informations utiles (avantages clients, invitations à des événements).
Pour être efficace dans la communication digitale, vous devez connaître votre clientèle et savoir ce qu’elle attend de votre entreprise. Vous devez aussi savoir comment la fidéliser et comment la satisfaire.
Le marketing digital est une méthode qui s’inscrit dans la durée, qu’il faut développer avec constance et régularité. Il permet de se différencier des concurrents en proposant des services innovants et adaptés à la clientèle.
Il s’agit d’un moyen de communication très efficace pour communiquer auprès des clients potentiels.
2. La valeur de votre marque
Elle dépend de la manière dont vous la présentez au public. Vous pouvez l’améliorer grâce à une stratégie de marketing digital.
Un site Internet est un outil indispensable pour faire connaître votre entreprise. Il doit être dynamique et réactif, avec des contenus réguliers, des photos, des vidéos et de la musique. Un site Internet permet également de vendre en ligne et d’avoir des discussions avec les clients potentiels.
La création d’un blog pour la promotion de votre marque est très efficace. Un blog vous permet d’organiser vos idées et de les partager avec vos clients potentiels.
L’e-mailing ou la newsletter vous donne la possibilité de diffuser des informations sur votre entreprise et ses produits. Cela permet également de fidéliser vos clients, de leur faire découvrir vos nouveautés et de garder le contact avec eux.
Le référencement naturel optimisé permet de se positionner dans les résultats de recherche de Google, Yahoo! et Bing.
Google Adwords est un système qui permet de faire apparaître sa publicité au sommet des résultats de recherche pour des termes spécifiques .
Dans le cadre d’une régie publicitaire, une agence web vous propose différentes solutions de campagnes spéciales pour votre site Internet. Vous pouvez ainsi décider de diffuser des bannières publicitaires, des liens sponsorisés, ou encore des campagnes d’appel à l’action.
3. Comment utiliser les médias sociaux ?
Les médias sociaux sont des réseaux communautaires qui permettent de créer des liens entre les internautes et vous permettront de promouvoir votre entreprise.
Vous pouvez utiliser les médias sociaux pour :
– Partager des contenus sur vos produits et services,
– Intégrer une campagne de publicité,
– Développer votre e-mailing,
– Créer un lien avec vos clients potentiels,
– Générer du trafic vers votre site Internet.
Pour quelles raisons utiliser les médias sociaux ?
Les médias sociaux sont très prisés car ils permettent aux internautes d’échanger, de partager et de diffuser des informations rapidement et facilement.
En utilisant les médias sociaux, vous pourrez :
– Diffuser de la publicité,
– Intégrer une campagne de marketing afin d’augmenter votre notoriété,
– Intégrer des liens entre vos clients et vous-même,
– Générer du trafic vers votre site Internet,
– Développer votre e-mailing.
Quelles sont les solutions ?
Pour utiliser les médias sociaux, vous pouvez créer un compte sur les réseaux sociaux qui vous intéressent.
Vous pouvez aussi être invité par un ami ou un membre de votre entreprise.
Pensez à bien choisir le nom de votre profil ! Il doit être clair, descriptif et correspondre à votre activité.
Il vous faudra ensuite définir un objectif précis.
Vous pouvez aussi créer votre propre réseau ou communauté. Vous devrez alors bien déterminer qui sont vos clients, comment les atteindre et ce que vous souhaitez qu’ils retiennent de votre utilisation des médias sociaux.
Si vous avez un site Internet, il vous faudra le relier à vos comptes sur les médias sociaux.
Si vous n’avez pas de site Internet, il est toutefois possible d’utiliser les médias sociaux pour créer du contenu, se faire connaître et générer du trafic vers votre site Internet.
Vous souhaitez vous mettre à disposition des médias sociaux mais vous ne savez pas par où commencer ? Voici une méthode qu’utilisent beaucoup de nos clients.
Réfléchissez à ce que vous voulez faire sur les médias sociaux et à ce que vous souhaitez en retirer. Tenez compte des différents types de contenus que vous pouvez élaborer, les différentes approches que vous pouvez emprunter et les résultats à atteindre.
Par la suite, créez des publications en fonction de votre objectif. Vous pouvez aussi créer une communauté, un groupe d’utilisateurs qui partagent votre passion.
4. Faire du marketing digital avec les médias sociaux
Sur Facebook, les publications sont des contenus que vous créez puis publiez afin qu’ils soient visibles par vos abonnés. Les publications sont constituées :
– d’une photo ou d’un bout de texte,
– d’un lien,
– d’une vidéo,
– d’un appel à l’action (suscitation à télécharger un document, à visiter un site Internet etc.).
Quand vous utilisez un réseau social pour faire du marketing digital, votre objectif est de réaliser une vente, de générer de nouveaux clients ou d’obtenir une présence sur le web.
Sur Facebook, vous pouvez créer autant de publications que vous voulez. Vous pouvez aussi créer des publications en fonction de votre stratégie marketing et de votre objectif (cf. dans les étapes ci-après).
Les publications sont visibles par tous vos abonnés. Ainsi, vous n’avez pas à choisir qui les verra. Par contre, comme l’un des buts est de faire connaître votre entreprise, vous devez réfléchir à la cible que vous souhaitez atteindre avec vos publications.
Synonyme de « publication » : « story » sur Instagram et « post » sur Twitter.
Quelques conseils pour bien utiliser Facebook :
– soyez créatif et adaptez votre contenu à la cible que vous souhaitez atteindre,
– respectez le rythme d’actualisation de votre page Facebook,
– soyez réactif, un commentaire sur une publication doit être répondu dans les 30 minutes,
– évitez de publier trop de contenus d’affilée,
– créer des publications en fonction de votre stratégie marketing (cf. étapes ci-dessous),
– n’oubliez pas de bien personnaliser votre profil et d’ajouter un joli logo.
Autres conseils pour optimiser vos publications :
– sur le côté droit de votre profil, vous trouverez l’icône « thème » qui vous permet de voir les publications faites par les pages auxquelles vous êtes abonnées. Vous pouvez donc voir le contenu qui est partagé par vos pages préférées et étudier leurs contenus afin de reprendre leur méthode, leur thème, mais pas forcément leur style.
– sur Facebook, la cible que vous souhaitez atteindre peut aussi être influencée par votre page utilisateur. Vous pouvez ainsi voir quels sont les gens qui ont liké votre page et son contenu, pour ensuite définir la cible de vos publications.
– dans votre timeline Facebook, vous pouvez aussi voir quels sont les hashtags les plus utilisés et vous pouvez donc les intégrer à vos publications.
– sur les publications, vous pouvez enregistrer des commentaires, des vidéos, des photos et des liens. Cela permet de créer de nombreuses publications par jour.
Les étapes pour créer des publications Facebook efficaces :
– définissez votre thème,
– définissez votre cible,
– définissez un calendrier pour votre publication (planifier en fonction de la saison, du lancement d’une nouvelle offre ou encore d’un événement),
– créez votre publication avec votre contenu de présentation (texte, photo, vidéo),
– créez votre pub et partagez-la sur votre page Facebook. Vous pouvez enfin l’optimiser avec un appel à l’action pour que vos abonnés cliquent sur le bouton « j’aime » ou « partager ».
5. Faire de la publicité en ligne
Vous avez maintenant votre page Facebook, votre compte Twitter et votre site Internet. Il faut maintenant que vous génériez du trafic sur votre page et sur votre site Internet. Pour cela, il existe deux types de publicités en ligne : les publicités payantes et les publicités gratuites.
Il existe plusieurs réseaux sociaux différents qui proposent des publicités payantes. Mais nous n’aborderons ici que Facebook et Google Adwords (www.google.fr/adwords) car c’est de loin le plus efficace pour trouver du trafic qualifié.
Pour Facebook, vous pouvez créer des annonces pour votre page et pour votre site Internet. Pour cela, rendez-vous sur www.facebook.com/ads/create.
Google Adwords est un réseau de publicités payantes qui s’affiche dans les résultats des moteurs de recherche (Google, Bing). Vous pouvez donc gagner du trafic qualifié sur votre site. Pour créer votre campagne Adwords, rendez-vous sur http://adwords.google.fr/.
Pour plus de renseignements contactez notre agence pour vous aider à booster votre présence sur le web.
Le rapid learning: une technique nouvelle pour de nouvelles ambitions.
Cet article présente la « rapid learning », une méthode de formation ultra-rapide qui a été développée par le Dr Stephen R. Covey et d’autres personnages de renommée tels que John Grinder et Richard Bandler. La rapid learning est une méthode créée pour augmenter les performances des gens en quelques semaines ou mois au lieu de quelques années.
1. Les fondamentaux du rapid learning
Le rapid learning est basée sur trois principes appelés « les fondamentaux du rapid learning » :
1. La rapid learning utilise la pédagogie à double entrée et à double sortie. Le rapid learning traite toujours deux aspects d’une même chose: les deux côtés du problème, les deux façons d’appréhender une situation, etc. (cf. le symbole du Yin-Yang). Par exemple, le rapid learning vous aidera à comprendre qu’il existe différentes façons d’appréhender une situation (le côté Yin) et que chacune de ces façons d’appréhender va engendrer des résultats différents (le côté Yang).
Le rapid learning utilise la pédagogie du double, triple et quadruple niveau. Les principes de le rapid learning sont présentés dans un ordre logique qui permet d’apprendre plus rapidement. utilise la pédagogie de l’« apprendre-faire ». L’apprenant est immédiatement mis en action et il ne dépend que de lui de faire les expériences nécessaires à l’apprentissage. L’apprenant s’intéresse donc à l’action et non à la théorie.
Le rapid learning utilise la pédagogie du « co-apprentissage ». Le co-apprentissage est basée sur l’idée que les gens apprennent mieux quand ils apprennent ensemble plutôt que quand ils apprennent chacun de leur côté. L’idée du co-apprentissage est de mettre l’apprenant en situation de se poser les mêmes questions que celles posées par l’enseignant et dans les mêmes conditions que lui, ceci afin de favoriser des conditions optimales pour l’apprentissage.
Le rapid learning utilise la pédagogie de la « remémoration ». La remémoration est basée sur l’idée que beaucoup de connaissances sont déjà présentes dans la tête de l’apprenant. Le co-apprentissage permet donc d’aller chercher ces connaissances présentes dans la tête de l’apprenant pour les faire découvrir à nouveau.
Le rapid learning utilise la pédagogie de la « répétition ». Le principe de la répétition est que les personnes apprennent chaque fois qu’elles se remémorent une information ou qu’elles la renouvellent. La répétition permet donc d’aller chercher les connaissances présentes dans la tête de l’apprenant pour les faire découvrir à nouveau.
Le rapid learning utilise la pédagogie de la « remémoration » et celle de la « répétition » simultanées. Les 2 pédagogies permettent d’aller chercher les connaissances présentes dans la tête de l’apprenant pour les faire découvrir à nouveau. La première permet de remémorer des choses que l’on savait déjà, la seconde permet de répéter des choses que l’on ne savait pas encore ou qu’on avait oubliées.
2. Les différentes étapes du rapid learning
Cette méthode a été développée par le neuroscientifique et phénoménologue américain Michael Merzenich. Cette méthode a été testée sur des personnes souffrant de handicap ou de maladie, et a montré des résultats très positifs sur la vitesse de récupération et de la cicatrisation, pour les problèmes de santé mentale, comme par exemple le TDAH (Trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité).
Les outils utilisés sont les suivants :
– un ordinateur portable ou un ordinateur fixe (l’écran doit être de 15 pouces environ, et la résolution de l’écran doit être d’au moins 1024 x 768) ;
– une souris ;
– un casque d’écoute ;
– un microphone.
Les études scientifiques démontrent que l’utilisation de plusieurs sens (vue, audition, toucher) permettent d’accélérer le processus d’apprentissage.
Les exercices se font sur ordinateur, au cours d’une séance de 2 à 3 heures par jour. Les exercices sont divisés en 5 stades. Chaque stade dure environ 15 minutes, et il faut réaliser les 5 stades pour pouvoir passer à la stade suivant.
Ces exercices ont pour but d’entraîner votre cerveau en stimulant les zones de votre cerveau qui permettent de penser et de mémoriser.
Les études scientifiques montrent que les personnes qui font cette méthode mémorisent beaucoup plus et plus vite que les personnes qui ne l’utilisent pas. La méthode est très efficace pour apprendre à parler une langue étrangère, l’apprentissage de cette langue étant un bon entraînement à la mémorisation.
Cette méthode permet d’apprendre d’autres choses, comme par exemple apprendre plus facilement à jouer d’un instrument de musique, mieux gérer son temps, apprendre des techniques de communication,etc.
Les sujets étudiés pendant les séances sont adaptés en fonction des objectifs de l’utilisateur.
Cette méthode est basée sur la mémorisation par la répétition. Les exercices diffèrent selon le stade (1, 2, 3 ou 4), et c’est au cours du 5ème stade que l’utilisateur apprend à mémoriser sans répétition.
Ce sont des exercices spécifiques pour améliorer votre mémoire, votre concentration, vos capacités de raisonnement , votre compréhension, etc. Le but de cette méthode est de vous aider à mémoriser de façon rapide et efficace les connaissances qui seront utiles dans votre vie.
En effet, nous n’avons pas besoin d’apprendre toutes les choses qui existent dans le monde, mais celles qui nous sont utiles. Cette méthode permet aussi de se débarrasser des habitudes et peurs en rapport avec la mémoire, comme par exemple la peur de la note mauvaise, le stress en cours d’examen, la mémoire des chiffres ou de mots, etc.
3. Les bénéfices du rapid learning
La méthode du Rapid Learning est basée sur les recherches menées par le professeur Albert Dunbar, et sur l’idée d’apprendre en utilisant la mémoire épisodique.
La mémoire épisodique est celle qui nous aide à retenir des informations relatives à des événements, qu’ils soient passés ou à venir. Ainsi, il s’agit d’un système de mémorisation qui peut être utilisé pour apprendre facilement et rapidement.
Les avantages du Rapid Learning sont :
- apprendre plus vite et facilement ;
- pouvoir se souvenir de ce qu’on apprend plus longtemps (sans devoir faire des exercices réguliers) ;
- ne pas être stressé en cours ;
- pouvoir utiliser la mémoire épisodique pour apprendre et retenir des informations ;
- ne plus avoir peur des notes mauvaises, ni d’être stressé en cours ;
- mieux se concentrer à l’école et pouvoir mieux dormir la nuit ;
- réussir ses examens et ne plus avoir peur de les passer ;
- avoir une mémoire de chiffres et de mots ;
- comprendre et retenir des informations qui vous sont propres.
La méthode du Rapid Learning est un procédé qui permet d’apprendre facilement et rapidement en utilisant la mémoire épisodique. Pour apprendre, la mémoire doit être activée en premier lieu, afin de pouvoir stocker des informations. Ensuite, ces informations doivent être assimilées et intégrées aux connaissances préalablement acquises pour que l’information soit conservée et puisse être réutilisée ultérieurement.
4. L’importance du mentorat
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“Ce qui compte vraiment dans l’apprentissage, ce n’est pas tant ce qu’on apprend que la façon dont on apprend et le fait que cet apprentissage s’inscrive dans la durée. C’est pourquoi il est très important de travailler avec des mentors qui ont la capacité de créer un environnement propice à l’apprentissage.”
“La méthode du Rapid Learning utilise la mémoire épisodique qui permet donc d’apprendre plus vite et plus facilement. Le Rapid Learning utilise également les connaissances acquises antérieurement, mais dont on ne s’était pas encore servi, ce qui permet de construire des connaissances plus vastes.”
“La méthode du Rapid Learning est un processus continu d’apprentissage et d’intégration, qui utilise la mémoire épisodique pour faciliter la construction d’une mémoire long terme.
Ce qui est important, c’est de prendre conscience que l’on peut apprendre très rapidement et facilement et que cela est un processus qui dure toute la vie.”
“La méthode du Rapid Learning est une formule unique et efficace qui permet d’apprendre plus rapidement et plus facilement en reprogrammant la mémoire et en recréant du plaisir, de la joie et du bien-être dans l’apprentissage.
La méthode du Rapid Learning est basée sur la programmation neuro-linguistique (PNL) qui utilise la logique de notre cerveau et les principes de la nature pour apprendre plus rapidement et plus facilement. “
“La méthode du Rapid Learning vise à créer des connexions permanents entre les différentes parties du cerveau. Elle utilise le système naturel d’association des circuits neuronaux pour créer une connexion permanente entre les différentes parties du cerveau. “
Le Rapid Learning permet de faire des liens plus forts entre l’hippocampe (le centre de la mémoire épisodique) et le cortex cérébral, ce qui permet d’intégrer les nouvelles connaissances dans la mémoire épisodique et de les retenir plus facilement.
5. Les relations avec les autres participants
Les relations avec les autres participants sont au coeur du Rapid Learning. Le but est de créer des liens forts et durables entre les personnes, afin qu’elles puissent partager leurs idées et leurs connaissances en toute confiance.
Le Rapid Learning permet de reprogrammer la mémoire et récupérer la confiance en soi. Les personnes qui ont perdu leur confiance en elles, suite à des échecs ou à des traumatisantes expériences, peuvent retrouver cette confiance en elles-mêmes.
En tant que participant, vous pouvez observer les effets du Rapid Learning sur votre propre personne. Les résultats du Rapid Learning sont visibles chez les autres participants et dans tous les domaines de la vie (famille, travail, amis, etc.).
Les effets du Rapid Learning sur vous
Dans le cadre du Rapid Learning, vous devrez aborder la méthode de façon à ce que tous les participants puissent la comprendre et l’appliquer. Les effets du Rapid Learning se manifestent dans tous les domaines de la vie des participants. Ils sont perceptibles dans leur travail (réussite professionnelle), dans leurs relations familiales, amicales et sociales.
Ce qui peut être observé durant les sessions de Rapid Learning:
- Une meilleure confiance en soi
- Une meilleure confiance en soi Un sens de l’objectif dans le travail
- Un sens de l’objectif dans le travail Une meilleure écoute des autres et une meilleure communication avec eux.
- Une meilleure écoute des autres et une meilleure communication avec eux. Une meilleure gestion du stress dans la vie quotidienne.
Conclusion
Le rapid learning permet :
- Une meilleure gestion du stress dans la vie quotidienne. Une amélioration des relations avec autrui.
- Une meilleure confiance en soi-même et dans le monde qui nous entoure.
- Un sentiment de sécurité et de stabilité.
- Un état d’esprit positif vis-à-vis de soi et de la vie (tendance à l’optimisme).
- Un sens de l’objectif dans le travail.
- Une meilleure gestion du stress dans la vie quotidienne.
Source de l’article : www.instants-web-formation.fr
L’importance de l’optimisme au travail et dans la fonction de manager.
Nous avions édité un article ces dernières semaine sur le négativisme dans notre socièté qui est un véritable fléau et nécrose les relations sociales. Voici aujourd’hui un article sur l’optimisme et le bonheur au travail.
La recherche du bonheur est l’une des plus grandes aspirations des êtres humains. Il existe une relation étroitement liée entre le bonheur et le travail. Beaucoup de personnes se disent malheureuses au travail, parce qu’elles ne sont pas bien dans leur peau et que cela leur donne de mauvaises conditions pour faire leur travail. Pourtant, la recherche du bonheur au travail est une des plus grandes aspirations des êtres humains.
La définition du bonheur varie d’une personne à l’autre, mais tout le monde veut être heureux et recherche la satisfaction de ses besoins. La plupart des gens sont satisfaits de leur vie professionnelle, mais ils ne réalisent pas que le fait d’être heureux au travail est une condition préalable pour pouvoir être satisfait ailleurs (famille, vie privée…).
Le bonheur au travail ne veut pas dire uniquement être heureux au travail, mais également être capable de s’adapter aux différents problèmes qui peuvent survenir dans le cadre de son activité professionnelle. En effet, l’être humain est constamment confronté à des problèmes qu’il n’a pas choisis, qu’il ne contrôle pas et qui peuvent lui donner l’impression qu’il n’y a pas de lien entre ce qu’il fait et la réalisation de ses objectifs. Cela engendre une grande insatisfaction qui peut être en partie responsable du développement d’une mauvaise humeur.
Le bonheur au travail est un élément essentiel pour réussir sa vie professionnelle et personnelle. Il permet de pouvoir gérer les problèmes qui surviennent sur le travail, mais aussi dans la vie privée.
1. L’optimisme au travail
Comment être heureux au travail ?
La présence d’un enthousiasme positif dans son travail est un facteur important pour être heureux au travail. Cet enthousiasme dépend de la vie personnelle de l’employé et de sa capacité à gérer les situations difficiles.
Une personne optimiste a plus facilement recours à l’initiative, elle ne cherche pas à attribuer la responsabilité des échecs à autrui, elle se donne un sens en faisant du travail une partie importante de sa vie, elle est moins sujette à la dépression et à la dépression majeure.
L’optimisme est aussi plus important que l’intelligence pour réussir dans son travail. En effet, le pessimiste sera toujours dans une situation de défense et ne fera pas grand-chose pour atteindre ses objectifs. Il cherchera les problèmes et les difficultés et ne ressentira aucune satisfaction en les résolvant.
2. La motivation au travail
C’est quoi la motivation ?
La motivation est ce qui nous pousse à agir. C’est ce qui motive nos actions et nos décisions. Ainsi, pour être efficace, le travail doit être motivant.
La motivation est liée aux besoins fondamentaux de l’être humain. Elle est liée à la vie personnelle et à la vie professionnelle.
Dans le travail, un employé a plus de chances d’être motivé s’il a un poste qui lui convient, si la personne qu’il travaille avec est une personne avec qui il peut travailler, si l’ambiance de travail est bonne, si le salaire et les primes sont corrects, s’il est bien informé sur ce qu’il fait, si son employeur lui fait confiance.
Dans le domaine personnel, on peut être motivé par le succès ou par la réussite dans ce que l’on entreprend. La motivation peut aussi être un moyen de nous évader de notre quotidien, de pouvoir prendre du recul sur une situation, de nous dépasser.
La motivation est un moteur qui nous pousse à agir. Elle peut être d’origine interne comme externe.
Lorsque l’on parle de motivation interne, on parle de motivations personnelles : l’individu fait quelque chose parce qu’il en a envie, parce que cela lui plaît, parce que cela lui procure satisfaction, etc. Cette motivation est variable en fonction des sujets. Il n’existe pas de personne qui soit entièrement motivée par son travail, d’autres ont besoin d’être stimulées par la perspective d’un bonus, d’une augmentation, d’une promotion, etc.
La motivation externe est le sentiment que nous éprouvons lorsque nous sommes poussés à agir par autre chose que par nos propres motivations. Elle peut être d’origine sociale ou de l’environnement. On parle de motivation externe quand on est motivé pour avoir une récompense, un avantage, une gratification. Cette motivation est entretenue par l’idée d’une récompense ou d’un avantage qu’on obtiendra en faisant quelque chose.
Les facteurs qui influencent la motivation sont très divers.
Nous pouvons par exemple être motivés par :
L’argent : les salaires, les primes, les bonus, les rémunérations de nos dirigeants…
La reconnaissance : le fait d’être reconnu, apprécié ou reconnu pour notre travail. Cela peut être symbolique ou bien concret.
L’estime de soi : l’image que nous avons de nous-même. Elle est toujours liée à notre capacité à réaliser des performances.
Les autres : notre famille, nos proches, nos collègues, nos supérieurs hiérarchiques…
La responsabilité : le fait d’avoir plus de responsabilité au travail.
Le plaisir : le fait de s’amuser, de faire ce qu’on aime faire, la satisfaction de nos intérêts et de nos besoins.
La fierté : le fait de réussir quelque chose, d’obtenir un résultat.
Le sens : le fait de donner du sens à notre travail.
La stimulation : la sensation d’être stimulé par des émotions fortes, des impressions visuelles, auditives ou sensorielles.
La connaissance : le fait de se développer, de progresser, d’acquérir de nouvelles compétences ou de nouveaux savoirs.
La sécurité : le fait d’avoir plus de sécurité dans son travail ou dans son emploi.
La reconnaissance sociale : la reconnaissance de nos pairs, de la société, de nos proches.
La liberté : le fait de ne pas être contraint, d’avoir du temps libre.
La considération : le fait d’être considéré par nos pairs, nos proches, la société…
La stabilité : le fait de ne pas être contraint à des changements dans son travail ou son emploi.
La possibilité d’évolution : le fait d’avoir plus de possibilités d’évolution dans son travail ou son emploi.
Le sens de la réussite : le fait de se sentir satisfait, de se dire « j’ai réussi ».
La santé physique : le fait de se sentir en bonne santé.
La santé mentale : le fait de ne pas se sentir dépressif ou anxieux au travail.
Le pouvoir : le fait d’avoir du pouvoir au travail.
La sécurité matérielle : le fait d’avoir un niveau de vie confortable.
Le plaisir : le fait d’être satisfait, d’avoir du plaisir au travail.
La reconnaissance sociale : le fait d’être reconnu, d’avoir du prestige à cause de son travail.
La responsabilité : le fait de prendre des décisions importantes au travail ou dans son emploi.
Le sens de la justice : le sentiment de pouvoir appliquer une justice à son travail ou dans son emploi.
Le sens du travail : le fait de penser que son travail a un sens, qu’il est utile à la société ou à des personnes.
La sécurité : le fait de ne pas être contraint, d’être en sécurité au travail.
Le sentiment d’appartenance : le fait de se sentir appartenir à une organisation ou à un groupe de travail.
Le sentiment de réussite : le fait de se sentir satisfait, de se sentir réussi dans son travail.
3. La confiance en soi ou le fait de se sentir capable de faire bien son travail.
Voici quelques grandes lignes qui devraient vous aider a savoir si vous êtes optimiste :
La confiance en soi : le fait de se sentir capable de faire bien son travail.
La confiance en ses collègues : le fait de se sentir capable de travailler en équipe avec ses collègues.
La confiance dans l’organisation : le fait de se sentir capable de travailler avec l’organisation.
La confiance dans la technologie : le fait de se sentir capable d’utiliser la technologie au travail.
La confiance dans les tendances économiques : le fait de se sentir capable d’utiliser les tendances économiques au travail.
La confiance dans la politique : le fait de se sentir capable d’utiliser la politique au travail.
La confiance dans les relations humaines : le fait de se sentir capable de travailler avec les autres au travail.
La confiance dans l’organisation : le fait de se sentir capable de travailler avec l’organisation.
La confiance dans la technologie : le fait de se sentir capable d’utiliser la technologie au travail.
Alors !! vous êtes optimiste …
C’est une question d’attitudes.
Pour arriver à son plein potentiel, chaque employé doit développer le plus grand nombre possible d’attitudes positives.
La confiance en soi est la première des attitudes positives à cultiver.
Les autres attitudes positives sont : la confiance en ses collègues, la confiance dans l’organisation, la confiance dans la technologie, la confiance dans les tendances économiques, la confiance dans les relations humaines, la confiance dans la politique.
La confiance en soi est un facteur influent dans le succès, dans la réussite, dans le rendement.
La confiance en soi augmente l’efficacité et améliore les résultats.
La confiance en soi est un facteur important chez les dirigeants, les managers, les employés.
C’est pourquoi, il faut cultiver la confiance en soi.
La confiance en soi est une attitude positive:
- Avoir de la confiance en soi est une attitude positive .
- La confiance en soi augmente l’efficacité.
- La confiance en soi améliore le rendement.
- La confiance en soi augmente la productivité.
- La confiance en soi augmente la créativité.
- La confiance en soi améliore la cohésion d’équipe.
- La confiance en soi améliore les relations.
- La confiance en soi améliore les rapports avec les clients.
4. Le succès au travail est d’avoir le bon état d’esprit.
L’état d’esprit a une importance cruciale pour le succès au travail .
Vous devez être dans un état d’esprit positif lorsque le succès au travail est votre objectif. L’état d’esprit est le facteur clé en matière de performance :
- Lorsque vous êtes dans un état d’esprit positif vous augmentez votre potentiel.
- Lorsque vous êtes dans un état d’esprit positif vous augmentez votre efficacité. Lorsque vous êtes dans un état d’esprit positif vous améliore votre efficience .
- Lorsque vous êtes dans un état d’esprit positif vous augmentez votre rendement .
- Lorsque vous êtes dans un état d’esprit positif vous augmentez votre productivité .
- Lorsque vous êtes dans un état d’esprit positif vous augmentez votre créativité.
- Lorsque vous êtes dans un état d’esprit positif vous améliorez la cohésion d’équipe .
- Lorsque vous êtes dans un état d’esprit positif vous améliorez les relations.
- Lorsque vous êtes dans un état d’esprit positif vous améliorez les rapports avec les clients. Le succès au travail est d’avoir l’état d’esprit positif
5.Les qualités d’un bon leader optimiste
Le leader est un vrai meneur. Il sait faire preuve d’autorité mais aussi il sait écouter et partager. Être un bon leader c’est avoir la capacité de faire travailler des personnes dans un but commun et qui va au-delà de leur propre intérêt. L’homme de pouvoir, l’homme de prestige n’est pas le bon leader. Quelles sont les qualités du bon leader ?
Le leader est d’abord charismatique. Le leader est une personne ambitieuse, qui n’a pas peur d’aller au devant des autres, un leader est un vrai meneur. Le leader n’est pas le premier qui parle mais il sait écouter et savoir séparer les bons conseils des mauvais.
Le leader a une bonne capacité de communication et de pouvoir émouvoir. Il sait utiliser le langage de l’autre pour l’atteindre et lui faire comprendre ce qu’il veut dire.
Le leader a une bonne capacité d’adaptation et d’ingéniosité. Il doit être capable d’adapter sa manière d’agir selon les situations et les personnes.
Le leader a une bonne capacité à motiver ses troupes. Il sait faire preuve d’autorité mais aussi il sait écouter et partager. Le leader est un vrai meneur. Il sait faire preuve d’autorité mais aussi il sait écouter et partager.
Conclusion
La société actuelle va de plus en plus dans l’individualisme, le leader doit être capable de faire prendre conscience aux autres qu’ils sont interdépendants. Les leaders sont des personnes qui peuvent aider à construire un monde meilleur.
Dans le monde actuel il n’y a pas assez de leaders, car trop peu d’entreprises et d’organisations se donnent à fond pour former les jeunes à devenir des leaders.
Les leaders sont d’une utilité précieuse sur le plan collectif. Cependant on ne peut pas répéter l’histoire, répétons plutôt tous ensemble notre manière d’être un leader optimiste.
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Les 10 signes qui montrent que la reconnaissance est en train de disparaître ( deuxième partie )
4. La focalisation sur le résultat
Le fait de croire qu’en étant dans une situation, elle va automatiquement nous combler, nous donner de la joie et de la paix, nous rend souvent très envieux et très agressif.
Ainsi, nous nous comportons comme si nous avions perdu notre liberté.
Nous nous mettons à jalouser les autres et à tenter de les éloigner ou de les écraser pour que l’on ne puisse pas voir ce que l’on a perdu : notre propre humanité.
“Je suis divin, la paix, la joie et l’amour sont en moi.” La focalisation sur les buts
Cette focalisation sur les buts, sur le résultat, nous amène à vouloir tout avoir avant de se sentir en paix ou heureux. C’est dans cette attente que nous pouvons être souffrants et envieux.
Le but étant toujours hors de nous, il nous est impossible d’y accéder.
Nous pouvons donc vouloir, mais jamais atteindre.
Dans cet état de désir de résultats, nous ne sommes pas dans la joie et la paix car il y a toujours un but à atteindre. Nous sommes écartelés entre le désir d’avoir un résultat et celui de le posséder. Nous avons l’impression que si nous ne réussissons pas à obtenir ce que nous voulons, nous allons souffrir, nous sentir malheureux, bref, nous allons perdre la paix et la joie.
La liberté est donc difficile à vivre quand la focalisation est sur les buts, car il y aura toujours des obstacles à surmonter. C’est ainsi que nous avons l’illusion d’être libres, car nous nous focalisons sur les buts.
En fait, en focalisant sur le résultat, nous ne pouvons pas être totalement libres de vivre le moment présent. Le but étant toujours hors de nous et inaccessible, nous ne pouvons jamais atteindre la liberté que nous cherchons. Dans la focalisation sur le résultat, nous sommes toujours en train d’attendre un état ou une situation quelconque, et donc nous ne sommes jamais totalement libres pour vivre le moment présent.
Nous avons donc besoin de voir clairement la différence entre vouloir et avoir. Cela ne signifie pas que la focalisation sur les résultats ne puisse pas être un outil de développement personnel très utile. Nous allons voir dans la suite de l’article que cette focalisation a un rôle à jouer, mais c’est une focalisation sur le résultat et non sur la liberté.
5. La perte de la communication
La focalisation sur les résultats a également un impact subtil sur nos relations. En effet, lorsque nous avons un but à atteindre, notre attention est souvent tournée vers cette personne ou ce groupe de personnes que nous devons convaincre de notre point de vue. Nous avons alors tendance à perdre la connexion avec l’intégrité du moment présent et la communication céleste.
Quand nous voulons convaincre quelqu’un d’une idée, nous avons tendance à parler plus et à écouter moins. Nous avons tendance à nous focaliser sur nos propres opinions plutôt que de chercher à mieux comprendre la position de l’autre. En fait, nous ne cherchons pas vraiment à comprendre l’autre, mais plutôt à « gagner la partie ».
Les personnes qui ont un agenda précis ou une stratégie sont souvent mal à l’aise avec le fait qu’elles ne peuvent pas contrôler autant les autres qu’elles le voudraient. En conséquence, elles tendent à se focaliser sur les personnes ou les groupes qu’elles doivent convaincre plutôt que sur la communication.
Quand vous êtes dans une relation et que vous cherchez à convaincre quelqu’un de votre point de vue, votre attention est alors tournée vers la personne et non vers le processus de communication. Vous cherchez à obtenir un résultat, et non à profiter pleinement de l’instant présent. Vous êtes focalisés sur ce que vous voulez, ou sur ce que vous pensez être juste.
Si vous cherchez à comprendre la position de l’autre, vous allez avoir une expérience plus enrichissante. C’est un peu comme de regarder un film d’action : vous avez une expérience beaucoup plus riche si vous essayez de comprendre comment le héros va sortir de cette situation chaotique plutôt que de savoir si celui-ci va s’en sortir ou pas. Il y a toute une différence entre savoir ce qui va se passer et essayer de comprendre pourquoi les choses se déroulent ainsi.
Ce qui est intéressant avec la communication c’est que vous pouvez vraiment mettre l’accent sur la relation plutôt que sur le contenu, et donc vous ramener à un état d’être et non à un état d’avoir. Vous vous concentrez sur la personne, pas sur ce que vous voulez obtenir d’elle ou quelque chose d’autre.
Cette façon de voir les choses ne va pas nécessairement créer une réponse immédiate. Mais cela vous permet de vivre dans un état d’esprit plus heureux et plus positif. Cela vous permet également d’avoir une expérience plus riche avec la personne qui partage votre espace. Vous vivez le moment présent, vous êtes dans l’échange et non dans la recherche d’une conséquence.
6. Le déclin des valeurs
Les valeurs sont importantes. Vous vivez dans une culture où les valeurs ont été remplacées par des préférences. Si vous n’êtes pas heureux de ce que vous faites, changez de boulot. Vous n’êtes pas heureux de votre mari/femme, divorcez et trouvez quelqu’un d’autre. Cela est dans la mentalité actuelle: si vous n’êtes pas satisfait, changez-le.
Les valeurs sont différentes . Les valeurs sont des valeurs. Elles ne changent pas selon la situation, les conditions ou les circonstances. Les valeurs sont des choix et des décisions (et non des préférences).
Une autre différence entre les valeurs et les préférences est que les valeurs ne peuvent pas être échangées contre de l’argent. Si quelqu’un vous demande de vendre votre âme contre de l’argent, cela pourrait être facilement échangé en échange d’une maison ou d’une voiture, mais pas contre une valeur.
Voyez si vous avez déjà vendu vos valeurs. Vous avez peut-être dit que la famille était importante pour vous, mais ensuite, vous avez laissé votre travail prendre beaucoup de votre temps et vous avez commencé à vous préoccuper davantage de l’argent que de votre famille. Vous pouvez faire le choix d’avoir une famille et un travail, mais vous ne pouvez pas avoir les deux à la fois ?
Les valeurs ne changent pas selon la situation, les conditions ou les circonstances.
7. L’obsolescence de la collaboration
L’obsolescence est l’abandon d’un usage, d’un type de produit ou d’une technologie. La plupart des personnes pensent que l’obsolescence est la fin de quelque chose. Cependant, cela peut également signifier le début de quelque chose. Par exemple, un nouveau type de produit, comme le cellulaire, nous a amenés à nous séparer des téléphones sans fil et à les remplacer par les téléphones cellulaires. Nous avons ensuite mis ces anciens téléphones à la poubelle, mais nous avons aussi mis à la poubelle des radios, des téléviseurs et de nombreux autres appareils électriques. Ce sont des exemples d’obsolescence.
Cela implique l’obsolescence de la collaboration. L’époque où les gens travaillaient ensemble dans le même bureau est maintenant révolue. Les entreprises exigent que leurs employés aillent au bureau pour travailler. Les employés sont également utilisés de moins en moins comme collaborateurs. Ils sont utilisés uniquement pour produire le travail, et ils ne sont pas impliqués dans les quelques étapes qui précèdent la production. La collaboration est obsolète.
L’obsolescence est une réalité nécessaire dans notre vie. Si nous laissons les choses aller à la dérive, elles finiront par finir par s’effondrer. Si nous ne pouvons pas obtenir des nouveaux appareils, nous devons les remplacer par des nouveaux. Si nous ne pouvons pas obtenir de nouvelles idées, nous devons en obtenir de la même manière que pour les appareils électriques.
En fait, l’obsolescence est toujours un processus continu qui nous aide à ne pas laisser les choses aller à la dérive. Tous les jours, les gens meurent. Chaque jour, de nouvelles idées et de nouvelles méthodes sont développées. Tous les jours, des entreprises ferment leurs portes. Tout cela est fait pour maintenir un équilibre dans la production et l’innovation.
L’obsolescence est donc une chose dont nous ne pouvons pas nous passer. Elle est une force mondiale qui nous aide à rester productifs. Sans elle, nous finirions par ne rien faire et par vivre dans un monde fait de chaos.
Ainsi, l’obsolescence est une vérité qui ne peut être niée. C’est une réalité. Cependant, les gens vont utiliser cette vérité pour leur profit personnel.
Par exemple, les magasins vont faire en sorte que les gens achètent des choses très rapidement, soit parce que la vie d’un produit durait moins longtemps que prévu ou parce qu’ils ont décidé de réduire leur durée de vie.
8. L’importance accordée à l’autorité en tant que telle
L’obsolescence est liée à l’autorité. L’autorité est un concept qui est très important dans la société. Cependant, cette importance a créé un marché pour les produits de plus en plus obsolètes. La raison pour laquelle les gens font confiance à l’autorité, c’est parce qu’ils sont convaincus que cette autorité a leur bien être en tête.
Par exemple, les fabricants ont besoin de continuer à vendre de nouveaux produits pour continuer à faire des profits. C’est pour cette raison qu’ils font la promotion d’un produit qui est encore plus puissant que le précédent. Le consommateur croit que c’est un meilleur produit et va l’ acheter.
Le problème est que la plupart des gens ne prennent pas la peine de lire les petits caractères sur l’emballage. Ils veulent juste que l’autorité soit fière d’eux ou ils veulent simplement être bien considérés dans leur société. Ils pensent que si l’emballage ne les informe pas en petits caractères, alors c’est qu’ils n’ont rien à craindre.
9. La négligence des capacités humaines
Les gens sont tellement enthousiastes à l’idée d’avoir un meilleur produit qu’ils n’ont pas pensé aux conséquences néfastes qui pourraient en résulter.
Par exemple, les fabricants peuvent promouvoir un produit qui prétend être plus puissant que le précédent. Cela peut vouloir dire que le consommateur doit prendre plus de comprimés pour atteindre le même niveau d’efficacité. S’il prend trop de comprimé, il peut avoir des problèmes de santé ou même la mort.
Les fabricants peuvent également prétendre que leur produit est plus puissant que le précédent alors qu’ils peuvent simplement l’appliquer sur une plus grande surface. Cela veut dire que le consommateur est induit en erreur et croit que le produit est plus efficace. La vérité est que le produit est la même, il n’est pas plus puissant, mais il est seulement appliqué sur une plus grande surface.
Ce sont des exemples de négligence des capacités humaines. Il est clair que la société et le consommateur ont besoin d’un système de protection efficace contre ces activités déloyales.
10. Le manque d’ouverture d’esprit
Les gens ne sont pas ouverts d’esprit, ce qui est un problème énorme. Les gens ont tendance à refuser l’information nouvelle parce qu’ils interprètent cette information nouvelle comme une menace à leurs conceptions préconçues. Il en résulte des préjugés et des comportements irrationnels.
Par exemple, les scientifiques ont découvert que la lumière est composée de particules appelées « photons ». Ceci est une révolution pour la science. Mais beaucoup de gens ont refusé de regarder la lumière sous cet angle parce qu’ils ont peur de changer leurs conceptions préconçues sur la lumière.
La société et le consommateur ont besoin d’un système qui protège leur ouverture d’esprit et qui force les entreprises à utiliser des messages clairs et nettes.
L’ignorance du consommateur
Le consommateur est ignorant. Les gens ne connaissent pas le monde (univers + société). Le consommateur ne connaît pas la vérité. Il ne sait pas ce qu’est la vérité, il ne sait pas ce qui est réel et ce qui est faux.
L’ignorance du consommateur est bien illustrée par le fait que les gens pensent que les produits sont meilleurs si une personne célèbre apparaît sur la publicité.
Cette croyance est complètement irrationnelle. La preuve de ce qu’est un bon produit n’est pas dans la publicité, mais les résultats. On a vu des publicités des années 1950 qui présentaient des choses comme du shampoing qui pouvait faire pousser les cheveux. Aujourd’hui, si vous demandez aux gens ce qu’ils pensent de la pub qui montre des cheveux poussant grâce au shampoing, ils diront que c’est du bluff. C’est Logique. Un produit qui est bon va donner de bons résultats.
Mais lorsqu’il s’agit d’un produit qui est mauvais, le consommateur ne peut pas faire la différence entre une bonne publicité et une mauvaise publicité. Si vous demandez à un consommateur ce qu’il pense de la pub qui montre une personne célèbre avec le produit, il va dire : « oui, c’est bien ». Mais si vous demandez aux gens ce qu’ils pensent du produit, ils diront : « non, c’est nul ».
Lorsque l’on vend des produits bas de gamme, la publicité est très utile. Mais pour les produits de haute qualité, la publicité n’a pas de sens. Les gens peuvent croire que leur voiture est une bonne voiture si elle apparaît dans une publicité. Mais ils ne peuvent pas comparer leur voiture avec les modèles concurrents, car il n’y a pas de publicité pour les voitures concurrentes. Donc ils ne savent pas si leur voiture est bonne ou mauvaise.
Dans un système de libre entreprise, personne ne paie les consommateurs pour qu’ils témoignent du bien-fondé d’un produit. En revanche, les consommateurs sont payés pour parler des produits qu’ils aiment. Leur opinion est d’autant plus importante pour votre marque que ces consommateurs ont de l’influence sur les autres.
Conclusion de notre série d’articles sur le manque de reconnaissance dans le monde du travail.
Une forme de reconnaissance est en effet bien plus importante que l’argent.
L’argent fait le bonheur. Mais c’est la reconnaissance qui crée le bonheur.
Si vous voulez être heureux, croyez en vos idées et suivez votre passion. Faites ce que vous aimez.
Alors vous serez heureux et vos idées et votre travail seront reconnus. Et vous serez riche.
N’oubliez pas, il y a un temps pour tout.
Source de l’article : www.formateur-web.io
Les 10 signes qui montrent que la reconnaissance est en train de disparaître ( première partie)
Nous vous proposons un série de deux articles pour vous donner les raisons pour lesquels la reconnaissance est importante dans nos vies.
La reconnaissance personnelle est devenue une ressource rare, pourtant nécessaire à notre bien-être. Les gens qui se sentent reconnus sont moins stressés, plus épanouis et ont un meilleur moral. La reconnaissance personnelle est aussi un facteur clé pour les entreprises, qui rapporte plus de profit que la rémunération. Mais surtout, la reconnaissance personnelle est importante à la survie de l’espèce humaine, puisqu’il s’agit de la meilleure source d’énergie et d’enrichissement personnel.
Or, le manque de reconnaissance semble être un problème de plus en plus important. On assiste à la disparition de la reconnaissance personnelle dans notre société. Vous l’avez peut-être remarqué lorsque vous faites le tour des entreprises et des organisations.
1. La tendance de dépendance à l’égard de la technologie
La tendance à la dépendance à l’égard de la technologie est en hausse. Il y a une dizaine d’années, les gens dépendaient des téléphones mobiles. Puis, cela a été les ordinateurs portables. Aujourd’hui, c’est le smartphone et l’accès à Internet qui devient la technologie-dépendance numéro un. Cela entraîne des problèmes de baisse de motivation personnelle, de forte dépendance aux médias sociaux et de pertes de contacts humains et de relations interpersonnelles.
Avez-vous remarqué que ce sont les gens les plus jeunes qui sont les plus dépendants à l’égard de la technologie? Nous le voyons encore une fois avec la tendance des technologies mobiles. Les gens qui ont la cinquantaine et plus ne s’intéressent pas beaucoup aux technologies mobiles. Ceux qui sont dans la tranche des 25-35 ans, eux, adorent tout ce qui touche aux technologies mobiles.
Il y a beaucoup de risques associés à cette tendance. Et la plus grande probabilité est que vous finirez par être dépendant à l’égard de la technologie. En ce moment, c’est encore la tendance des technologies mobiles, mais il est probable que dans les dix prochaines années vous serez dépendant à l’égard de quelque chose de nouveau.
En général, la dépendance à l’égard de la technologie peut s’avérer être une bonne chose. Cela permet de se connecter à d’autres personnes et de travailler ou de rester à jour avec les informations. Mais si vous ne vous contrôlez pas, vous finirez par devenir dépendant et négliger les relations humaines avec les autres.
Dans l’article ci-dessous, vous découvrirez que la technologie peut être dangereuse, et que vous risquez de gâcher votre vie si elle est trop importante dans votre vie.
La société veut que vous soyez dépendant à l’égard de la technologie
C’est une tendance que vous pourriez remarquer avec l’expansion des technologies mobiles. Lorsque vous regardez la télévision, il y a de plus en plus de publicités pour des appareils mobiles. Dans les films, les écrans sont partout et les personnages ne peuvent pas se passer d’eux.
La technologie est partout. Les gens se sentent déconnectés lorsqu’ils ne sont pas connectés à leurs appareils.
Les gens ne savent pas comment interagir dans la vraie vie. Ils passent leur temps à regarder leur téléphone, écouter de la musique, et jouer à des jeux vidéo.
La technologie est devenue un substitut à la vraie vie. Les gens ne savent plus comment interagir entre eux. Ils passent leur temps à regarder leur téléphone, écouter de la musique, et jouer à des jeux vidéo. Ils ont besoin d’un substitut aux relations humaines.
La technologie peut être dangereuse pour votre santé
Il n’y a pas de doute que les appareils mobiles sont pratiques. Ils ont plus de bénéfices que de risques, mais ils peuvent aussi être dangereux pour votre santé.
En raison du fait que la plupart des gens utilisent leur téléphone portable comme un remplaçant, leur santé décline. Ils passent leur temps à regarder des vidéos, discuter avec leur famille et jouer à des jeux vidéo. Lorsqu’ils arrêtent de les utiliser, ils ont le sentiment d’être déconnectés.
Lorsque vous utilisez votre téléphone pendant des heures, vous êtes plus susceptible à ce que les ondes électromagnétiques affectent votre santé. La plupart des appareils mobiles fonctionnent via des ondes électromagnétiques. Elles peuvent altérer la sensibilité de vos cellules et causer des effets secondaires comme de l’hypersensibilité aux champs électriques et magnétiques, du stress et un sommeil perturbé.
Les appareils mobiles peuvent également affecter votre capacité à prendre des décisions et vous rendre moins coopératif. Ils interfèrent avec vos capacités sociales et créent des conflits entre vous et votre partenaire.
Comment protéger votre santé ?
Tout le monde veut utiliser son téléphone portable, mais il faut le faire avec un plan d’action. En suivant les instructions suivantes, vous pouvez réduire les risques de dommages à votre santé.
Utilisez des cas et des coques sur votre téléphone portable. Ces articles aident à absorber la chaleur causée par les ondes électromagnétiques, ce qui réduit l’impact de l’exposition. Les étuis et les coques protègent aussi votre téléphone d’autres types d’endommagement.
Utilisez un kit de recharge rapide. Les chargeurs portables plus rapides déchargent votre batterie plus rapidement, ce qui évite que vous la laissiez sur une charge longtemps, ce qui augmente le risque de surchauffe.
Utilisez une application qui évalue l’exposition aux champs magnétiques et électriques. Il existe quelques applications gratuites pour les téléphones portables qui vous permettent de surveiller vos appareils en temps réel.
Utilisez un casque ou des écouteurs avec un adaptateur sans fil. Les casques sans fil peuvent être utilisés pendant que vous téléphonez, mais ne sont pas toujours confortables à porter. Vous pouvez utiliser un adaptateur sans fil pour un casque audio à trois brins qui peut être utilisé avec des écouteurs.
Utilisez une autre technologie de communication comme le téléphone fixe ou le courriel pour les communications importantes. Les champs électromagnétiques peuvent créer des interférences sur votre voix lorsque vous téléphonez avec votre téléphone portable.
Utilisez un signal de portables faible ou éteignez le téléphone quand vous n’en avez pas besoin. Les champs électromagnétiques sont plus forts et plus nuisibles quand votre téléphone est allumé.
2. L’égoïsme peut se manifester envers soi-même, les autres et la nature.
L’égoïsme est une forme de conscience égocentrique. Il est la conviction que l’on est supérieur aux autres.
L’égoïsme découle de la peur d’être incompris et non désiré.
L’égoïsme peut se manifester par exemple par l’attitude de celui qui croyant qu’il sait mieux que les autres, a besoin de contrôler les autres, de les évaluer et de les juger.
- L’égoïsme est souvent inconscient.
- L’égoïsme se manifeste par une approche trop personnelle, qui peut être destructrice pour soi-même et les autres.
- L’égoïsme peut se manifester envers soi-même, les autres et la nature.
- L’égoïsme peut conduire à la dépendance et à l’incapacité d’être à l’écoute des autres.
- L’égoïsme est souvent associé à l’idée que l’on a plus besoin des autres que les autres n’en ont besoin de nous.
L’égoïsme est souvent associé à la peur de nous exposer, de nous montrer vulnérable et donc à l’isolement. De cette manière, on peut facilement tomber dans le perfectionnisme et dans le déni. On se sent menacé et on cherche à éviter le danger.
L’égoïsme est souvent ancré dans un déni de la vie, d’une partie de soi-même et des autres. Il est souvent associé à la mauvaise communication, à la peur de s’exprimer.
On constate aussi que l’égoïsme peut se manifester par une volonté de tout contrôler où dans le fait qu’on se sente obligé de répondre aux attentes des autres. Il peut être lié au fait que l’on se sent menacé ou que l’on a peur de la vie : peur d’être seul, peur de la liberté, peur de la mort.
L’égoïsme peut aussi être lié à une incapacité à être soi-même. On se protège de la vie en faisant semblant d’être quelqu’un d’autre : on est un pervers narcissique, un pervers égocentrique.
Il aussi peut être lié au fait que l’on se sent défaillant et peut être un moyen pour nous de fuir nos responsabilités.
Enfin, l’égoïsme est souvent associé à la mauvaise communication : on ne dit pas ce qu’on veut, on ne dit pas ce qu’on pense, on n’est pas respectueux de la sensibilité des autres.
L’égoïsme est souvent un obstacle au bonheur et à l’amour. L’amour peut en effet se définir comme « l’action d’aimer ». On peut le définir aussi comme la capacité à donner et à recevoir. L’amour est un processus, la capacité d’aimer est une évolution.
La personne égoïste a du mal à donner : elle n’est pas une bonne personne d’écoute, elle n’est pas capable de faire preuve de compassion, de tendresse et de générosité. Elle n’est pas non plus capable de recevoir : elle n’est pas capable d’accepter l’aide des autres, elle n’est pas à l’écoute de ses besoins, de ses limites, de ce qu’elle veut ou non.
« L’amour est une évolution »
Parlons maintenant du pervers narcissique. Nous en connaissons tous un dans notre entourage personnel ou professionnel.
Le pervers narcissique, en tant que personne qui a du mal à se reconnaître et à exprimer ses émotions, a du mal à donner et à recevoir. Il a du mal à se mettre au service des autres. Il n’a pas d’empathie ni de compassion. Il est incapable d’éprouver de la tendresse pour les autres. Il n’a pas la capacité de se mettre à leur place, d’imaginer ce qu’ils peuvent ressentir. Il est aussi incapable d’accueillir leurs besoins, leurs émotions, leurs carences.
Le pervers narcissique est un individu qui pense qu’il sait mieux que les autres et qui ne supporte pas d’être remis en cause. Il est incapable de prendre en compte les besoins des autres, il n’est pas humain, il est au-dessus de la norme. Il pense qu’il a toutes les réponses. Il n’est pas à l’écoute des autres, il ne les écoute pas. Il n’est pas capable d’accepter leurs limites, il est incapable de partager, il est jaloux et possessif. Il n’a pas de capacité d’empathie.
« Le pervers narcissique n’est pas un être humain, il est au-dessus des autres, il est supérieur à vous »
Le pervers narcissique ne peut pas aimer. Il a besoin de passer pour un être humain, pour avoir une image flatteuse. Il a besoin d’être aimé et admiré par les autres pour s’accomplir, pour être reconnu. Le pervers narcissique vit dans un monde imaginaire où tout est faux. Il ne ressent pas d’amour pour lui-même, il ne ressent pas d’amour pour les autres. Il ne peut pas aimer les femmes, il a besoin qu’elles l’aiment pour exister. Il se sent menacé si tu ne l’aimes pas. Il ne peut pas aimer son conjoint ou sa femme parce qu’il ressent de la haine.
Le pervers narcissique est incapable d’avoir des sentiments pour un être humain, il peut seulement avoir des sentiments pour lui-même.
« C’est un être humain en apparence »
3. L’individualisme : le nouveau fléau de la société actuelle
C’est le culte de la personnalité, l’idée que chaque individu est une entité séparée et a, donc, des droits individuels. La société est considérée comme une somme d’individus plutôt qu’un tout organique. Cette vision individualiste a créé une société où chacun, en prétendant être différent des autres, cherche à être reconnu comme un être parfait et unique. Le phénomène de l’individualisme est né avec la Révolution française.
Les lois du marché ont également contribué à l’individualisme et à la prétention des individus à être parfaits. L’estime de soi n’est plus liée au sacrifice, à l’effort et à l’abnégation. Elle est liée au dépassement de soi, aux exploits sportifs ou artistiques.
La psychologie contemporaine a également contribué à la diffusion de l’individualisme. En effet, la psychanalyse (d’après Freud) et les thérapies cognitives (d’après le cognitivisme) ont été centrées sur l’individu et ont donc contribué à affirmer sa souveraineté.
L’individualisme est devenu une valeur de la société et il a par conséquent affecté très négativement les relations humaines. Ainsi, l’égoïsme est devenu un mode de vie et le plaisir a pris le pas sur l’abnégation. Chacun estime que son épanouissement personnel est plus important que celui des autres. Il n’y a plus de vie commune, chacun est dans son monde et cherche à s’en sortir au mieux. Les relations humaines deviennent de plus en plus difficiles et les conflits se multiplient.
L’individualisme décadent : la solitude et l’absence de sens
L’individualisme a pu être fort utile dans le cadre d’une société qui cherche à rechercher le bonheur de chacun. Mais il est devenu une source de souffrance et de mal-être. Le fait de ne pas être accepté comme on est, de ne pas bénéficier de l’amour inconditionnel de ses parents, de ne pas pouvoir s’épanouir dans le couple ou la famille, de ne pas arriver à concilier les différents aspects de sa vie (professionnelle, familiale, sentimentale…) provoque un sentiment d’échec profond et une intense souffrance.
L’individualisme est un moteur puissant qui a conduit à une société de consommation et l’homme moderne est donc soumis à des désirs infinis. Il cherche toujours à réaliser des choses qui n’ont pas de sens pour lui, qu’il ne souhaite pas vraiment et qui ne sont pas dans son intérêt. Il se perd dans une forêt de possibilités infinies, qui en réalité ne sont que des illusions. De plus, l’homme a besoin de reconnaissance et d’amour. Il est en quête de sens et de sensibilité, il veut bâtir une relation épanouissante avec les autres, mais cela devient extrêmement difficile dans un monde où nous sommes de plus en plus seuls et déconnectés.
Notre société est faite pour satisfaire cette soif inextinguible d’être aimé, d’être reconnu par les autres, d’avoir un statut de manière à exister aux yeux des autres, de se sentir supérieur à eux, de se sentir dans leur bonne grâce, de s’élever au-dessus des autres.
Cependant, plus on cherche à être aimé, plus on finit par se retrouver seul, avec le sentiment de vivre dans un monde à part, de ne pas être compris des autres, de ne pas avoir de lien avec eux.
L’homme cherche l’amour, la reconnaissance et le statut, tout en étant rejeté par les autres. Il finit par se sentir abandonné et en quête d’un lieu où il puisse se retrouver dans son intégrité, parce qu’il ne peut pas vivre sans amour.
Les religions cherchent à combler cette soif d’être aimé en se réfugiant dans le Dieu unique. Il n’est pas difficile de comprendre que celui qui n’est pas aimé par les autres et qui ne se sent pas aimé par le Dieu unique, va chercher une autre solution pour combler ce manque : l’amour de soi.
C’est-à-dire que l’on cherche à aimer ce qui n’existe pas.
En réalité, on ne peut aimer que soi-même parce qu’on ne peut aimer que ce qui a été découvert .
On ne peut aimer que ce que l’on connaît, que ce qui fait partie de nous. On ne peut aimer que ce qui est en nous.
Et qu’est-ce qui est en nous ?
- C’est le divin, c’est la lumière.
- C’est la vérité, c’est la beauté.
- C’est le bien, c’est la paix, c’est la joie.
- C’est ce que nous sommes depuis toujours.
Qu’est-ce qui fait de nous des êtres humains ?
C’est notre humanité. C’est notre capacité d’aimer et d’être aimés. C’est notre capacité à sentir les autres, à ressentir leur souffrance, à comprendre leurs difficultés, à chercher à leur venir en aide, à les aimer avec amour et compassion.
Et si tout cela était possible ? Et si l’on pouvait vraiment vivre ce dont nous rêvons ?
C’est-à-dire, vivre en paix, aimer les autres, être aimé, se sentir aimé et savoir aimer ?
C’est possible.
- Il suffit de savoir faire la différence entre ce qui est en nous et ce qui n’est pas en nous.
- Il suffit de savoir distinguer ce qui est divin et ce qui ne l’est pas.
- Il suffit de savoir reconnaître notre humanité comme étant la vraie.
- Il suffit de savoir mettre en pratique le chemin de l’éveil intérieur qui nous permet d’accueillir le divin en nous, de le laisser s’exprimer et de le laisser agir.
“Je suis lumière, je suis divin. La paix, la joie et l’amour sont en moi.”
Source de l’article : www.formateur-web.io
Le digital outsourcing : le nouveau mode de travail dans les entreprises
L’outsourcing est un phénomène qui prend de plus en plus d’ampleur. Les entreprises n’hésitent plus à recourir à ce mode de gestion pour leurs activités, car il permet de réduire leurs frais tout en accélérant leur développement. Dans la même veine, un nouveau type d’outsourcing est apparu ces dernières années : le digital outsourcing. Ce dernier consiste à externaliser la création et l’exploitation d’un site web ou d’une application mobile à une agence spécialisée de production de contenus.
Le digital outsourcing consiste à confier la création ou l’entretien d’un site web ou d’une application à une agence spécialisée de production de contenus. Ce mode de gestion est apparu ces dernières années et semble répondre aux attentes des entreprises. En effet, tout comme ledigital marketing, le digital outsourcing permet de se développer de manière rapide tout en réduisant les frais.
Par exemple : pourquoi externaliser la création d’un site web ?
Le digital outsourcing est particulièrement intéressant pour les entreprises qui souhaitent se développer sur internet et élaborer une stratégie web efficace. En effet, l’entreprise ne dispose pas nécessairement des compétences nécessaires pour mettre en place un site web de qualité. L’agence de création de sites web possède des connaissances et des compétences en matière de développement web, d’ergonomie, de design et de marketing digital.
Le digital outsourcing permet de dégager du temps pour l’entreprise. En effet, la création d’un site web ou d’une application nécessite des compétences pointues, ce qui demande un temps et des ressources importantes. L’externalisation de la création d’un site web à une agence spécialisée permet à l’entreprise de se concentrer sur son activité principale.
1. Le digital et l’importance de l’apprentissage continu
Devenir un digital native, c’est-à-dire un individu qui bénéficie de l’accès à l’ensemble des équipements et à l’ensemble des services liés au digital, est un avantage considérable pour les entreprises. Il permet aux employés de maîtriser les nouvelles technologies et d’être ainsi plus efficaces dans leur travail. Il est nécessaire pour les employés de se former en continu afin de s’adapter aux nouveaux moyens de communication mis à la disposition des consommateurs.
Le digital est un secteur en plein essor qui a des retombées positives sur le pouvoir d’achat et qui augmente les marges des entreprises. En effet, le digital est présent dans tous les métiers et couvre toutes les étapes de la vie d’une entreprise : depuis sa communication jusqu’à ses ventes, en passant par sa stratégie digitale, sa formation, son service client et sa communication digitale.
L’environnement numérique est donc de plus en plus important dans l’exercice des activités économiques et ne pas s’y intéresser est une faute. Le digital peut être vu comme une opportunité pour la création d’emplois et la croissance. Il permet à une entreprise de se développer à l’international, d’être présente sur les réseaux sociaux, de rester proche de ses clients et de bénéficier d’une image positive.
2. Le digital et l’effectivité de la formation
Le digital se démocratise de plus en plus dans la formation. De plus en plus d’établissements scolaires comprennent l’importance du digital afin de permettre aux élèves d’avoir une formation qui leur soit utile dans la vie active. En effet, l’utilisation des nouvelles technologies sont indispensables pour les jeunes et adultes afin qu’ils puissent rester compétitifs dans un monde où le digital prend une place de plus en plus importante.
L’enseignement des métiers du digital est une des priorités de la formation professionnelle. Ce nouvel enjeu est important pour les jeunes qui désirent avoir une bonne insertion professionnelle. De plus, l’utilisation des nouvelles technologies est indispensable pour être compétitif dans le monde actuel.
La formation passe donc par l’utilisation des nouvelles technologies et pas seulement lors de cours. De plus, le digital permet aux élèves de s’exprimer de la même manière que les professionnels du secteur. Ainsi, grâce aux nouvelles technologies, les élèves vont pouvoir s’exprimer sur leur formation, créer et produire du contenu.
Le digital permet aussi un meilleur apprentissage. En effet, grâce à la réalité augmentée et à la 3D, les élèves vont être amenés à développer de nouvelles compétences afin de se sentir acteurs de leur formation. Les outils numériques favorisent l’apprentissage par l’expérimentation et l’immersion au sein d’un environnement virtuel.
Les élèves pourront ainsi acquérir de nouvelles compétences et acquérir une maîtrise de l’outil numérique.
Enfin, les outils numériques permettent une plus grande interaction entre les élèves, entre les enseignants et avec les partenaires de la formation.
Le digital dans la formation professionnelle
Les réformes en cours au sein de la formation professionnelle vont dans le sens de l’utilisation des nouvelles technologies .
Le décret du 26 juin 2016 dit « décret sur la formation professionnelle tout au long de la vie » prévoit, notamment, l’obligation pour les entreprises d’avoir un espace numérique de formation.
De plus, l’article 24 de la loi n° 2014-811 du 6 août 2014 relative à la formation professionnelle, à l’emploi et à la démocratie sociale prévoit que les Pôles de compétitivité doivent avoir recours aux technologies numériques en matière de formation, afin de maximiser l’efficacité des actions qu’ils mènent et de favoriser leur diffusion et leur appropriation par les entreprises, notamment par la création d’espaces numériques de formation.
Dans ce sens, l’Agence nationale pour la cohésion sociale et l’égalité des chances (Acsé), dans son programme de travail 2016-2017, a présenté un programme de travail sur les digital natives et la transformation numérique des métiers. La mise en place d’un groupe de travail thématique a permis d’identifier un certain nombre de problématiques, qui ont été examinées au cours d’ateliers organisés avec les représentants des acteurs concernés.
Pour répondre à ces enjeux, le groupe de travail a défini deux orientations stratégiques :
– l’hypothèse numérique : il s’agit de permettre aux entreprises d’intégrer les technologies numériques dans leurs pratiques quotidiennes. Cela implique que les entreprises soient sensibilisées à l’utilisation des outils numériques et que les acteurs de la formation et de l’insertion accompagnent leur déploiement dans les entreprises ;
– l’hypothèse des compétences : il s’agit de créer un cadre de concertation permettant aux différents acteurs de se rencontrer afin d’identifier et de mutualiser les évolutions professionnelles, en particulier celles liées à la transformation numérique. Ce cadre permettra d’adapter les parcours de formation en considérant la diversité des profils et des parcours des salariés.
Pour atteindre ces objectifs, le groupe de travail a défini un plan d’action en trois volets :
– le volet « déploiement des compétences » pour favoriser la diffusion des outils numériques et l’intégration des compétences numériques dans les parcours de formation ;
– le volet « mutualisation des évolutions professionnelles » pour améliorer les connaissances et l’information sur les évolutions professionnelles liées au numérique ;
– le volet « déploiement des compétences » pour favoriser la diffusion des outils numériques et l’intégration des compétences numériques dans les parcours de formation ; – le volet « mutualisation des évolutions professionnelles » pour améliorer les connaissances et l’information sur les évolutions professionnelles liées au numérique ; Le plan d’action présenté par le groupe de travail est structuré autour de trois axes :
– La mise en place de dispositifs d’accompagnement à la formation et à l’apprentissage pour permettre aux salariés de s’approprier les outils numériques.
– La mise en place d’une démarche d’amélioration continue des pratiques managériales et organisationnelles.
– La mise en place de dispositifs d’accompagnement à la formation et à l’apprentissage pour permettre aux salariés de s’approprier les outils numériques. – La mise en place d’une démarche d’amélioration continue des pratiques managériales et organisationnelles. Le groupe de travail a ainsi identifié plusieurs pistes d’actions :
– Mettre en place des dispositifs d’accompagnement à la formation et à l’apprentissage des salariés par l’intermédiaire de leurs représentants.
– Élaborer une charte de la formation numérique ouverte à tous les acteurs de l’entreprise.
– Encourager le déploiement d’outils numériques facilitant l’utilisation des outils numériques par les salariés.
– Engager une démarche d’amélioration continue des pratiques managériales et organisationnelles pour créer les conditions d’un apprentissage continu de la gestion de l’entreprise.
– Mettre en place des dispositifs d’accompagnement à la formation et à l’apprentissage des salariés par l’intermédiaire de leurs représentants. – Élaborer une charte de la formation numérique ouverte à tous les acteurs de l’entreprise. – Encourager le déploiement d’outils numériques facilitant l’utilisation des outils numériques par les salariés. – Engager une démarche d’amélioration continue des pratiques managériales et organisationnelles pour créer les conditions d’un apprentissage continu de la gestion de l’entreprise. Mettre en place des outils d’aide à l’orientation des jeunes sortant du système scolaire pour favoriser l’accès aux métiers du numérique.
– Mettre en place des dispositifs d’accompagnement à la formation et à l’apprentissage des salariés par l’intermédiaire de leurs représentants. – Élaborer une charte de la formation numérique ouverte à tous les acteurs de l’entreprise.
– Encourager le déploiement d’outils numériques facilitant l’utilisation des outils numériques par les salariés.
– Engager une démarche d’amélioration continue des pratiques managériales et organisationnelles pour créer les conditions d’un apprentissage continu de la gestion de l’entreprise. Mettre en place des outils d’aide à l’orientation des jeunes sortant dusystème scolaire pour favoriser l’accès aux métiers du numérique.
– Mettre en place des dispositifs d’accompagnement à la formation et à l’apprentissage des salariés par l’intermédiaire de leurs représentants.
3. Le digital et les entreprises : un enjeu de société
La loi pour une République numérique du 7 octobre 2016 pose le principe d’une éducation aux médias et à l’information du public dès le plus jeune âge. Dans ce cadre, les outils numériques doivent être mis au service de la transmission des savoirs par le biais de la découverte de contenus culturels et artistiques.
La mission a souhaité que les entreprises soient associées à cette démarche :
– Mettre en place des partenariats entre les acteurs économiques et les établissements scolaires pour promouvoir l’utilisation des outils numériques dans le cadre d’une offre éducative en ligne.
– Renforcer la sensibilisation des jeunes aux usages numériques et aux risques qu’ils présentent à l’aide des dispositifs de sensibilisation à la protection des données personnelles.
La sécurité au quotidien grâce au numérique
L’essor du numérique est aussi source d’innovation en matière de sécurité.
La mission a notamment été alertée par les nouvelles technologies, qui permettent de développer des outils aux avantages certains, mais qui doivent aussi faire l’objet d’une vigilance particulière.
Les nouveaux services de sécurité et de sûreté numériques, tels que les logiciels d’analyse des risques et de gestion de la sûreté, visent à améliorer la prise en compte des risques et à faciliter le travail des forces de l’ordre, des collectivités ou des entreprises. Mais ces nouveaux outils peuvent aussi faire l’objet d’abus. Ils doivent donc faire l’objet d’une réglementation adaptée, en particulier pour leur utilisation par des acteurs privés.
Les capteurs et les objets connectés sont aujourd’hui omniprésents. Ils permettent de collecter de grandes quantités de données, qui peuvent être utilisées pour améliorer la prévention des risques, mais qui peuvent aussi être exploitées à des fins de vol de données personnelles ou de dégradation des infrastructures publiques. La mission a donc recommandé la mise en place d’une régulation adaptée et d’un échange d’information entre l’État et les industriels pour s’assurer que les capteurs ne soient pas utilisés à des fins de surveillance du public, par exemple en matière de santé.
4. Le digital et lest métiers de la formation
La mission d’évaluation et de contrôle a étudié la question de l’impact du numérique sur la formation professionnelle et le maintien dans l’emploi des salariés. Elle a notamment constaté l’importance des métiers de la formation professionnelle. Ces métiers sont confrontés à un double enjeu : celui de la transformation digitale des entreprises et celui de la transformation des métiers eux-mêmes, à cause notamment du développement d’apprentissage par compétences.
L’accompagnement des entreprises dans leur transformation digitale passe par une meilleure visibilité des métiers de la formation professionnelle, mais aussi par l’adaptation de leurs formations. Une telle évolution est d’autant plus nécessaire que les besoins en compétences ont évolué : la digitalisation implique en effet de nouveaux profils de compétences, comme la maîtrise des logiciels d’intelligence artificielle et de reconnaissance vocale, ou encore les compétences numériques, indispensables pour faciliter le travail collaboratif.
Enfin, le développement d’apprentissage par compétences met en avant la nécessité de disposer de référentiels professionnels permettant de définir des profils de compétences et des qualifications correspondant aux besoins des entreprises.
5. Le digital et le travail à domicile
La digitalisation a également un impact sur les modes d’organisation du travail. En effet, à travers les technologies de l’information et de la communication, elle offre de nouvelles possibilités aux entreprises d’organiser leur activité, qui ont permis de transformer profondément les habitudes de travail des salariés. Ainsi, le travail à domicile s’est progressivement développé.
Dans le secteur privé, la part des salariés exerçant à domicile est passée de 7 % en 1995 à 13 % en 2015.
Dans le secteur public, la part des salariés exerçant à domicile est passée de 4 % en 1997 à 12 % en 2016. Cette augmentation du travail à domicile est liée aux possibilités offertes par la digitalisation : les salariés sont désormais plus autonomes, et peuvent travailler à partir de leur propre domicile, avec une légère réduction de leur temps de transport et de déplacement.
Le travail à domicile est aussi permis par l’évolution des modes de vie : les salariés passent de plus en plus de temps à la maison, et de moins en moins de temps au travail. Ainsi, le temps de travail dans les entreprises a diminué au cours des années 2000 : il est passé de 8 à 7 heures par jour en France, et de 7 à 6 heures par jour en Allemagne.
La crise sanitaire de ces deux dernières années a également favorisé le travail à domicile : de nombreux salariés préfèrent rester chez eux pour ne pas risquer d’être contaminés.
Le travail à domicile est aussi encouragé par les entreprises, qui cherchent à se réduire les coûts associés à la présence des salariés dans les bureaux. En effet, les salariés à domicile sont rémunérés comme des salariés de bureaux, bien que leurs conditions de travail soient différentes. Enfin, on peut supposer que les entreprises profitent de la flexibilité de leurs salariés et de leur facilité à être délocalisées.
Le travail à domicile présente des avantages pour les entreprises : ils permettent une meilleure gestion de l’emploi du temps, une réduction des frais de transport et de logement, une plus grande disponibilité des salariés, et également une économie de 30 % sur les charges sociales.
Malgré ces avantages pour les entreprises, le travail à domicile est peu répandu, notamment à cause d’une culture du travail en collectif. De plus, les travailleurs sont souvent considérés comme des moins que rien par leur hiérarchie.
Conclusion sur le digital et nos méthodes de travail et de formation
Aujourd’hui, on voit que les entreprises doivent s’intéresser de près à la formation des employés. Cette dernière permet de les amener vers des méthodes de travail modernes et souvent plus efficaces. Il est donc nécessaire de former les employés à l’utilisation du digital. Pour cela, on leur apprend à se servir du PC, du smartphone ainsi que d’Internet. Ces outils permettent non seulement d’améliorer la productivité, mais aussi de renforcer la communication entre les collaborateurs.
Le digital est donc un moyen pour les entreprises de se démarquer. Cependant, de nombreuses entreprises sont toujours réticentes à intégrer ces nouvelles technologies dans leur quotidien. Cela est très souvent dû à une culture du travail en collectif. Il est donc important pour les dirigeants et les salariés de prendre conscience que le numérique est indispensable pour le développement des entreprises.
Aujourd’hui, les nouveaux modes de travail et de formation nécessitent de nouvelles méthodes de gestion. La flexibilité d’horaires, la présence permanente sur le lieu de travail, le travail à distance ont en effet un impact important sur le management des salariés. En effet, la confiance et les relations humaines, dont il est démontré qu’elles jouent un rôle important dans le développement et la motivation du personnel, sont fortement impactées par ces nouveaux modes de travail.
Source de l’article : www.instants-web-formation.fr
La loi du plus fort a-t-elle encore sa place dans l’entreprise ?
La loi du plus fort a-t-elle encore sa place dans l’entreprise? C’est la question que beaucoup se posent. L’autoritarisme est-il toujours efficace? Faut-il donner du pouvoir à tous et quid de la responsabilisation? Être à la tête d’une entreprise implique de prendre des décisions et de les assumer. Mais aujourd’hui, la situation est plutôt confuse. Les salariés ont gagné beaucoup d’indépendance et il est difficile de savoir comment les motiver.
Pourquoi un tel désordre?
En 1990, le PDG de la société de calcul informatique Hewlett-Packard, Lew Platt a déclaré : « Nous sommes un groupe de 35 000 employés. Il n’y a aucun système pour nous dire qui nous sommes et ce que nous faisons. » Selon lui, il s’agit d’une entreprise sans entreprise! Autrement dit, le concept de l’ « entreprise » avait changé. Les salariés ne sont plus reliés à un chef mais plutôt à une direction.
Le résultat, c’est que les employés ne dépendent pas d’un patron qui décide à leur place. Ils n’ont plus à faire ce qu’on leur ordonne. Ils sont en mesure de prendre leur propre décision et d’agir selon leurs intuitions et leurs propres priorités. En d’autres termes, ils sont devenus des entrepreneurs.
Aujourd’hui, le mot « entreprise » a une autre signification. Il désigne un groupe d’individus qui ont des objectifs et qui s’organisent pour les atteindre.
1. Les forces en présence
L’entreprise est le résultat d’un certain nombre de forces que vous pouvez classer en quatre catégories :
les forces de production,
les forces de vente,
les forces de marketing,
et les forces politiques.
Les forces de production
Elles englobent l’ensemble des activités qui permettent au groupe d’atteindre ses buts. Elles comprennent tout ce qui est nécessaire à la fabrication et à la vente des produits. Par exemple, les forces de production incluent toutes les ressources nécessaires à la production, y compris les machines, les matières premières, l’équipement et les sites de production. Elles englobent aussi le personnel qui travaille pour le compte de l’entreprise, y compris les ouvriers, les techniciens, les ingénieurs et les dirigeants.
Les forces de vente
Elles comprennent l’ensemble des activités qui permettent de vendre les produits. Le groupe doit trouver des clients pour acheter ses produits.Il doit également disposer d’un système de vente et d’un personnel de vente pour vendre les produits.
Les forces de marketing
Elles comprennent l’ensemble des activités qui permettent d’accroître la demande pour les produits, qu’il s’agisse de la publicité, d’initiatives marketing, d’une stratégie promotionnelle ou de relations publiques. Les forces de marketing permettent à l’entreprise de faire connaître ses produits.
Les forces politiques
Elles comprennent l’ensemble des activités qui permettent d’influencer les décisions politiques afin d’obtenir un avantage concurrentiel. Par exemple, le groupe peut demander des mesures fiscales favorables ou s’assurer que ses produits sont bien référencés par les pouvoirs publics.
Les forces de la technologie
Elles comprennent l’ensemble des activités qui permettent de développer les technologies nécessaires à la production et à la vente des produits. Par exemple, le groupe peut développer une technologie nouvelle pour ses produits.
Les forces de la communication
Elles comprennent l’ensemble des activités qui permettent d’informer et de persuader les consommateurs. Le groupe peut communiquer via des supports publicitaires, des médias, des relations publiques et des relations avec les clients.
Les forces de l’environnement
Elles comprennent l’ensemble des facteurs externes qui influencent les décisions de l’entreprise et son environnement. Par exemple, le groupe peut développer une stratégie de communication pour ses produits lorsque le prix du pétrole augmente.
Les forces mixtes
Elles incluent les trois groupes précédents. Par exemple, le groupe peut développer une nouvelle technologie de production lorsque sa politique commerciale lui permet de vendre des produits dans un pays émergent.
2. La loi du plus fort: je gagne, tu perds
La loi du plus fort est un fonctionnement simple. Elle s’appuie sur les trois principes suivants:
L’élimination de la concurrence. Elle passe par la mise en place de règles destinées à favoriser l’une des parties, et par l’interdiction de certains comportements. L’un des objectifs est d’empêcher le développement d’une concurrence dommageable pour l’entreprise.
La concentration des ressources. Il s’agit d’obtenir les ressources matérielles et humaines nécessaires pour exercer sa domination.
L’allocation des ressources. Il s’agit de définir les tâches et les critères de répartition des ressources entre les différentes parties.
Les deux premiers points visent à assurer la domination de l’entreprise sur le marché, et le troisième à définir les règles du jeu.
Le modèle des quatre forces a été amélioré par celui des cinq forces d’approche, qui en fait un outil plus puissant. Il met en évidence cinq forces de réalité:
La force de l’offre. Elle correspond à la quantité d’offre sur le marché et à son évolution. Cette force est déterminée par les facteurs de production, c’est-à-dire les ressources matérielles et humaines nécessaires pour produire un bien ou un service.
La force de la demande. Elle correspond à la quantité de demande sur le marché et à son évolution. Cette force est déterminée par les facteurs de la demande, c’est-à-dire la capacité d’un consommateur à réaliser ses besoins.
La force concurrentielle. Elle correspond au nombre d’entreprises sur le marché et à leur évolution. Cette force est déterminée par l’environnement, c’est-à-dire les autres entreprises sur le marché.
La force des partenaires externes. Elle correspond à la quantité et à l’évolution des partenaires externes (partenaires commerciaux, fournisseurs, prestataires de services, fournisseurs de ressources, etc.). Cette force est déterminée par l’environnement, c’est-à-dire les autres entreprises dans la chaîne de valeur.
La force des concurrents. Elle correspond au nombre et à l’évolution des concurrents sur le marché. Cette force est déterminée par l’environnement, c’est-à-dire les autres entreprises sur le marché.
3. Travailler en équipe pour identifier et résoudre les problèmes
Identifier et résoudre les problèmes est une étape cruciale de la planification stratégique. En effet, il est essentiel de prendre des décisions fondées sur des faits et non pas sur des hypothèses. Il s’agit d’un processus important, car vous devez identifier vos problèmes stratégiques pour pouvoir les résoudre.
Pour identifier vos problèmes, vous devez d’abord savoir quoi faire (votre stratégie ) et comment le faire (vos plans d’action), avant de pouvoir déterminer qui fait quoi.
Le processus de résolution des problèmes stratégiques se décompose en quatre étapes :
- Identifier les problèmes stratégiques.
- Faire une analyse et établir une liste des problèmes.
- Définir les priorités.
- Résoudre les problèmes stratégiques.
La première étape consiste à identifier les problèmes stratégiques et à les classer par ordre de priorité. La question à se poser est : « Quels sont les problèmes qui m’empêchent de réaliser ma stratégie et de réaliser mes plans d’action ? »
Chacun des problèmes doit ensuite être analysé pour déterminer la cause du problème, c’est-à-dire pourquoi il existe. Il faut recueillir des informations auprès de tous les intervenants de l’entreprise, comme les employés, les fournisseurs, les clients et les concurrents. Ensuite, il faut analyser ces informations, en dresser la liste et identifier les facteurs clés.
Les problèmes doivent être classés par ordre de priorité en fonction des facteurs clés. La priorité doit refléter la gravité du problème et la possibilité de solutionner le problème à court terme.
L’analyse des facteurs clés peut inclure également l’analyse de la situation concurrentielle : qui sont les concurrents, quels sont leurs objectifs et quelles sont leurs stratégies ?
Puis, les problèmes doivent être classés par ordre de priorité en fonction des facteurs clés. La priorité doit refléter la gravité du problème et la possibilité de solutionner le problème à court terme.
Dans une société multinationale, les problèmes peuvent être différents d’un pays à l’autre et il faut se demander si ces problèmes peuvent être réglés par des actions locales ou s’il faut une action globale.
Les problèmes doivent être classés par ordre de priorité en fonction des facteurs clés.
La priorité doit refléter la gravité du problème et la possibilité de solutionner le problème à court terme.
4. Faire équipe pour réussir
L’équipe d’analystes est un moyen de réaliser les projets qui nécessitent plusieurs personnes pour travailler en parallèle sur un projet spécifique.
L’équipe d’analystes peut être définie comme les différents groupes de personnes qui travaillent ensemble pour réaliser un projet spécifique ou un certain nombre de projets.
Les équipes d’analystes peuvent être constituées dans le cadre d’un projet, d’une sous-activité ou d’une activité. Les équipes d’analystes peuvent être utilisées de différentes façons. Par exemple, elles peuvent être utilisées pour effectuer des analyses, étudier des problèmes ou développer des solutions. L’équipe peut également être utilisée pour réaliser les tâches spécifiques qui sont requises par un projet ou une activité.
Les équipes d’analystes peuvent être utilisées pour effectuer des analyses pour divers types de projets, y compris ceux qui sont liés à l’amélioration de l’efficacité et de l’efficience opérationnelle, ceux qui sont liés à la gestion du changement ou ceux qui sont liés au développement. Les tâches de développement d’une équipe d’analystes peuvent inclure la réalisation des analyses.
5. Le travail d’équipe
Il commence par la réalisation d’un diagnostic à l’égard des besoins de l’entreprise. Ses objectifs sont établis par l’analyste ou le chef d’équipe et ses membres. Ils permettent de déterminer les personnes qui seront nécessaires à la réalisation des différentes étapes de l’analyse, et les ressources dont elles auront besoin.
De nombreuses études ont démontré que la collaboration avec un chef d’équipe engendrait un engagement accru, une motivation plus grande et des résultats plus positifs.
6. L’importance du rôle du leader
Le rôle du leader dans une équipe est de guider et d’encadrer le travail de l’équipe. Il (elle) doit fournir des retours d’information et encourager le partage des idées. Il (elle) doit aussi s’assurer que les membres ont les connaissances et les compétences nécessaires pour réaliser la démarche qui leur est assignée. Il (elle) doit aussi accompagner les membres de l’équipe dans leurs démarches de recherche et de réflexion. Enfin, il (elle) doit fournir un appui moral et aider les membres à surmonter les difficultés auxquelles ils peuvent être confrontés.
Source de l’article : www.instants-web.fr
La théorie de Karpman et son influence sur nos comportements
La théorie de Karpman est basée sur les comportements humains. Ceux-ci sont déterminés par une chaîne d’événements qui s’engrenent les uns les autres. Ce processus est appelé «mouvement cyclique des victimes et des sauveurs». Dans cette chaîne, le rôle de la victime est habituellement incarné par le patient, celui du sauveur par le médecin.
Pour comprendre le processus en chaîne, il est nécessaire de bien comprendre les rôles et les fonctions que chacun de ces intervenants joue dans le processus.
1. Comment utiliser la théorie de Karpman ?
Le thérapeute peut utiliser la théorie de Karpman comme un outil d’observation, permettant d’identifier le rôle joué par chaque intervenant dans le processus. Cet outil permet également de déterminer si le rôle joué par chaque intervenant est adapté à la situation (si les rôles sont conformes à la réalité).
Le thérapeute peut aussi utiliser cet outil pour comprendre les mécanismes de ses patients. En effet, cette théorie permet de mieux comprendre pourquoi les patients se comportent de la sorte.
Enfin, cet outil permet de prévoir les réactions des patients quant à l’intervention du thérapeute (ou du sauveur).
Les différents protagonistes et leurs fonctions sont les suivants :
Le patient : qui représente la personne qui a besoin d’être sauvée. Le patient a un problème. C’est également lui qui a recours au guérisseur .
Le sauveur : qui représente la personne qui va intervenir pour aider le patient. C’est également lui qui va prendre en charge le problème du patient.
Le persécuteur: qui représente la personne qui est responsable de la situation du patient. Le persécuteur est généralement une personne très puissante, et qui peut avoir une grande influence sur le patient.
La victime : qui représente le problème du patient. La victime peut être un objet (comme un chien), ou une personne (comme son ennemi).
Les amis : qui représentent les aides du sauveur. Ils sont très proches de lui, et ils vont l’aider dans sa mission de sauvetage.
L’ennemi : qui représente les obstacles à la mission du sauveur . En général, le patient va devenir l’ennemi du sauveur, car il ne veut pas être guéri. Les amis peuvent aussi être vus comme des ennemis.
La mère du patient : qui représente la personne qui a donné la vie au patient.
3. Les conséquences de la théorie de Karpman
L’application de la théorie de Karpman a eu une influence décisive dans la thérapie comportementale. Les interventions basées sur la théorie des jeux ont été créées, et ont été utilisées pour aider des patients présentant différents types de problèmes.
La thérapie systémique a également été influencée par cette théorie. Elle est très proche de la thérapie comportementale, mais elle prend en compte la dynamique du groupe , et d’autres facteurs qui ne sont pas pris en compte par la thérapie comportementale.
L’application de la théorie de Karpman est très largement utilisée en thérapie familiale, et elle est aussi utilisée dans la thérapie individuelle.
4. L’impact de la théorie de Karpman sur nos comportements
La théorie de Karpman a eu une influence sur la psychologie, et sur la psychothérapie, mais elle a aussi eu une influence sur notre vie quotidienne. Comme toutes les théories, elle a ses conséquences positives et négatives.
Les conséquences positives de la théorie de Karpman
La théorie de Karpman est utilisée dans la thérapie comportementale, et dans bien d’autres disciplines. Elle est très utilisée en psychologie, en psychiatrie,en éducation, en hypnose, en thérapie systémique, et bien d’autres encore.
La théorie de Karpman est utilisée pour nous aider à comprendre la dynamique du groupe, et elle nous aide à savoir comment réagir face aux situations difficiles qui se présentent à nous. Elle nous permet aussi de savoir ce qu’il est possible d’attendre de la réaction d’un groupe ou d’une personne.
Les conséquences négatives de la théorie de Karpman
- La théorie de Karpman est utilisée dans les aventures des super héros ou dans les films d’horreur.
- Elle est utilisée pour faire peur aux gens, pour faire croire aux gens que les autres sont mauvais, et qu’il vaut mieux rester à l’écart.
- Elle est utilisée dans la littérature de science fiction.
- Elle est utilisée dans la littérature et la philosophie pour poser le problème du bien et du mal.
La théorie de Karpman est utilisée dans beaucoup d’autres domaines.
La théorie de Karpman est utilisée pour montrer que les gens sont mauvais, qu’ils vont réagir en fonction de leurs besoins, et que cela va entraîner des conséquences négatives. C’est un peu comme si la théorie de Karpman exprimait le problème du bien et du mal.
La théorie de Karpman nous dit qu’il vaut mieux ne pas avoir de relations avec les autres. Ainsi, nous ne risquons pas de nous faire trahir, mais aussi de ne pas connaître la trahison d’autrui.
Ainsi, nous n’aurons pas d’expériences négatives.
La théorie de Karpman nous dit qu’il vaut mieux être un héros, mais elle nous montre aussi que cela peut être difficile ou qu’il y a des risques de se faire trahir.
Dans la théorie de Karpman, il est possible de tenir les rôles de victime, de héros et de manipulateur. La victime peut être une personne ou un pays, le héros peut être une personne ou un pays, et le manipulateur peut être une personne ou un pays.
Conclusion sur la triangle de Karpman
La théorie de Karpman est très utile pour comprendre les relations humaines. Elle nous montre que les êtres humains sont similaires et différents.
En même temps, elle nous montre que nous faisons des choses similaires et différentes.
Elle nous montre aussi la possibilité de choisir nos comportements. Nous pouvons choisir d’être victime, héros ou manipulateur. Nous pouvons aussi choisir de changer de rôle.
Dans notre vie, il y a beaucoup de relations. Il y a des relations avec les autres êtres humains, des relations avec la nature, des relations avec les objets.
Nous avons besoin de comprendre les relations entre les êtres humains, entre les êtres humains et la nature, et entre les êtres humains et les objets. C’est pour cela que la théorie de Karpman est utile.
Nous avons beaucoup d’expériences différentes dans notre vie. Il y a des expériences positives et négatives. Nous pouvons utiliser ces expériences pour progresser dans notre vie.
Nous avons besoin de comprendre les relations entre les êtres humains, entre les êtres humains et la nature, et entre les êtres humains et les objets.
C’est pour cela que la théorie de Karpman est utile.
Les techniques pour des prises de notes efficaces et facile à relire.
Les notes que vous prenez vous aident à synthétiser et à structurer le contenu d’un cours, d’une conférence, d’un livre ou d’un article. Et elles vous permettent de mieux y réfléchir et de mieux le comprendre. Si vous faites des efforts pour bien prendre vos notes, vous aurez beaucoup plus de facilité à vous en souvenir et votre réflexion sur le sujet sera plus élaborée.
Mais il existe très peu d’études scientifiques sur la meilleure façon de prendre des notes, et les théories que vous trouverez dans les ouvrages de vulgarisation sont souvent erronées ou trop générales. Et même si vous essayez d’appliquer les conseils qu’on vous donne, ce qui est assez fréquent, il est possible que vous n’obteniez pas les résultats escomptés.
1. Utiliser des notes de synthèse
Elles vous permettent de mieux comprendre et de mieux retenir le contenu d’un cours ou d’un document.
Qui plus est, partout où vous allez, les notes sont imprimées sur un format standard, qui varie peu d’un pays à l’autre. Ce format ne vous offre pas beaucoup de possibilités pour acquérir de la flexibilité dans la manière dont vous prenez vos notes, ce que vous pourriez avoir besoin si votre situation change.
Vous pouvez commencer à prendre des notes plus tôt. Cela vous permettra de gagner du temps pendant l’examen et d’avoir plus de temps pour réviser.
Pourquoi ne pas essayer ?
C’est l’une des méthodes les plus simples pour apprendre et c’est ce que font la plupart des enfants.
Lorsque vous êtes en train de lire un livre ou un document, soulignez à la fois les passages importants et les phrases qui vous semblent importantes. Vous n’avez pas besoin de noter les détails dans un document et de toute façon, vous n’y arriverez pas. Notez juste les idées principales.
Quand vous lisez, vous pouvez aussi prendre des notes sur une feuille de papier. Notez le livre ou le cours que vous êtes en train de lire et la page où se trouvent les informations dont vous avez besoin.
Ainsi, lorsque vous prenez le temps de lire une nouvelle fois, vous pouvez trouver les passages importants et les réécrire sur votre feuille de notes.
Cette méthode est très simple et peut être utile pour les gens qui ont des difficultés à lire beaucoup plus rapidement ou à retenir ce qu’ils ont lu.
Si vous avez la capacité de lire rapidement et que vous aimez noter tout ce que vous lisez, cette méthode ne vous sera pas d’une grande utilité.
Méthode de lecture rapide
Vous pouvez apprendre à lire beaucoup plus rapidement. Cela peut vous prendre du temps, mais si vous le faites, vous pouvez gagner énormément de temps en lisant plusieurs livres, des magazines et des documents dans la journée. Les gens qui utilisent la méthode de lecture rapide peuvent lire un livre dans la journée.
Cette méthode n’est pas pour tout le monde. Beaucoup de gens ne veulent pas passer du temps à apprendre à lire beaucoup plus rapidement. Cependant, si vous lisez beaucoup et que vous préférez apprendre à lire beaucoup plus rapidement, vous devriez essayer la méthode de lecture rapide.
Cette méthode est différente de la méthode de lecture lente qui consiste à apprendre à lire plus lentement.
Vous allez apprendre les techniques qui vous aideront à apprendre à lire beaucoup plus rapidement.
Lorsque vous commencez, vous allez lire le manuel de la méthode de lecture rapide. Cela vous fournira la liste des caractéristiques de la méthode de lecture rapide. Vous allez les lire et vous verrez qu’il y a beaucoup de choses à apprendre.
Si vous lisez la liste des caractéristiques de la méthode de lecture rapide, vous serez découragé.
Cependant, si vous regardez toutes les informations qui sont dans le manuel, vous allez voir que ce n’est pas si difficile que ça. La plupart des gens ne sont pas découragés par les listes de caractéristiques de la méthode de lecture rapide. C’est beaucoup plus volumineux que la méthode de lecture lente.
La méthode de lecture rapide est composée de plusieurs techniques et de stratégies que vous allez apprendre à utiliser pour lire beaucoup plus rapidement.
Vous allez apprendre comment lire à des vitesses élevées sans effort.
Vous allez apprendre à utiliser votre mémoire visuelle pour lire beaucoup plus rapidement.
2. La feuille de route
Vous allez apprendre environ 12 techniques et stratégies pour lire la plus rapidement possible.
Lorsque vous commencez à lire le manuel, vous allez voir que ces techniques et stratégies sont encore plus compliquées et difficiles que la méthode de lecture lente.
Vous allez vouloir abandonner. Mais, vous ne le ferez pas, parce que vous savez que vous allez apprendre à lire beaucoup plus rapidement. En outre, vous serez fier d’apprendre à lire plus vite.
Au début, il va vous falloir du temps pour apprendre ces techniques et stratégies.
Si vous n’arrivez pas à appliquer correctement les techniques et stratégies, vous allez continuer à lire lentement. C’est pourquoi il est important d’être patient et d’observer attentivement les instructions. Parce que si vous ne lisez pas une technique ou une stratégie correctement, il y a de fortes chances que vous lisiez lentement.
Une fois que vous avez compris la technique ou la stratégie, vous allez la répéter encore et encore, jusqu’à ce que vous l’ayez faite parfaitement.
Ensuite, vous allez appliquer cette technique ou cette stratégie lorsque vous lisez un livre.
Vous allez peut-être avoir besoin d’utiliser plusieurs techniques et stratégies pour lire facilement, mais cela va vous prendre moins de temps pour apprendre à lire beaucoup plus vite.
Pourquoi ?
Parce que vous allez appliquer des techniques et des stratégies que vous avez déjà apprises et maîtrisées.
Dans les prochains temps, vous allez apprendre beaucoup d’autres techniques et stratégies. Vous allez pouvoir les appliquer facilement, parce que vous aurez déjà appris à lire de manière rapide.
Vous êtes prêt à commencer votre formation pour lire plus vite?
3. Les mots clés
Vous pouvez apprendre à lire beaucoup plus rapidement en retenant des mots-clés. N’essayez pas de lire chaque mot dans un livre. Utilisez les mots-clés pour rechercher les passages importants.
Pourquoi ?
Parce que vous avez besoin de temps pour retenir les mots-clés et relire le livre plus tard.
Lorsque vous essayez de lire un livre, vous pouvez vous concentrer sur les mots-clés. Vous pouvez retenir ces mots-clés dans votre mémoire visuelle.
Lorsque vous relirez le livre, vous savez déjà que les passages importants se trouvent dans les passages qui contiennent ces mots-clés.
Au fil du temps, vous allez apprendre beaucoup de mots-clés.
Vous n’aurez pas besoin de lire chaque mot dans le livre pour retenir les passages importants.
Vous pouvez vous concentrer sur les mots-clés et vous concentrez sur les phrases et les paragraphes qui contiennent ces mots-clés.
Vous pouvez également apprendre à lire de manière plus rapide en lisant des livres courts.
4. Le clustering consiste à réunir des mots en groupes pour les retenir plus facilement.
Pourquoi ?
Parce que le clustering vous aide à retenir des mots importants.
Lorsque vous lisez un livre, vous pouvez retenir les mots-clés d’un passage. Vous pouvez laisser ces mots-clés sur votre bureau et les regarder dans la journée.
En regardant ces mots-clés dans la journée, vous pouvez retenir la phrase ou le paragraphe qui contient ces mots-clés.
Vous retenez le passage parce que vous avez réussi à retenir les mots importants.
Lorsque vous relirez le livre, vous pouvez retenir les passages importants grâce aux mots-clés.
Comment faire du clustering ?
Pour faire du clustering sur un livre, vous pouvez :
- Prendre le livre et placer les mots-clés sur votre bureau.
- Prendre un morceau de papier et écrire les mots-clés.
- Gardez les mots-clés sur votre bureau pour regarder dans la journée.
- Vous pouvez retenir le passage parce que vous avez réussi à retenir les mots importants.
- Vous pouvez ensuite relire le livre plus rapidement si vous connaissez les passages importants .
Si vous n’avez pas de livre à lire, prenez un article dans un journal ou une brochure et faites du clustering.
Pour chaque phrase, mettez les mots-clés sur un bout de papier. Lorsque vous faites ça, vous retenez les phrases plus efficacement.
Lorsque vous relirez le livre, vous pouvez retenir les passages importants grâce aux mots-clés.
Vous pouvez aussi faire du clustering sur une conversation enregistrée. Vous pouvez écouter la conversation et mettre les mots-clés sur un bout de papier.
Lorsque vous relirez la conversation, vous pouvez retenir les phrases importantes grâce aux mots-clés.
Comment faire du clustering ?
Pour faire du clustering sur une conversation enregistrée, vous pouvez :
- Prendre la conversation et placer les mots-clés sur votre bureau.
- Prendre un morceau de papier et écrire les mots-clés.
- Gardez les mots-clés sur votre bureau pour regarder dans la journée.
Vous pouvez aussi :
- Écouter la conversation et prendre une feuille de papier.
- Mettez les mots-clés sur la feuille de papier et entourez-les.
- Vous pouvez faire du clustering sur un livre ou un article en écrivant les mots-clés sur un bout de papier.
5. Les mind-maps
sont des cartes mentales qui sont très utiles pour les écrivains. Les mind-maps vous permettent de créer des cartes mentales, ce qui peut vous aider à retenir les contenus que vous lisez.
Pour faire une mind-map, vous pouvez utiliser :
- Un logiciel comme XMind ou Freemind,
- Un logiciel de traitement de texte comme LaTex,
- Votre propre système, comme un tableau blanc ou un cahier.
Ce qui est intéressant avec les mind-maps, c’est que vous pouvez générer des idées pour des scénarios, des personnages et d’autres éléments de l’histoire en utilisant votre carte mentale. De plus, vous pouvez aussi faire des mind-maps sur la structure de votre livre.
Comment faire une Mind Map ?
Pour créer une Mind Map, vous pouvez :
- Prendre un tableau blanc, une feuille de papier ou un document texte.
- Le placer en haut à gauche de votre document.
- Créer des branches qui vont partager votre carte mentale en sections.
- Créer des nœuds sur les branches.
- Écrire vos idées dans les nœuds au fur et à mesure que vous les avez.
Souvent, vous pouvez utiliser plusieurs couleurs pour donner un sens à chaque idée que vous avez écrite. Par exemple, vous pouvez utiliser une couleur pour les idées que vous souhaitez garder, une autre couleur pour les idées qui sont juste des idées et une autre couleur pour des idées que vous souhaitez enlever ou éliminer.
Il est important de ne pas se précipiter pendant la création de votre carte mentale. Votre carte mentale doit ressembler à l’histoire que vous souhaitez écrire. Il ne faut pas oublier que vous n’êtes pas obligé de construire une carte mentale complète en une seule fois. Vous pouvez aussi générer des idées, des nœuds et des branches à partir d’une autre carte mentale.
Comment utiliser une Mind Map ?
Les Mind Maps peuvent servir à faire une carte mentale de vos idées. Si vous avez besoin de créer une carte mentale simplement pour exposer votre thème principal, vous pouvez utiliser le principe de la Mind Map dans un tableau blanc pour créer votre carte mentale. Ainsi, vous pouvez réfléchir à ce que vous voulez dire et écrire les idées directement dans le tableau blanc.
Les Mind Maps peuvent être créées sur un papier, mais la plupart des gens utilisent des outils informatiques pour créer leur carte mentale. Il existe plusieurs logiciels qui peuvent vous aider à créer une carte mentale. Les trois logiciels les plus courants sont les suivants : XMind, FreeMind et CmapTools. Si vous souhaitez utiliser un logiciel gratuit, vous pouvez essayer XMind, qui est un logiciel libre.
À l’aide de ces outils informatiques, vous pouvez créer une carte mentale simplement en indiquant les nœuds et leurs branches. Vous pouvez aussi modifier la taille des nœuds et leurs couleurs. Les Mind Maps peuvent également être enrichies en utilisant des images et des éléments visuels. Par exemple, si vous voulez citer un livre ou un site web, vous pouvez ajouter l’image du livre ou du site web lorsque vous ajoutez un nœud.
Conclusion sur la prise de note
La prise de note est une étape très importante dans la réalisation de tout travail scolaire ou professionnel. C’est une étape cruciale pour laquelle vous devez être très organisé. Si vous êtes organisé, vous serez à même de travailler rapidement et efficacement. Si vous ne prenez pas de notes, vous passerez beaucoup plus de temps à réfléchir et à faire des recherches pour retrouver les informations dont vous avez besoin pour votre travail.
De plus, si vous ne prenez pas de notes, vous aurez des difficultés à retrouver et à organiser les informations que vous avez besoin. Vous pouvez utiliser une méthode de prise de note qui vous convient le mieux, mais il est absolument essentiel que vous preniez des notes lorsque vous êtes à la bibliothèque, à la salle d’étude ou au bureau.
Source du bureau : www.instants-web-learning.fr