Le green IT devient une condition sine qua non à l’épanouissement d’une entreprise.
Le green IT est devenu une priorité pour toutes les entreprises, qu’il s’agisse d’une PME ou d’un grand groupe. Il faut dire que les chiffres parlent d’eux-mêmes : en effet, le volume des données consommées dans le monde a été multiplié par dix en seulement 2 ans ! Les entreprises qui ne savent plus quoi faire pour gérer ces données consommeront d’ici 2023 l’équivalent de toute la consommation électrique des États-Unis ! Il faut donc se tourner vers une meilleure gestion de ses ressources, et le green IT est le moyen d’y parvenir.1. Le green IT
Le premier argument en faveur du green IT est économique : en adoptant un système d’exploitation compatible avec les logiciels libres, vous pouvez réaliser jusqu’à 50 % d’économies d’énergie par rapport à un système d’exploitation classique ! Le green IT est aussi une aide précieuse pour les entreprises qui recherchent de nouveaux débouchés : en investissant dans un système compatible avec les logiciels libres, elles favorisent la création de nouvelles entreprises, car l’utilisation des logiciels libres donne accès à une large communauté d’utilisateurs. Enfin, le green IT permet aux entreprises d’accélérer leur croissance : en réduisant les coûts, en réduisant la dépendance à la technologie et en augmentant la collaboration, il libère des ressources financières et humaines pour d’autres projets. Avec le green IT, les entreprises peuvent attaquer un marché de plus de 500 milliards de dollars ! Leurs concurrents sont déjà en train de le faire : HP, IBM et Cisco sont aujourd’hui alliés à des sociétés telles que Red Hat, OpenOffice.org et MySQL. Les entreprises qui ne sauront pas profiter de cette économie d’énergie et de matière première vont devoir vendre à perte, en abandonnant leur rôle de premier plan sur le marché.2. L’importance du green IT
Le green IT n’est pas un mythe : il est déjà partout, même si vous ne le voyez pas. Il est dans la génération d’énergie éolienne en remplaçant les centrales thermiques polluantes, il est dans les centres informatiques qui ne consomment pas plus que ce qu’il faut pour fonctionner, il est dans les bâtiments écologiques et les infrastructures qui réduisent leurs consommations d’énergie. Et pourtant, il n’y a toujours pas de prise de conscience du rôle du green IT au sein des entreprises. Les directeurs informatiques continuent à considérer l’informatique comme une fonction indépendante, sans se rendre compte que leur activité est intimement liée à celle de la direction des ressources humaines, de la direction des finances et de la direction générale.3. Les entreprises mettent en place le green IT
Dans les grandes entreprises, le green IT est une véritable fonction à part entière qui appartient à la direction informatique. Dans les PME, par contre, c’est une compétence partagée. Les décideurs ne sont pas forcément formés à la problématique énergétique et environnementale. Il est donc de plus en plus important de former les directeurs informatiques à cette problématique afin qu’ils puissent présenter aux décideurs un plan d’action adapté et réaliste. Un autre point important est la nécessité de former les utilisateurs. Ils sont souvent responsables d’une mauvaise utilisation des systèmes informatiques. Les utilisateurs sont des consommateurs et il faut leur enseigner à respecter leurs consommations d’énergie. Il est donc important de faire prendre conscience aux utilisateurs que leur travail en est affecté. L’informatique doit être un outil au service de l’entreprise. Pour ceux qui sont intéressés, pensez-vous qu’il faille être technicien ou informaticien pour prendre en main les problématiques énergétiques et environnementales de votre entreprise ? Pour ceux qui ne le sont pas, il vaut mieux qu’ils soient accompagnés par des personnes « techniques ». Quel que soit le niveau, il est essentiel d’avoir quelques notions techniques pour appréhender et donner des chiffres précis. Dans les grandes entreprises, la démarche « green IT » relève de la compétence d’une direction informatique. Dans les petites et moyennes entreprises, cette démarche relève de la compétence de la direction. Il faut donc que l’informatique soit considérée comme une véritable ressource stratégique.Quelle est la place de l’informatique dans les entreprises ?
Aujourd’hui, la plupart des entreprises ne peuvent pas fonctionner sans informatique. Et pourtant, il y a souvent beaucoup d’informaticiens sur des postes de gestion qui pour raient être occupés par des gens de la finance, de la logistique ou des ressources humaines… C’est un poste stratégique qui permet d’organiser toutes les informations. Il faut donc qu’il y ait une démarche « green IT » et que l’informatique soit considérée comme une véritable ressource stratégique.4. Les avantages du green IT
La population mondiale est en train de devenir de plus en plus exigeants sur le sujet du développement durable et se rend compte que chaque acte, chaque énergie dépensée, a un coût environnemental et qu’il faut donc pouvoir proposer des produits qui soient à la fois efficaces et respectueux de l’environnement. Dans le domaine de l’informatique, le green IT peut être analysé sous plusieurs angles : Le green IT c’est d’abord une question de respect de l’environnement. Les informaticiens doivent réduire leur consommation d’énergie, de papier et de produits chimiques. Le green IT c’est aussi une question d’éthique. Il s’agit d’encourager les entreprises à prendre en compte la qualité des produits qu’elles mettent sur le marché et à utiliser des produits respectant l’environnement. Ce problème est d’autant plus important que le nombre de personnes ayant accès à l’informatique est en train de se multiplier. L’informatique n’est plus réservée aux grandes entreprises et aux grandes organisations : il s’agit d’un outil qui doit être accessible à tout le monde, à l’école, au bureau, à la maison…Les défis du green IT
Le green IT ne se résume pas au simple recyclage des produits informatiques. Il faut aussi pouvoir améliorer la qualité des produits, leur durée de vie, la fiabilité des pièces électroniques, leur robustesse… De plus, le green IT s’accompagne de nombreux défis, notamment : Le coût . Les produits informatiques sont moins chers qu’avant mais leur durée de vie est moins longue. Il faudra mettre en place des politiques d’achat et de management tenant compte de cette tendance. La maturité de l’offre . Les produits informatiques respectant les standards du green IT sont encore rares et les offres n’intègrent pas toujours la durabilité et le recyclage. Ceux qui veulent se lancer dans le green IT doivent donc faire preuve de créativité et de sensibilité à ces problématiques. Le recyclage . La chaîne du recyclage doit être intégrée au système global de management, c’est-à-dire qu’il faut gérer toute la durée de vie des produits en question. L’essor des mobiles et des ordinateurs portables a créé une nouvelle source d’inquiétudes. En effet, les consommateurs aiment pouvoir changer fréquemment de matériel et les entreprises sont mal préparées à cette demande. Pour mieux concevoir et fabriquer des produits durables, il est nécessaire que les acteurs de la chaîne d’approvisionnement, c’est-à-dire les fournisseurs et les utilisateurs, soient sensibilisés à ces questions de développement durable. C’est pourquoi certains acteurs ont décidé de signer une charte, dite « Green IT » ou « Eco-IT ». Cette charte est un moyen de s’engager à respecter les critères d’écologie et de durabilité matérielle des produits informatiques et des accessoires techniques.5. Les inconvénients du green IT
Quels sont les freins à la prise en compte de la dimension environnementale ? Il est difficile d’évaluer, dans une entreprise, toutes les consommations d’énergie et de matières premières. Cela suppose une connaissance précise des processus industriels et de la chaîne de fabrication. Pour des raisons de coûts, certaines entreprises peuvent avoir tendance à sous-estimer ces consommations afin de présenter des chiffres moins élevés qu’ils ne le sont en réalité. Le coût élevé d’achat des matériels écologiques est un frein à l’adoption des produits écologiques en entreprise. L’application de la Charte Eco-IT permet d’obtenir des réductions de prix significatives et donc de favoriser la prise en compte de la dimension environnementale de l’entreprise. Les fournisseurs et les utilisateurs signataires se sont engagés à proposer un catalogue d’équipements électroniques mis en œuvre par les entreprises respectant les principes développement durable. La charte Green IT a également permis de développer des produits plus performants énergétiquement parlant. En savoir + sur la charte Eco-IT Les entreprises ont besoin de formation et de support pour mener à bien leurs projets Green IT. Quelles sont les actions menées par les pouvoirs publics en la matière ? Les pouvoirs publics, comme l’Ademe (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie), sont présents dans toutes les étapes du parcours de l’entreprise souhaitant développer une politique écologique, à savoir :- La collecte de données et leur analyse ;
- L’amélioration de la performance énergétique des bâtiments ;
- La réduction du gaspillage d’énergie ;
- La transition énergétique ;
La mise en œuvre d’une politique environnementale et sociale.
L’Ademe propose ainsi des formations adaptées aux besoins des entreprises : cycle de formation sur le développement durable du bâtiment ; cycle de formation sur la maîtrise de l’énergie ; cycle de formation sur la mise en œuvre d’une politique environnementale et sociale. L’Ademe et le Ministère de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi proposent également des outils d’accompagnement : guide « Eco-organisation », guide « Développement durable du bâtiment », guide « Maîtrise de l’énergie », guide « Recyclage et revalorisationdes déchets ». L’Ademe est aussi présente sur le terrain via son réseau d’agences locales, qui peuvent assister les entreprises et les collectivités dans la mise en œuvre de leurs projets en matière de développement durable ou de maîtrise de l’énergie. Les entreprises peuvent enfin bénéficier d’aides financières (contrats d’objectifs, certificats d’économie d’énergie, crédits d’impôt, etc.) pour mener leurs projets en matière de développement durable. L’Ademe est financée par un prélèvement sur les redevances d’utilisation des réseaux publics de distribution d’énergie servant à produire de l’électricité, du gaz ou du fioul domestique. Elle est également financée par un impôt sur les bénéfices des entreprises et par un emprunt obligataire. A ce titre elle a pour missions :- de mettre en œuvre et de développer les politiques publiques de l’Etat en matière de prévention de l’évasion fiscale,
- d’informer les entreprises sur les problématiques économiques, sociales et environnementales liées à leur activité,
- de développer des travaux techniques et scientifiques dans le domaine des risques naturels et technologiques, des ressources naturelles, de l’environnement et de l’énergie.
6. Les avantages pour les entreprises qui ont adopté le green IT
Elles bénéficient d’une aide de l’Ademe pour réduire leurs coûts d’exploitation et leur impact environnemental. Cette aide s’appuie sur la mise en place d’un compte dédié à l’Ademe, dans lequel les entreprises déposent des fonds destinés à financer des projets de développement durable. Le montant de ces fonds est de 0,20 € par Go de données numériques (serveurs, téléphone mobile, scanner…), 0,40 € par Go de données numériques émises (consommation d’électricité, d’eau, d’énergie…), et 0,10 € par Go de données numériques reçues (consommation d’énergie, d’eau, déchets ou encore pollution atmosphérique).Le 2 décembre, le Conseil d’administration de l’ADEME a adopté le budget 2022 qui est porté à plus de 2 milliards d’euros en tenant compte du plan « France Relance » (610 millions d’euros) et du programme d’Investissements d’avenir (562 millions d’euros).
Le fonds chaleur renouvelable augmente à 370 millions d’euros pour atteindre les objectifs ambitieux de la programmation pluriannuelle de l’énergie qui prévoit de multiplier par 5 la quantité de chaleur et de froid renouvelables et de récupération livrée par les réseaux d’ici 2030. Ainsi, 3 TWh d’énergie renouvelable supplémentaire sera produite annuellement.
Le fonds économie circulaire atteint 400 millions d’eurosavec l’abondement du plan « France Relance » pour accompagner la loi relative à la lutte contre les gaspillages et à l’économie circulaire (AGEC). Ce sont presque 2 millions de tonnes de déchets évités, recyclés ou valorisés grâce à ces fonds.
Le fonds décarbonation de l’industrie du plan de relance géré par l’ADEME est porté à 271 millions d’euros l’an prochain pour financer l’efficacité énergétique et la décarbonation des procédés. Il apporte par ailleurs des aides complémentaires à l’investissment et au fonctionnement pour les centrales biomasses dans l’industrie. Depuis sa mise en œuvre en 2020, 141 projets ont déjà été soutenus par ce dispositif. La concrétisation de ces projets, grâce au plan de relance, permettra une réduction globale d’environ 2,8 millions de tonnes de CO2eq par an des émissions de l’industrie française.
Le programme hydrogène s’établit à 100 millions d’euros pour soutenir des écosystèmes territoriaux hydrogène pour les usages les plus proches de la maturité économique. En complément, le programme d’Investissements d’avenir « Briques technologiques et démonstrateurs hydrogène » est doté de 350 millions d’euros.
Le programme recherche progresse à 34 millions d’euros pour soutenir davantage de projets de recherche, participer à la mise en œuvre de la Stratégie nationale de recherche et mobiliser le programme « Horizon Europe ».
Pour soutenir l’innovation, le 4e volet du programme d’Investissements d’avenir monte fortement en charge avec une enveloppe prévisionnelle de 562 millions d’euros en 2022.
Une vingtaine de projets d’ampleur ont également été validés par le Conseil d’administration pour près de 150 millions d’euros d’aides sur l’ensemble du territoire.
Source du texte : www.ademe.fr
Conclusion
Alors, jusqu’à quand allons-nous continuer à polluer ? Comment allons-nous faire pour consommer les énergies fossiles que nous avons en quantité illimitée ? Ces réponses dépendent de la volonté des gouvernements et des citoyens. Mais leur implémentation dépend de la conjugaison des efforts des gouvernements, des citoyens et des entreprises.L’ADEME est là pour faire en sorte que les énergies propres soient accessibles au plus grand nombre. L’ADEME est là pour faire en sorte que les énergies propres soient rentables. L’ADEME est là pour faire en sorte que les énergies propres soient compétitives.
En conclusion, l’ADEME joue un rôle important dans la mise en œuvre des politiques publiques en matière d’énergies propres. Elle fait de la recherche, de l’innovation et de l’information. Les résultats sont là pour le prouver. Ses résultats sont reconnus par tous les acteurs publics ou privés. Elle est reconnue par ses partenaires comme une vraie référence mondiale sur la définition et la conduite des politiques publiques en matière d’énergies propres. Cette référence est reconnue aussi par la communauté scientifique, les citoyens et les entreprises. Vous le savez, 80 % des investissements dans les énergies propres sont effectués par les entreprises privées, que ce soit en France ou à l’international. Source de l’article : www.instants-web-agency.fr3 choses à savoir sur les RGPD et votre site internet
Les entreprises doivent mettre en œuvre les mesures nécessaires pour assurer la sécurité des données personnelles qu’elles conservent afin de satisfaire aux exigences du RGPD. Les mesures de sécurité retenues doivent être proportionnées au risque encouru par les données personnelles considérées. La base juridique du traitement des données personnelles est légale.
Les données personnelles font l’objet d’un traitement lorsque des données à caractère personnel sont collectées, traitées ou communiquées à des fins autres que celles pour lesquelles elles ont été collectées. Ainsi, le traitement des données personnelles doit être nécessaire et proportionné au but recherché.
L’information du responsable du traitement doit être assez précise pour permettre à la personne concernée de savoir en quoi consiste le traitement de ses données personnelles. Le droit à l’information porte sur les finalités du traitement des données personnelles, les catégories de données personnelles concernées, la durée de conservation des données ainsi que sur les droits de la personne concernée. La personne concernée a le droit d’accéder à ses données personnelles et d’en obtenir une copie, d’exercer son droit d’opposition au traitement, éventuellement son droit à la limitation du traitement ainsi que son droit à la portabilité de ses données.
1. Qu’est-ce que les RGPD ?
La réglementation générale sur la protection des données (RGPD) a été promulguée le 27 avril 2016 et remplace la directive « Vie privée et communications électroniques » transposée en droit français par la loi « Informatique et libertés » du 6 janvier 1978. Elle s’applique dans les 28 pays de l’Union européenne à toutes les entreprises qui traitent des données personnelles de citoyens européens.
Cette réglementation harmonise les règles de protection des données personnelles et impose des obligations aux entreprises qui collectent, stockent et traitent des données personnelles.
Les données personnelles
La RGPD définit les données personnelles comme « toute information portant sur une personne physique identifiée ou identifiable ». Cette notion inclut donc également les pseudonymes et les données de localisation, lorsqu’il est techniquement possible de l’identifier.
Lorsque la personne concernée est un citoyen européen, le traitement de ses données personnelles est soumis à la réglementation européenne. Le traitement de ses données personnelles par une entreprise située hors de l’Union européenne est soumis à la réglementation européenne, mais seulement si l’entreprise a un établissement en Europe.
Les droits des personnes concernées :
Le RGPD prévoit des droits pour les individus dont les données personnelles sont collectées, stockées ou traitées par un responsable de traitement. Ces droits sont identiques dans l’ensemble des pays européens.
Le droit d’accès : les individus ont le droit de demander à un responsable de traitement de leur fournir une copie de leurs données personnelles. Ils ont également le droit d’obtenir des informations sur la façon dont leurs données personnelles sont utilisées et expliquées sur la base juridique pour laquelle elles sont collectées, stockées ou traitées.
Le droit de rectification : les individus ont le droit de demander à un responsable de traitement de rectifier, de compléter ou de mettre à jour leurs données personnelles.
Le droit d’effacement : les individus ont le droit à ce que leurs données personnelles soient effacées lorsqu’elles ne sont plus nécessaires au regard des finalités pour lesquelles elles ont été collectées.
Le droit de limitation du traitement : les individus ont le droit à ce que leurs données personnelles ne soient pas traitées pour autant qu’ils contestent l’exactitude de leurs données personnelles et demandent que celles-ci ne soient pas utilisées jusqu’à ce qu’une décision finale sur l’exactitude des données ait été établie.
Le droit à la portabilité : les individus ont le droit à demander à un responsable de traitement de fournir les données personnelles qu’ils ont fournies à ce responsable, dans un format structuré, couramment utilisé et lisible par machine et d’entransmettre une copie à tout autre responsable de traitement.
Le droit d’opposition : les individus ont le droit de s’opposer à tout moment, pour des raisons tenant à leur situation particulière, au traitement de leurs données personnelles, sous réserve que cette opposition ne compromette pas la licéité du traitement basé sur l’un des motifs énoncés à l’article 6 alinéa 1 de la loi n° 78-17 du 6 janvier 1978.
Le droit de définir le sort des données après la mort : les individus ont le droit de définir le sort des données à caractère personnel communiquées par eux après leur disparition.
La loi porte sur les traitements automatisés de données à caractère personnel, qu’ils soient effectués par des personnes physiques ou des personnes morales, dans le cadre de leur activité professionnelle ou bien dans celui de leurs activités commerciales.
Les données à caractère personnel sont les informations permettant d’identifier directement ou indirectement une personne physique.
Leur traitement comprend toute opération ou tout ensemble d’opérations effectuées ou non à l’aide de procédés automatisés et appliquées à ces données, telles que la collecte, l’enregistrement, l’organisation, la structuration, la conservation, l’adaptation ou la modification, l’extraction, la consultation, l’utilisation, la communication par transmission, diffusion ou toute autre forme de mise à disposition, le rapprochement ou l’interconnexion, la restriction, l’effacement ou la destruction.
La loi ne s’applique pas aux traitements de données à caractère personnel opérés par les autorités publiques dans l’exercice de leurs fonctions.
Le traitement automatisé de données à caractère personnel portant sur des personnes physiques répondant aux conditions définies par le Règlement (UE) 2016/679 du Parlement européen et du Conseil du 27 avril 2016 relatif à la protection des personnes physiques à l’égard du traitement des données à caractère personnel et à la libre circulation de ces données et abrogeant la directive 95/46/CE (règlement général sur la protection des données) est assimilé à un traitement de données à caractère personnel.
Le responsable de traitement est une personne physique ou morale, l’autorité publique, un service ou un organisme qui, seul ou conjointement avec d’autres, détermine les finalités et les moyens du traitement de données à caractère personnel.
Le sous-traitant est une personne physique ou morale, l’autorité publique, un service ou un organisme qui exécute les instructions du responsable de traitement en ce qui concerne le traitement des données à caractère personnel et agit sous son autorité.
Le responsable de traitement choisit un sous-traitant après avoir vérifié qu’il fournit des mesures techniques et organisationnelles adéquates pour protéger la confidentialité, l’intégrité et la disponibilité des données à caractère personnel et pour empêcher qu’elles ne soient déformées, endommagées, ou que des tiers non autorisés y aient accès.
Le responsable de traitement fixe les critères et les modalités d’exercice par le sous-traitant des activités de traitement de données à caractère personnel.
Les données à caractère personnel doivent être protégées contre les risques liés à la perte des données, au traitement illicite ou inadéquat, à l’accès non autorisé et à la divulgation non autorisée.
Les données à caractère personnel ne doivent pas être traitées pour d’autres finalités que celles précisées au moment de leur collecte.
Un traitement de données à caractère personnel est licite si le responsable de traitement démontre qu’il répond aux conditions ci-après :
En cas de violation de données à caractère personnel, le responsable de traitement en avise sans délai l’autorité nationale compétente.
En cas de violation de données à caractère personnel, le responsable de traitement prend immédiatement les mesures adéquates afin d’en limiter les effets sur les personnes concernées. Le responsable de traitement doit prendre toutes les mesures raisonnables pour identifier ou prévenir les violations des données à caractère personnel qu’il est susceptible d’encourir.
Un responsable de traitement doit protéger les droits et libertés de la personne concernée, et notamment le droit à la vie privée et à la protection des données à caractère personnel, sur l’ensemble du territoire de l’Union.
Les dispositions du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne ne peuvent pas être interprétées comme portant une atteinte disproportionnée à la liberté d’entreprendre ou à l’innovation. Cette directive s’applique aux organismes publics et aux organismes privés qui se livrent à un traitement de données à caractère personnel pour des fins autres que celles auxquelles les données à caractère personnel ont été recueillies.
1. Quelles sont les différences avec la loi Informatique et Libertés ?
La loi Informatique et Libertés n’a pas été modifiée, les dispositions d’application restent inchangées. La directive est applicable aux traitements de données à caractère personnel effectués dans le cadre de la mise en œuvre de l’activité d’un responsable de traitement ou dans le cadre des activités d’un responsable de traitement qui sont exercées pour son compte par une autre personne. Le champ d’application de la directive concerne donc les organismes privés.
Les personnes concernées par l’application de cette directive sont les personnes physiques, les personnes morales et les personnes morales de droit public qui se livrent à un traitement de données à caractère personnel pour des fins autres que celles auxquelles les données à caractère personnel ont été recueillies.
La directive s’applique aux organes de l’État qui traitent des données à caractère personnel dans le cadre de leurs activités.
Quelles sont les nouvelles obligations auxquelles sont soumis les responsables de traitement ?
2. Les obligations des entreprises et des particuliers
qui exercent une activité de traitement de données à caractère personnel sont les suivantes :
– informer les personnes concernées des finalités du traitement ;
– recueillir leur consentement ;
– respecter la finalité pour laquelle les données à caractère personnel ont été recueillies ;
– informer les personnes concernées de toute utilisation de leurs données à caractère personnel pour d’autres finalités que celles pour lesquelles elles avaient été recueillies ;
– assurer une sécurité appropriée des données à caractère personnel ;
– notifier l’accès aux données à caractère personnel ou toute autre utilisation de celles-ci à une autre personne, à moins que les données à caractère personnel ne soient recueillies pour un usage exclusif ;
– mettre en place les mesures techniques et organisationnelles appropriées afin de prévenir la perte des données à caractère personnel, leur traitement illicite ou non autorisé, l’accès non autorisé et l’altération des données à caractère personnel ;
– conserver les données à caractère personnel pendant une durée n’excédant pas celle nécessaire à l’accomplissement des finalités pour lesquelles elles ont été collectées ;
– informer les personnes concernées de leur droit de retirer leur consentement et de leur droit d’introduire une réclamation auprès de la CNIL ou du médiateur.
Le médiateur peut être saisi directement par la personne concernée ;
– informer les personnes concernées de leurs droits d’opposition, d’accès, de rectification et de suppression des données à caractère personnel collectées ;
– informer les personnes concernées de leurs droits à la limitation du traitement et du droit à l’oubli.
La CNIL rappelle que ces exigences sont applicables tant au paiement en ligne qu’à toute autre technique de paiement qui serait mise en œuvre.
La CNIL rappelle également qu’en cas de sous-traitance de traitement de données à caractère personnel, il est de la responsabilité du prestataire de sous-traitance de s’assurer que les exigences légales sont respectées.
Dans le cadre du règlement (UE) n°679/2016 sur la protection des personnes physiques à l’égard du traitement des données à caractère personnel, et notamment à l’article 25, la CNIL rappelle également aux professionnels du secteur du paiement qu’ils doivent informer leurs clients de ces obligations légales lorsqu’ils leur fournissent des services de paiement en ligne.
La CNIL rappelle enfin que les entreprises qui ne respectent pas ces obligations sont passibles d’une sanction pouvant aller jusqu’à 20 millions d’euros ou 4 % de leur chiffre d’affaires annuel mondial.
3. La période de transition des données personnelles
vers le Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD) aura lieu le 25 mai 2018.
Les entreprises qui doivent encore se mettre en conformité avec la loi informatique et libertés avant cette date, doivent mettre en place dès maintenant les mesures nécessaires pour s’adapter au RGPD.
Afin de les aider dans cette transition, la CNIL a mis en place une enquête auprès des professionnels du secteur du paiement afin de connaître les freins à la mise en conformité des entreprises.
Cette enquête, qui a été menée du 22 novembre au 2 décembre 2017 auprès de 170 entreprises, a permis à la CNIL d’avoir une image plus précise de la situation des entreprises en France.
Les principaux freins identifiés ont été les suivants :
- Le manque de temps consacré à cette tâche (38 %) ;
- Les moyens financiers manquants (31 %) ;
- Le coût pour améliorer la sécurisation des données (31 %) ;
- Le manque de compétences sur la protection des données (22 %) ;
- L’absence de directives claires et précises (20 %) ;
- Le manque de formation des salariés et de l’encadrement (19 %).
Ces résultats témoignent d’un manque de moyens financiers et humains pour mettre en place les mesures techniques et organisationnelles afin que leur entreprise soit conforme aux obligations légales.
Cette enquête a aussi permis à la CNIL de prendre la mesure de l’importance de la formation des salariés et de l’encadrement pour les entreprises.
Les entreprises doivent en effet déployer une politique de formation afin que leurs salariés aient les connaissances sur la protection des données (droit à l’oubli, droite d’accès, consentement, etc.), qu’ils soient sensibilisés aux risques et aux obligations ainsi qu’à la mise en conformité. Cette formation peut être également acquise grâce à des personnes extérieures comme des consultants ou des organismes de certification.
Au-delà de la formation, il convient de donner des responsabilités au directeur de la protection des données afin que celui-ci puisse coordonner les mesures du point de vue organisationnel et juridique (en lien avec le conseil d’administration et le comité de direction).
Conclusion
En tout état de cause, avant de déployer des actions de communication auprès de ses clients, l’entreprise doit prendre en compte la mise en conformité des mesures techniques et organisationnelles nécessaires à la protection de leurs données personnelles.
L’objectif est d’apporter aux clients de l’entreprise la preuve que celle-ci est sérieuse et digne de confiance. Elle doit montrer qu’elle maîtrise les risques liés à la collecte, à l’usage ou à la transmission des données personnelles.
En fonction de la taille de l’entreprise et du nombre de clients, cette mise en conformité peut être faite dans un délai supérieur à 6 mois, mais elle peut être faite dans un délai de 3 mois. Cependant, cette évaluation de la mise en conformité doit être faite avant l’implantation d’actions de communication auprès des clients.
La mise en conformité peut être l’occasion de remettre en cause certaines pratiques et modes de fonctionnement.
Il convient de corriger un certain nombre de dysfonctionnements, notamment :
– le fait que les responsables de traitement ne disposent pas d’une vision complète sur l’ensemble des traitements et des processus informatiques ;
– la non-conformité de certaines pratiques à la loi ;
– l’absence de traçabilité des traitements et des processus informatiques ;
– l’absence d’une vision globale de la gestion des données personnelles ;
– l’absence d’un audit des systèmes d’information en vue de leur mise en conformité.
S’il est primordial que tous les acteurs concernés par une démarche de mise en conformité aient une vision commune de la finalité et du sens de la mise en conformité, il est tout aussi important de mettre en place des procédures de contrôle de la mise en conformité.
Le contrôle est d’autant plus important que le niveau d’exigence est élevé. En effet, pour pouvoir mettre en conformité une entreprise, il faut prendre en compte la diversité des traitements et processus informatiques. Il faut déterminer les traitements à mettre en conformité et les processus informatiques à modifier ou à créer. C’est la raison pour laquelle, dans l’optique de mettre en conformité une entreprise, le contrôle est primordial.
Or, lorsque l’on veut mettre en conformité tous les traitements et processus informatiques d’une entreprise, il est difficile de savoir comment procéder. Dans certains cas, il est nécessaire d’évaluer les risques liés à la non-conformité des traitements et processus informatiques et à l’absence de documents de procédure.
En savoir plus sur les RGPD sur le site de la CNIL
La méthode AIDA en webmarketing, de la théorie à la pratique
La méthode AIDA (« attention », « intérêt », « désir », « action ») est une méthode de vente qui a fait ses preuves depuis des décennies. Elle permet d’identifier les différentes étapes d’un processus de vente (ou d’un processus d’achat), ainsi que les leviers à actionner pour amener le prospect à franchir chaque étape.
Cette méthode, qui repose sur l’identification des étapes du processus de vente, est aujourd’hui largement utilisée en webmarketing. En effet, la mise en place d’un site Internet suppose également la mise en place d’une stratégie de marketing, qui doit permettre à ce dernier de générer des leads (des prospects), lesquels seront ensuite acheminés vers un processus de transformation (c’est-à-dire vers un projet commercial).
Pour y parvenir, la méthode AIDA est très souvent utilisée, car elle permet de déterminer les actions à mener, de manière à amener le prospect à franchir les étapes du processus de vente.
1. Qu’est-ce que la méthode AIDA?
Pour commencer, nous allons vous expliquer ce qu’est la méthode AIDA. AIDA est une ancienne méthode de marketing qui désigne les actions suivantes: Attirer, Interagir, Développer et Acquérir.
Attirer
Il s’agit du premier objectif du marketing. Il s’agit de séduire les prospects et d’attirer leur attention et leur intérêt. Le but est de les amener à interagir avec votre site ou avec votre entreprise.
Interagir
L’interaction est un second objectif du marketing. Son but est de développer une relation avec le prospect et de lui créer une véritable relation de confiance. L’objectif est de pouvoir enfin réaliser l’acquisition.
Développer
La découverte est un autre objectif très important. Le but est d’amener le prospect à avoir envie de découvrir votre entreprise, vos produits et vos services. Les actions de marketing sont nombreuses et variées, mais le but est toujours le même: créer une relation avec le prospect.
Acquérir
Le dernier objectif du marketing est l’acquisition. Lorsque la relation est bien établie, il s’agit de réaliser l’acquisition. Le but est de faire du prospect un client à part entière.
Comme vous pouvez le voir, la méthode AIDA est une méthode très ancienne. Elle permet d’identifier les objectifs d’un marketing et de les hiérarchiser. C’est une méthode très simple: vous déterminez votre objectif, puis vous faites ce qu’il faut pour l’atteindre. Lorsque vous avez réussi à créer une relation avec un prospect et que vous l’avez convaincu de venir sur votre site web, il s’agit d’un premier pas vers la conquête.
2. Les étapes de la méthode AIDA
Le processus d’achat ou de vente se découpe en 4 étapes :
– la première étape est celle de l’attention. Il s’agit donc de capter l’attention du prospect. Cette étape peut être déclenchée par divers canaux : le bruit de fond (publicité, par exemple), l’image (logo, marque, slogan), etc.
– La seconde étape est celle de l’intérêt. Le prospect commence à s’intéresser à votre produit ou à votre service. Cette étape peut être déclenchée par le bruit de fond du canal d’attention. C’est le moment où il vous faut répondre aux questions « Qui sont-ils ? », « Que font-ils ? », « Où les trouver ? », « Pourquoi sont-ils intéressés par le produit ou le service ? ».
– La troisième étape est celle de l’intention d’achat. C’est l’étape où le prospect envisage sérieusement d’acheter votre produit et/ou votre service. En général, il vous met en compétition avec d’autres entreprises. Cette étape est déclenchée par le bruit de fond du canal d’intérêt. Il vous faut donc répondre aux questions « Qui sont mes concurrents ? », « Comment les aider à répondre à leurs propres besoins ? », « Qu’est-ce qui fait la différence entre mon produit et ceux de mes concurrents ? ».
– L’étape ultime est celle de la conversion. Le prospect est convaincu que vos produits et/ou services répondent à ses besoins. C’est la décision d’achat. Cette étape est déclenchée par le bruit de fond du canal d’intention d’achat. Il faut donc répondre aux questions « Quel est mon processus de vente ? », « Comment communiquer avec le prospect ? », « Comment pouvons-nous l’aider à prendre sa décision d’achat ? ».
Pour avoir une chance de réussir dans le commerce électronique, il faut savoir être attentif à toutes les étapes de l’expérience client et répondre dans les meilleures conditions possibles à ses besoins. Cela suppose une excellente connaissance de son marché et de ses concurrents. Une stratégie marketing bien menée est essentielle pour réussir.
Toutes les étapes de l’expérience client sont importantes : la phase d’intérêt, celle d’intention d’achat et celle de conversion. Il faut savoir répondre aux besoins des acheteurs et à leurs questions. Les mots clés sont : la connaissance du marché, la préparation, la communication et l’analyse. L’objectif est de satisfaire un maximum de clients en respectant trois critères : l’efficacité, la satisfaction et le coût .
La phase d’intérêt : C’est le moment où le prospect est attiré par un produit, un service ou une information. Cela peut être à la suite d’une campagne publicitaire ou d’une réunion commerciale par exemple. Cette phase est primordiale pour la suite de l’expérience client. C’est pourquoi il faut garder la trace de tous les contacts avec les prospects afin de pouvoir les recontacter.
La phase d’intention d’achat : ce sont les contacts avec le prospect. La première rencontre est le moment où l’on tente de s’introduire dans le marché et d’attirer l’attention du client. Il faut savoir se différencier et faire parler de soi. Il faut donc être sur tous les fronts, dans toutes les conversations, à toutes les époques, avec de l’information pertinente et pertinente.
La phase de conversion : c’est celle où le client passe à l’acte d’achat. Cette phase doit être la plus court possible et doit être efficace. Il faut être présent au bon endroit au bon moment.
La phase de fidélisation : il faut se démarquer de la concurrence, fidéliser ses clients et les faire revenir.
Le client a besoin d’être informé sur l’évolution du marché et sur les offres du moment. Il doit être sûr de son choix parce qu’il achète de plus en plus sur internet et qu’il n’a pas envie de perdre son temps. Il faut donc être présent sur les réseaux sociaux et communiquer de façon pertinente sur internet.
Il faut donc être présent sur tous les fronts si l’on veut toucher le maximum de clients potentiels. Il faut être présent sur tous les canaux d’information (presse, radio, web, …) et essayer à chaque fois de se différencier de la concurrence. Lorsqu’un client sera en phase d’intérêt il sera plus facile à fidéliser.
3. Les objectifs de la méthode AIDA
A quoi sert la méthode AIDA?
La méthode AIDA est d’une grande utilité pour l’entreprise. La méthode AIDA aide à définir les objectifs de l’entreprise, à communiquer efficacement auprès de la clientèle et à fidéliser celle-ci. En intégrant cette méthode dans son marketing, l’entreprise est en mesure de définir les objectifs qu’elle doit atteindre.
Les objectifs sont définis une fois que l’entreprise a bien compris ses besoins et ses attentes.
Le marketing permet de communiquer efficacement auprès de la clientèle et cette communication dépend des objectifs que l’entreprise se fixe.
C’est une méthode très pratique et efficace pour fidéliser la clientèle.
L’entreprise sait quels sont ses clients et elle sait comment les fidéliser.
La méthode AIDA aide à mieux comprendre les besoins et les attentes des clients. En effet, l’utilisation de cette méthode permet d’analyser les attentes du client et d’en tirer profit pour pouvoir améliorer la qualité de service à la clientèle.
Lorsque l’on souhaite fidéliser la clientèle, il est important que celle-ci soit satisfaite. Durant l’étape de l’acquisition de la clientèle, l’entreprise doit donc répondre aux attentes des clients.
Ce ne sont pas les seuls clients qui sont satisfaits. L’entreprise doit aussi fidéliser les clients existants. Elle peut faire en sorte que ses clients rachètent leurs produits ou services et qu’ils parlent d’eux-mêmes à leur entourage.
AIDA est une méthode qui permet d’atteindre un objectif en quatre étapes. La méthode AIDA est un outil marketing qui aide à fidéliser la clientèle. On peut l’utiliser dans de nombreuses situations.
4. Les avantages de la méthode AIDA
La méthode AIDA est un outil marketing qui aide à fidéliser la clientèle. C’est une méthode simple à utiliser. L’entreprise peut l’utiliser dans de nombreuses situations.A l’issue de ce chapitre, vous aurez une bonne connaissance de la méthode AIDA. Vous serez en mesure d’appliquer cette méthode dans un contexte marketing.
Grâce à notre formation, vous serez capable :
• D’expliquer le contexte de la méthode AIDA
• De décrire les quatre étapes de la méthode AIDA
• D’expliquer les avantages de la méthode AIDA
• D’expliquer le contexte de la méthode AIDA
Source de l’article : www.instants-web-formation.fr
Le digital outsourcing : le nouveau mode de travail dans les entreprises
L’outsourcing est un phénomène qui prend de plus en plus d’ampleur. Les entreprises n’hésitent plus à recourir à ce mode de gestion pour leurs activités, car il permet de réduire leurs frais tout en accélérant leur développement. Dans la même veine, un nouveau type d’outsourcing est apparu ces dernières années : le digital outsourcing. Ce dernier consiste à externaliser la création et l’exploitation d’un site web ou d’une application mobile à une agence spécialisée de production de contenus.
Le digital outsourcing consiste à confier la création ou l’entretien d’un site web ou d’une application à une agence spécialisée de production de contenus. Ce mode de gestion est apparu ces dernières années et semble répondre aux attentes des entreprises. En effet, tout comme ledigital marketing, le digital outsourcing permet de se développer de manière rapide tout en réduisant les frais.
Par exemple : pourquoi externaliser la création d’un site web ?
Le digital outsourcing est particulièrement intéressant pour les entreprises qui souhaitent se développer sur internet et élaborer une stratégie web efficace. En effet, l’entreprise ne dispose pas nécessairement des compétences nécessaires pour mettre en place un site web de qualité. L’agence de création de sites web possède des connaissances et des compétences en matière de développement web, d’ergonomie, de design et de marketing digital.
Le digital outsourcing permet de dégager du temps pour l’entreprise. En effet, la création d’un site web ou d’une application nécessite des compétences pointues, ce qui demande un temps et des ressources importantes. L’externalisation de la création d’un site web à une agence spécialisée permet à l’entreprise de se concentrer sur son activité principale.
1. Le digital et l’importance de l’apprentissage continu
Devenir un digital native, c’est-à-dire un individu qui bénéficie de l’accès à l’ensemble des équipements et à l’ensemble des services liés au digital, est un avantage considérable pour les entreprises. Il permet aux employés de maîtriser les nouvelles technologies et d’être ainsi plus efficaces dans leur travail. Il est nécessaire pour les employés de se former en continu afin de s’adapter aux nouveaux moyens de communication mis à la disposition des consommateurs.
Le digital est un secteur en plein essor qui a des retombées positives sur le pouvoir d’achat et qui augmente les marges des entreprises. En effet, le digital est présent dans tous les métiers et couvre toutes les étapes de la vie d’une entreprise : depuis sa communication jusqu’à ses ventes, en passant par sa stratégie digitale, sa formation, son service client et sa communication digitale.
L’environnement numérique est donc de plus en plus important dans l’exercice des activités économiques et ne pas s’y intéresser est une faute. Le digital peut être vu comme une opportunité pour la création d’emplois et la croissance. Il permet à une entreprise de se développer à l’international, d’être présente sur les réseaux sociaux, de rester proche de ses clients et de bénéficier d’une image positive.
2. Le digital et l’effectivité de la formation
Le digital se démocratise de plus en plus dans la formation. De plus en plus d’établissements scolaires comprennent l’importance du digital afin de permettre aux élèves d’avoir une formation qui leur soit utile dans la vie active. En effet, l’utilisation des nouvelles technologies sont indispensables pour les jeunes et adultes afin qu’ils puissent rester compétitifs dans un monde où le digital prend une place de plus en plus importante.
L’enseignement des métiers du digital est une des priorités de la formation professionnelle. Ce nouvel enjeu est important pour les jeunes qui désirent avoir une bonne insertion professionnelle. De plus, l’utilisation des nouvelles technologies est indispensable pour être compétitif dans le monde actuel.
La formation passe donc par l’utilisation des nouvelles technologies et pas seulement lors de cours. De plus, le digital permet aux élèves de s’exprimer de la même manière que les professionnels du secteur. Ainsi, grâce aux nouvelles technologies, les élèves vont pouvoir s’exprimer sur leur formation, créer et produire du contenu.
Le digital permet aussi un meilleur apprentissage. En effet, grâce à la réalité augmentée et à la 3D, les élèves vont être amenés à développer de nouvelles compétences afin de se sentir acteurs de leur formation. Les outils numériques favorisent l’apprentissage par l’expérimentation et l’immersion au sein d’un environnement virtuel.
Les élèves pourront ainsi acquérir de nouvelles compétences et acquérir une maîtrise de l’outil numérique.
Enfin, les outils numériques permettent une plus grande interaction entre les élèves, entre les enseignants et avec les partenaires de la formation.
Le digital dans la formation professionnelle
Les réformes en cours au sein de la formation professionnelle vont dans le sens de l’utilisation des nouvelles technologies .
Le décret du 26 juin 2016 dit « décret sur la formation professionnelle tout au long de la vie » prévoit, notamment, l’obligation pour les entreprises d’avoir un espace numérique de formation.
De plus, l’article 24 de la loi n° 2014-811 du 6 août 2014 relative à la formation professionnelle, à l’emploi et à la démocratie sociale prévoit que les Pôles de compétitivité doivent avoir recours aux technologies numériques en matière de formation, afin de maximiser l’efficacité des actions qu’ils mènent et de favoriser leur diffusion et leur appropriation par les entreprises, notamment par la création d’espaces numériques de formation.
Dans ce sens, l’Agence nationale pour la cohésion sociale et l’égalité des chances (Acsé), dans son programme de travail 2016-2017, a présenté un programme de travail sur les digital natives et la transformation numérique des métiers. La mise en place d’un groupe de travail thématique a permis d’identifier un certain nombre de problématiques, qui ont été examinées au cours d’ateliers organisés avec les représentants des acteurs concernés.
Pour répondre à ces enjeux, le groupe de travail a défini deux orientations stratégiques :
– l’hypothèse numérique : il s’agit de permettre aux entreprises d’intégrer les technologies numériques dans leurs pratiques quotidiennes. Cela implique que les entreprises soient sensibilisées à l’utilisation des outils numériques et que les acteurs de la formation et de l’insertion accompagnent leur déploiement dans les entreprises ;
– l’hypothèse des compétences : il s’agit de créer un cadre de concertation permettant aux différents acteurs de se rencontrer afin d’identifier et de mutualiser les évolutions professionnelles, en particulier celles liées à la transformation numérique. Ce cadre permettra d’adapter les parcours de formation en considérant la diversité des profils et des parcours des salariés.
Pour atteindre ces objectifs, le groupe de travail a défini un plan d’action en trois volets :
– le volet « déploiement des compétences » pour favoriser la diffusion des outils numériques et l’intégration des compétences numériques dans les parcours de formation ;
– le volet « mutualisation des évolutions professionnelles » pour améliorer les connaissances et l’information sur les évolutions professionnelles liées au numérique ;
– le volet « déploiement des compétences » pour favoriser la diffusion des outils numériques et l’intégration des compétences numériques dans les parcours de formation ; – le volet « mutualisation des évolutions professionnelles » pour améliorer les connaissances et l’information sur les évolutions professionnelles liées au numérique ; Le plan d’action présenté par le groupe de travail est structuré autour de trois axes :
– La mise en place de dispositifs d’accompagnement à la formation et à l’apprentissage pour permettre aux salariés de s’approprier les outils numériques.
– La mise en place d’une démarche d’amélioration continue des pratiques managériales et organisationnelles.
– La mise en place de dispositifs d’accompagnement à la formation et à l’apprentissage pour permettre aux salariés de s’approprier les outils numériques. – La mise en place d’une démarche d’amélioration continue des pratiques managériales et organisationnelles. Le groupe de travail a ainsi identifié plusieurs pistes d’actions :
– Mettre en place des dispositifs d’accompagnement à la formation et à l’apprentissage des salariés par l’intermédiaire de leurs représentants.
– Élaborer une charte de la formation numérique ouverte à tous les acteurs de l’entreprise.
– Encourager le déploiement d’outils numériques facilitant l’utilisation des outils numériques par les salariés.
– Engager une démarche d’amélioration continue des pratiques managériales et organisationnelles pour créer les conditions d’un apprentissage continu de la gestion de l’entreprise.
– Mettre en place des dispositifs d’accompagnement à la formation et à l’apprentissage des salariés par l’intermédiaire de leurs représentants. – Élaborer une charte de la formation numérique ouverte à tous les acteurs de l’entreprise. – Encourager le déploiement d’outils numériques facilitant l’utilisation des outils numériques par les salariés. – Engager une démarche d’amélioration continue des pratiques managériales et organisationnelles pour créer les conditions d’un apprentissage continu de la gestion de l’entreprise. Mettre en place des outils d’aide à l’orientation des jeunes sortant du système scolaire pour favoriser l’accès aux métiers du numérique.
– Mettre en place des dispositifs d’accompagnement à la formation et à l’apprentissage des salariés par l’intermédiaire de leurs représentants. – Élaborer une charte de la formation numérique ouverte à tous les acteurs de l’entreprise.
– Encourager le déploiement d’outils numériques facilitant l’utilisation des outils numériques par les salariés.
– Engager une démarche d’amélioration continue des pratiques managériales et organisationnelles pour créer les conditions d’un apprentissage continu de la gestion de l’entreprise. Mettre en place des outils d’aide à l’orientation des jeunes sortant dusystème scolaire pour favoriser l’accès aux métiers du numérique.
– Mettre en place des dispositifs d’accompagnement à la formation et à l’apprentissage des salariés par l’intermédiaire de leurs représentants.
3. Le digital et les entreprises : un enjeu de société
La loi pour une République numérique du 7 octobre 2016 pose le principe d’une éducation aux médias et à l’information du public dès le plus jeune âge. Dans ce cadre, les outils numériques doivent être mis au service de la transmission des savoirs par le biais de la découverte de contenus culturels et artistiques.
La mission a souhaité que les entreprises soient associées à cette démarche :
– Mettre en place des partenariats entre les acteurs économiques et les établissements scolaires pour promouvoir l’utilisation des outils numériques dans le cadre d’une offre éducative en ligne.
– Renforcer la sensibilisation des jeunes aux usages numériques et aux risques qu’ils présentent à l’aide des dispositifs de sensibilisation à la protection des données personnelles.
La sécurité au quotidien grâce au numérique
L’essor du numérique est aussi source d’innovation en matière de sécurité.
La mission a notamment été alertée par les nouvelles technologies, qui permettent de développer des outils aux avantages certains, mais qui doivent aussi faire l’objet d’une vigilance particulière.
Les nouveaux services de sécurité et de sûreté numériques, tels que les logiciels d’analyse des risques et de gestion de la sûreté, visent à améliorer la prise en compte des risques et à faciliter le travail des forces de l’ordre, des collectivités ou des entreprises. Mais ces nouveaux outils peuvent aussi faire l’objet d’abus. Ils doivent donc faire l’objet d’une réglementation adaptée, en particulier pour leur utilisation par des acteurs privés.
Les capteurs et les objets connectés sont aujourd’hui omniprésents. Ils permettent de collecter de grandes quantités de données, qui peuvent être utilisées pour améliorer la prévention des risques, mais qui peuvent aussi être exploitées à des fins de vol de données personnelles ou de dégradation des infrastructures publiques. La mission a donc recommandé la mise en place d’une régulation adaptée et d’un échange d’information entre l’État et les industriels pour s’assurer que les capteurs ne soient pas utilisés à des fins de surveillance du public, par exemple en matière de santé.
4. Le digital et lest métiers de la formation
La mission d’évaluation et de contrôle a étudié la question de l’impact du numérique sur la formation professionnelle et le maintien dans l’emploi des salariés. Elle a notamment constaté l’importance des métiers de la formation professionnelle. Ces métiers sont confrontés à un double enjeu : celui de la transformation digitale des entreprises et celui de la transformation des métiers eux-mêmes, à cause notamment du développement d’apprentissage par compétences.
L’accompagnement des entreprises dans leur transformation digitale passe par une meilleure visibilité des métiers de la formation professionnelle, mais aussi par l’adaptation de leurs formations. Une telle évolution est d’autant plus nécessaire que les besoins en compétences ont évolué : la digitalisation implique en effet de nouveaux profils de compétences, comme la maîtrise des logiciels d’intelligence artificielle et de reconnaissance vocale, ou encore les compétences numériques, indispensables pour faciliter le travail collaboratif.
Enfin, le développement d’apprentissage par compétences met en avant la nécessité de disposer de référentiels professionnels permettant de définir des profils de compétences et des qualifications correspondant aux besoins des entreprises.
5. Le digital et le travail à domicile
La digitalisation a également un impact sur les modes d’organisation du travail. En effet, à travers les technologies de l’information et de la communication, elle offre de nouvelles possibilités aux entreprises d’organiser leur activité, qui ont permis de transformer profondément les habitudes de travail des salariés. Ainsi, le travail à domicile s’est progressivement développé.
Dans le secteur privé, la part des salariés exerçant à domicile est passée de 7 % en 1995 à 13 % en 2015.
Dans le secteur public, la part des salariés exerçant à domicile est passée de 4 % en 1997 à 12 % en 2016. Cette augmentation du travail à domicile est liée aux possibilités offertes par la digitalisation : les salariés sont désormais plus autonomes, et peuvent travailler à partir de leur propre domicile, avec une légère réduction de leur temps de transport et de déplacement.
Le travail à domicile est aussi permis par l’évolution des modes de vie : les salariés passent de plus en plus de temps à la maison, et de moins en moins de temps au travail. Ainsi, le temps de travail dans les entreprises a diminué au cours des années 2000 : il est passé de 8 à 7 heures par jour en France, et de 7 à 6 heures par jour en Allemagne.
La crise sanitaire de ces deux dernières années a également favorisé le travail à domicile : de nombreux salariés préfèrent rester chez eux pour ne pas risquer d’être contaminés.
Le travail à domicile est aussi encouragé par les entreprises, qui cherchent à se réduire les coûts associés à la présence des salariés dans les bureaux. En effet, les salariés à domicile sont rémunérés comme des salariés de bureaux, bien que leurs conditions de travail soient différentes. Enfin, on peut supposer que les entreprises profitent de la flexibilité de leurs salariés et de leur facilité à être délocalisées.
Le travail à domicile présente des avantages pour les entreprises : ils permettent une meilleure gestion de l’emploi du temps, une réduction des frais de transport et de logement, une plus grande disponibilité des salariés, et également une économie de 30 % sur les charges sociales.
Malgré ces avantages pour les entreprises, le travail à domicile est peu répandu, notamment à cause d’une culture du travail en collectif. De plus, les travailleurs sont souvent considérés comme des moins que rien par leur hiérarchie.
Conclusion sur le digital et nos méthodes de travail et de formation
Aujourd’hui, on voit que les entreprises doivent s’intéresser de près à la formation des employés. Cette dernière permet de les amener vers des méthodes de travail modernes et souvent plus efficaces. Il est donc nécessaire de former les employés à l’utilisation du digital. Pour cela, on leur apprend à se servir du PC, du smartphone ainsi que d’Internet. Ces outils permettent non seulement d’améliorer la productivité, mais aussi de renforcer la communication entre les collaborateurs.
Le digital est donc un moyen pour les entreprises de se démarquer. Cependant, de nombreuses entreprises sont toujours réticentes à intégrer ces nouvelles technologies dans leur quotidien. Cela est très souvent dû à une culture du travail en collectif. Il est donc important pour les dirigeants et les salariés de prendre conscience que le numérique est indispensable pour le développement des entreprises.
Aujourd’hui, les nouveaux modes de travail et de formation nécessitent de nouvelles méthodes de gestion. La flexibilité d’horaires, la présence permanente sur le lieu de travail, le travail à distance ont en effet un impact important sur le management des salariés. En effet, la confiance et les relations humaines, dont il est démontré qu’elles jouent un rôle important dans le développement et la motivation du personnel, sont fortement impactées par ces nouveaux modes de travail.
Source de l’article : www.instants-web-formation.fr
La loi du plus fort a-t-elle encore sa place dans l’entreprise ?
La loi du plus fort a-t-elle encore sa place dans l’entreprise? C’est la question que beaucoup se posent. L’autoritarisme est-il toujours efficace? Faut-il donner du pouvoir à tous et quid de la responsabilisation? Être à la tête d’une entreprise implique de prendre des décisions et de les assumer. Mais aujourd’hui, la situation est plutôt confuse. Les salariés ont gagné beaucoup d’indépendance et il est difficile de savoir comment les motiver.
Pourquoi un tel désordre?
En 1990, le PDG de la société de calcul informatique Hewlett-Packard, Lew Platt a déclaré : « Nous sommes un groupe de 35 000 employés. Il n’y a aucun système pour nous dire qui nous sommes et ce que nous faisons. » Selon lui, il s’agit d’une entreprise sans entreprise! Autrement dit, le concept de l’ « entreprise » avait changé. Les salariés ne sont plus reliés à un chef mais plutôt à une direction.
Le résultat, c’est que les employés ne dépendent pas d’un patron qui décide à leur place. Ils n’ont plus à faire ce qu’on leur ordonne. Ils sont en mesure de prendre leur propre décision et d’agir selon leurs intuitions et leurs propres priorités. En d’autres termes, ils sont devenus des entrepreneurs.
Aujourd’hui, le mot « entreprise » a une autre signification. Il désigne un groupe d’individus qui ont des objectifs et qui s’organisent pour les atteindre.
1. Les forces en présence
L’entreprise est le résultat d’un certain nombre de forces que vous pouvez classer en quatre catégories :
les forces de production,
les forces de vente,
les forces de marketing,
et les forces politiques.
Les forces de production
Elles englobent l’ensemble des activités qui permettent au groupe d’atteindre ses buts. Elles comprennent tout ce qui est nécessaire à la fabrication et à la vente des produits. Par exemple, les forces de production incluent toutes les ressources nécessaires à la production, y compris les machines, les matières premières, l’équipement et les sites de production. Elles englobent aussi le personnel qui travaille pour le compte de l’entreprise, y compris les ouvriers, les techniciens, les ingénieurs et les dirigeants.
Les forces de vente
Elles comprennent l’ensemble des activités qui permettent de vendre les produits. Le groupe doit trouver des clients pour acheter ses produits.Il doit également disposer d’un système de vente et d’un personnel de vente pour vendre les produits.
Les forces de marketing
Elles comprennent l’ensemble des activités qui permettent d’accroître la demande pour les produits, qu’il s’agisse de la publicité, d’initiatives marketing, d’une stratégie promotionnelle ou de relations publiques. Les forces de marketing permettent à l’entreprise de faire connaître ses produits.
Les forces politiques
Elles comprennent l’ensemble des activités qui permettent d’influencer les décisions politiques afin d’obtenir un avantage concurrentiel. Par exemple, le groupe peut demander des mesures fiscales favorables ou s’assurer que ses produits sont bien référencés par les pouvoirs publics.
Les forces de la technologie
Elles comprennent l’ensemble des activités qui permettent de développer les technologies nécessaires à la production et à la vente des produits. Par exemple, le groupe peut développer une technologie nouvelle pour ses produits.
Les forces de la communication
Elles comprennent l’ensemble des activités qui permettent d’informer et de persuader les consommateurs. Le groupe peut communiquer via des supports publicitaires, des médias, des relations publiques et des relations avec les clients.
Les forces de l’environnement
Elles comprennent l’ensemble des facteurs externes qui influencent les décisions de l’entreprise et son environnement. Par exemple, le groupe peut développer une stratégie de communication pour ses produits lorsque le prix du pétrole augmente.
Les forces mixtes
Elles incluent les trois groupes précédents. Par exemple, le groupe peut développer une nouvelle technologie de production lorsque sa politique commerciale lui permet de vendre des produits dans un pays émergent.
2. La loi du plus fort: je gagne, tu perds
La loi du plus fort est un fonctionnement simple. Elle s’appuie sur les trois principes suivants:
L’élimination de la concurrence. Elle passe par la mise en place de règles destinées à favoriser l’une des parties, et par l’interdiction de certains comportements. L’un des objectifs est d’empêcher le développement d’une concurrence dommageable pour l’entreprise.
La concentration des ressources. Il s’agit d’obtenir les ressources matérielles et humaines nécessaires pour exercer sa domination.
L’allocation des ressources. Il s’agit de définir les tâches et les critères de répartition des ressources entre les différentes parties.
Les deux premiers points visent à assurer la domination de l’entreprise sur le marché, et le troisième à définir les règles du jeu.
Le modèle des quatre forces a été amélioré par celui des cinq forces d’approche, qui en fait un outil plus puissant. Il met en évidence cinq forces de réalité:
La force de l’offre. Elle correspond à la quantité d’offre sur le marché et à son évolution. Cette force est déterminée par les facteurs de production, c’est-à-dire les ressources matérielles et humaines nécessaires pour produire un bien ou un service.
La force de la demande. Elle correspond à la quantité de demande sur le marché et à son évolution. Cette force est déterminée par les facteurs de la demande, c’est-à-dire la capacité d’un consommateur à réaliser ses besoins.
La force concurrentielle. Elle correspond au nombre d’entreprises sur le marché et à leur évolution. Cette force est déterminée par l’environnement, c’est-à-dire les autres entreprises sur le marché.
La force des partenaires externes. Elle correspond à la quantité et à l’évolution des partenaires externes (partenaires commerciaux, fournisseurs, prestataires de services, fournisseurs de ressources, etc.). Cette force est déterminée par l’environnement, c’est-à-dire les autres entreprises dans la chaîne de valeur.
La force des concurrents. Elle correspond au nombre et à l’évolution des concurrents sur le marché. Cette force est déterminée par l’environnement, c’est-à-dire les autres entreprises sur le marché.
3. Travailler en équipe pour identifier et résoudre les problèmes
Identifier et résoudre les problèmes est une étape cruciale de la planification stratégique. En effet, il est essentiel de prendre des décisions fondées sur des faits et non pas sur des hypothèses. Il s’agit d’un processus important, car vous devez identifier vos problèmes stratégiques pour pouvoir les résoudre.
Pour identifier vos problèmes, vous devez d’abord savoir quoi faire (votre stratégie ) et comment le faire (vos plans d’action), avant de pouvoir déterminer qui fait quoi.
Le processus de résolution des problèmes stratégiques se décompose en quatre étapes :
- Identifier les problèmes stratégiques.
- Faire une analyse et établir une liste des problèmes.
- Définir les priorités.
- Résoudre les problèmes stratégiques.
La première étape consiste à identifier les problèmes stratégiques et à les classer par ordre de priorité. La question à se poser est : « Quels sont les problèmes qui m’empêchent de réaliser ma stratégie et de réaliser mes plans d’action ? »
Chacun des problèmes doit ensuite être analysé pour déterminer la cause du problème, c’est-à-dire pourquoi il existe. Il faut recueillir des informations auprès de tous les intervenants de l’entreprise, comme les employés, les fournisseurs, les clients et les concurrents. Ensuite, il faut analyser ces informations, en dresser la liste et identifier les facteurs clés.
Les problèmes doivent être classés par ordre de priorité en fonction des facteurs clés. La priorité doit refléter la gravité du problème et la possibilité de solutionner le problème à court terme.
L’analyse des facteurs clés peut inclure également l’analyse de la situation concurrentielle : qui sont les concurrents, quels sont leurs objectifs et quelles sont leurs stratégies ?
Puis, les problèmes doivent être classés par ordre de priorité en fonction des facteurs clés. La priorité doit refléter la gravité du problème et la possibilité de solutionner le problème à court terme.
Dans une société multinationale, les problèmes peuvent être différents d’un pays à l’autre et il faut se demander si ces problèmes peuvent être réglés par des actions locales ou s’il faut une action globale.
Les problèmes doivent être classés par ordre de priorité en fonction des facteurs clés.
La priorité doit refléter la gravité du problème et la possibilité de solutionner le problème à court terme.
4. Faire équipe pour réussir
L’équipe d’analystes est un moyen de réaliser les projets qui nécessitent plusieurs personnes pour travailler en parallèle sur un projet spécifique.
L’équipe d’analystes peut être définie comme les différents groupes de personnes qui travaillent ensemble pour réaliser un projet spécifique ou un certain nombre de projets.
Les équipes d’analystes peuvent être constituées dans le cadre d’un projet, d’une sous-activité ou d’une activité. Les équipes d’analystes peuvent être utilisées de différentes façons. Par exemple, elles peuvent être utilisées pour effectuer des analyses, étudier des problèmes ou développer des solutions. L’équipe peut également être utilisée pour réaliser les tâches spécifiques qui sont requises par un projet ou une activité.
Les équipes d’analystes peuvent être utilisées pour effectuer des analyses pour divers types de projets, y compris ceux qui sont liés à l’amélioration de l’efficacité et de l’efficience opérationnelle, ceux qui sont liés à la gestion du changement ou ceux qui sont liés au développement. Les tâches de développement d’une équipe d’analystes peuvent inclure la réalisation des analyses.
5. Le travail d’équipe
Il commence par la réalisation d’un diagnostic à l’égard des besoins de l’entreprise. Ses objectifs sont établis par l’analyste ou le chef d’équipe et ses membres. Ils permettent de déterminer les personnes qui seront nécessaires à la réalisation des différentes étapes de l’analyse, et les ressources dont elles auront besoin.
De nombreuses études ont démontré que la collaboration avec un chef d’équipe engendrait un engagement accru, une motivation plus grande et des résultats plus positifs.
6. L’importance du rôle du leader
Le rôle du leader dans une équipe est de guider et d’encadrer le travail de l’équipe. Il (elle) doit fournir des retours d’information et encourager le partage des idées. Il (elle) doit aussi s’assurer que les membres ont les connaissances et les compétences nécessaires pour réaliser la démarche qui leur est assignée. Il (elle) doit aussi accompagner les membres de l’équipe dans leurs démarches de recherche et de réflexion. Enfin, il (elle) doit fournir un appui moral et aider les membres à surmonter les difficultés auxquelles ils peuvent être confrontés.
Source de l’article : www.instants-web.fr
La pyramide de Maslow pour booster votre chiffre d’affaires.
La pyramide de Maslow est un modèle d’affaires incontournable. Elle décrit les besoins humains en fonction de leur importance : physiologique, sécurité, social, estime d’elle-même, épanouissement personnel et finalement transcendance. Ces besoins évoluent dans un processus historique. Ainsi, l’être humain doit répondre à ses besoins physiologiques et sécuritaires avant de se préoccuper de l’estime d’elle-même et de l’épanouissement personnel.
1. La pyramide de Maslow
Aujourd’hui, les entreprises ne peuvent plus se contenter de satisfaire leurs clients en répondant uniquement à leurs besoins physiologiques et sécuritaires. Les entreprises doivent en effet répondre à leurs besoins émotionnels, car ces derniers sont un levier essentiel pour augmenter les prises de commandes.
Cette idée s’inspire de la publication, en 1987, du livre de Daniel Goleman : La Force de l’émotion. Ce dernier explique qu’il existe des émotions positives (amour, empathie, sensibilité…) et des émotions négatives (peur, haine…). Selon lui, les émotions positives sont plus fortes que les émotions négatives dans le déclenchement des actions humaines.
Quand on veut déclencher l’adhésion à une cause ou à un produit chez un consommateur, il est plus rentable d’utiliser les émotions positives que les émotions négatives, et ce même si le produit est moins bien.
Ainsi, on parle de « ventes émotionnelles » quand la communication vise à créer une émotion positive chez un consommateur. On parle aussi de « ventes rationnelles » quand la communication vise à informer le consommateur.
La référence à la pyramide de Maslow est utile pour comprendre comment répondre aux besoins émotionnels de la cible visée, mais elle ne permet pas de calculer quels besoins émotionnels il faut satisfaire.
La méthode des cinq besoins émotionnels de la pyramide de Maslow
Pour définir les besoins émotionnels à satisfaire, on utilise la méthode des cinq besoins émotionnels, développée par le consultant américain Francis A. Schaeffer. Il s’agit d’une méthode simple et efficace pour identifier les sentiments qui vont attirer et retenir un client. Cette méthode est basée sur les cinqbesoins émotionnels de la pyramide de Maslow :
2. Les besoins physiologiques
se nourrir, boire, dormir, se déplacer (bien être physique).
La méthode des cinq besoins émotionnels
La méthode des cinq besoins émotionnels est très simple à mettre en œuvre. Il suffit de répondre à ces questions :
Quelle émotion ressent-on quand on a mangé ? Quand on a bu ? Quand on a dormi ? Quand on peut se déplacer ?
L’idée est alors de s’adresser à ces besoins émotionnels, en faisant appel à des émotions positives, comme la joie, le bonheur, la liberté, la sécurité, la confiance, le respect.
Par exemple :
- Quel effet produit la lumière du soleil dans l’esprit de celui qui se promène ?
- Quel effet produit le fait de pouvoir prendre une douche dans un lieu propre et bien entretenu ?
- De pouvoir dormir dans un lit confortable ?
- D’avoir des vêtements et des chaussures propres et bien entretenus ?
- De pouvoir se déplacer en voiture ou en métro ?
3. Les besoins de sécurité
Se sentir en sécurité, avoir une identité, un statut, avoir des relations (bien être émotionnel).
Ce besoin se décline en :
– le besoin de sécurité physique (the need for physical safety),
– le besoin de sécurité financière (the need for financial security),
– le besoin de sécurité sociale (the need for social security),
– le besoin de sécurité existentielle (the need for existential security).
La méthode des cinq besoins de sécurité
Cette méthode est très semblable à la précédente. Il suffit de répondre à ces questions :
Quelle émotion ressent-on quand on a son identité, sa voiture, son domicile ? Quand on a ses amis, des relations ?
L’idée est alors de s’adresser à ces besoins de sécurité, en faisant appel à des émotions positives, comme la satisfaction, la confiance, le respect.
Par exemple :
Quel effet produit l’absence de son identité dans l’esprit de celui qui ne peut se construire une identité ?
Quel effet produit l’absence de sa voiture dans l’esprit de celui qui ne peut se déplacer ?
Quel effet produit l’absence de son domicile dans l’esprit de celui qui ne peut vivre chez soi ?
La méthode des cinq besoins d’expression
La question qui sert de point de départ à cette méthode est : Quel effet produit l’absence de son expression dans l’esprit de celui qui ne peut pas s’exprimer ?
Voyons quels sont les besoins d’expression, et comment ils se traduisent en expressions verbales ou non verbales.
Le besoin d’expression personnelle :
– le besoin d’exprimer son opinion, son ressenti , ses découvertes, ses pensées, cela se traduit en une expression verbale ou non verbale permettant d’exprimer cette opinion, ce ressenti.
Le besoin d’expression relationnelle :
– le besoin d’exprimer ses sentiments, son attente par rapport à un autre individu, à un groupe, cela se traduit en une expression verbale ou non verbale permettant d’exprimer cet attachement.
Le besoin d’expression sociale :
– le besoin d’être reconnu , d’être valorisé par les autres, de plaire aux autres, cela se traduit en une expression verbale ou non verbale permettant d’exprimer cette volonté.
Le besoin d’expression culturelle :
– le besoin d’être informé, d’apprendre quelque chose sur le monde qui nous entoure, des choses sur lesquelles nous ne savons rien, ce qui nous intéresse, ce qui nous passionne, cela se traduit en une expression verbale ou non verbale permettant d’exprimer cet intérêt.
Le besoin d’expression politique :
– le besoin d’exprimer un point de vue, une volonté, une idée, sur les choses publiques, politiques, ce qui se traduit en une expression verbale ou non verbale permettant d’exprimer cette volonté.
Le besoin d’expression religieuse :
– le besoin d’exprimer sa foi en Dieu, de se reconnaître comme partie d’un groupe, de rejoindre une communauté,de partager sa foi avec d’autres êtres humains, ce qui se traduit en une expression verbale ou non verbale permettant d’exprimer cet attachement.
Le besoin d’expression philosophique :
– le besoin de s’interroger sur ce qui est, ce qui est dû à la nature, ce qui est dû à la société, ce qui est dû aux hommes, ce qui est dû au destin, ce qui est dû au hasard, ce qui se traduit en une expression verbale ou non verbale permettant d’exprimer ce questionnement.
Le besoin d’expression esthétique :
– le besoin de créer, de voir, de sentir, de se sentir, de s’exprimer, de transmettre une émotion, une sensation, un sentiment, une impression, un sentiment d’extase ou d’enchantement par l’usage d’objets, de formes, des couleurs… etc., ce qui se traduit en une expression verbale ou non verbale permettant d’exprimer l’émotion.
Le besoin d’expression affective :
– le besoin de communiquer ses sentiments, d’exprimer ses émotions, d’exprimer sa joie, son enthousiasme, sa colère, ses craintes, ses peurs, sa tristesse, sa peine, ce qui se traduit en une expression verbale ou non verbale permettant d’exprimer l’émotion.
Le besoin d’expression relationnelle :
– le besoin d’interagir avec les autres, de discuter avec les autres, de partager des moments avec les autres , de se rapprocher des autres, de se lier d’amitié avec les autres, de s’éloigner des autres, ce qui se traduit en une expression verbale ou non verbale permettant d’exprimer la relation.
Le besoin d’expression sociale :
– le besoin de faire partie de la société, de s’intégrer à la société, de participer aux activités de la société, de se faire accepter par la société, ce qui se traduit en une expression verbale ou non verbale permettant d’exprimer la relation.
4. Les besoins d’appartenance sont de deux types:
• les besoins d’appartenance d’être du groupe (the need to belong) : le besoin d’intégrer un groupe, de se sentir admis dans un groupe et d’être accepté par ce groupe.
• les besoins d’appartenance d’avoir du groupe (the need to have a group): le besoin de posséder un groupe, de détenir un groupe, de diriger un groupe, de contrôler un groupe.
Les besoins d’être du groupe :
– le besoin d’être admis dans un groupe, le besoin d’être aimé par un groupe, le besoin d’être accepté par un groupe, le besoin de faire partie d’un groupe, ce qui se traduit en une expression verbale ou non verbale permettant d’exprimer la relation.
Les besoins d’avoir du groupe :
– le besoin de posséder un groupe, le besoin de diriger un groupe, le besoin de contrôler un groupe, le besoin de posséder un groupe, ce qui se traduit en une expression verbale ou non verbale permettant d’exprimer la relation.
5. Les besoins de la réalisation de soi sont de trois types :
• les besoins de réalisation de soi d’être (the need to be) : le besoin d’être reconnu, le besoin d’être créatif, le besoin d’être original.
• les besoins de réalisation de soi d’avoir (the need to have) : le besoin de développer sa personnalité, le besoin de posséder son identité.
• les besoins de réalisation de soi d’agir (the need to do) : le besoin d’accomplir ses projets, le besoin d’être efficace.
Un besoin est dit « primaire » lorsqu’il est assuré par les besoins de base (à savoir : le besoin de sécurité, d’appartenance à un groupe et de réalisation de soi). Un besoin est dit « secondaire » lorsqu’il est assuré par les besoins des étapes ultérieures, c’est-à-dire par les besoins spécifiques à ces étapes.
La théorie de Maslow est une théorie évolutive. Elle s’est enrichie et complétée au cours du temps. Des chercheurs ont ainsi essayé de montrer que la hiérarchie des besoins de Maslow n’est pas universelle (elle ne serait applicable qu’aux sociétés occidentales industrialisées).
6. Les besoins du développement personnel
Les besoins du développement personnel sont la somme des besoins individuels. Si ces besoins sont satisfaits, l’individu pourra évoluer dans son contexte social et personnel. Les besoins du développement personnel ont été développés par Abraham Maslow avec les théories de la motivation et de la personnalité.
Les besoins du développement personnel sont différents selon l’âge de l’individu et son niveau évolutif.
Les besoins du développement personnel varient également selon la culture, la religion et le contexte socio-économique.
- Les besoins spécifiques à l’enfance sont liés à l’évolution de l’enfant.
- Les besoins spécifiques à l’adolescence sont liés à l’évolution de l’adolescent.
- Les besoins spécifiques à l’âge adulte sont liés à la vie de couple, de famille et professionnelle.
- Les besoins spécifiques à la vieillesse sont liés au développement psychosocial de l’âge adulte.
Pour répondre aux besoins du développement personnel, un individu doit évoluer dans son contexte social et personnel. Si ces besoins sont satisfaits, l’individu pourra évoluer dans son contexte social et personnel. Le contexte social est composé des normes sociales et des lois qui régissent les comportements collectifs. Le contexte personnel est composé des rôles sociaux, des valeurs culturelles et des caractéristiques personnelles de l’individu.
Les besoins physiques représentent les besoins biologiques de l’individu. Ces besoins sont liés à la fonction vitale de l’individu. Ils permettent à l’individu de maintenir sa structure physique. Ces besoins sont satisfaits par les pressions biologiques, chimiques et physiques.
Les besoins physiologiques sont des besoins biologiques de base. Il y a quatre types de besoin physiologique :
Les besoins biologiques sont des besoins de base face auxquels l’homme n’a pas toujours le contrôle. Les besoins psychologiques sont des besoins psychologiques et sociaux de base. Ils sont liés à la satisfaction des besoins physiologiques.
Les besoins psychologiques permettent à l’individu de se sentir bien dans sa peau et lui donnent confiance en lui-même.
Les besoins sociaux sont des besoins face auxquels l’individu n’a pas le contrôle. Les besoins culturels sont des besoins qui sont liés à la reconnaissance de l’individu dans sa communauté.
Conclusion sur la pyramide de Maslow
Les besoins bio-psychologiques sont des besoins primaires. Ce sont les besoins fondamentaux qui permettent à l’individu de survivre et de se développer. Les besoins culturels sont des besoins secondaires. Ce sont des besoins qui sont liés à la reconnaissance de l’individu dans sa communauté.
Cette théorie a été très critiquée car elle simplifie trop la nature humaine et ne prend pas en compte les facteurs sociaux, économiques et politiques. De plus, elle est réductrice car elle ne prend pas en compte les femmes.
Les critiques sur la pyramide de Maslow
La pyramide de Maslow n’est pas acceptable car elle ne prend pas en compte les facteurs psychologiques. Elle est réductrice car elle ne prend pas en compte les femmes. D’autre part, elle simplifie trop la nature humaine dans le sens où elle ne présente les besoins que selon une approche biologique et psychologique. En outre, la pyramide de Maslow ne prend pas en compte les besoins sociaux, économiques et politiques.
Dans toutes les cultures, il existe des besoins individuels et collectifs. Les besoins peuvent être primaires ou secondaires. Les besoins primaires sont ceux qui permettent à l’individu de se développer et de survivre. Les besoins secondaires sont ceux qui permettent à l’individu de se sentir valorisé dans sa communauté.
Source de l’article : www.instants-web-formation.fr
Créer, intégrer, gérer un sitemap pour développer le référencement naturel de votre site.
L’un des éléments les plus faciles à oublier lors de la planification de votre site est le sitemap. Et pourtant, il a une réelle valeur ajoutée pour votre référencement naturel. Le sitemap est un document XML présent sur votre site web qui sert à les moteurs de recherche à mieux comprendre vos pages et modifier leur indexation. Il peut être utilisé pour l’indexation de votre site ou d’un élément particulier.
Ainsi, dans le cas où vous souhaitez être référencé dans certains mots-clés, il est utile de créer des sitemaps spécifiques à chaque page. Vous pouvez ainsi choisir les mots-clés que vous souhaitez être indexés par Google.
Dans le cas contraire, vous pouvez intégrer le sitemap sur votre site pour permettre à Google de prendre connaissance de l’ensemble des contenus et fournir une meilleure utilisation de votre site pour le référencement naturel.
Une fois le sitemap validé et déclaré, il vous sera possible d’avoir accès à différentes informations significatives sur votre site comme :
– Le nombre de pages indexées par Google (pages visitées et pages indexées) ;
– Le temps mis par Google pour indexer votre site ;
– Le nombre de pages actuellement indexées ;
– La date de dernière mise à jour du site ;
– Le nombre de pages visitées par un robot Googlebot ;
– Le nombre de requêtes spécifiques faites par Googlebot ;
– Le nombre de liens entrants et sortants pour chaque page.
Le processus d’indexation peut prendre entre quelques minutes et plusieurs jours. Cela dépend :
– Du nombre de pages sur votre site web, étant donné que le temps d’indexation dépend du nombre de pages créées sur votre site ;
– De votre site web, car si votre site est hébergé sur des serveurs lent, il prendra plus de temps pour être indexé ;
– Du contenu, car si vous avez beaucoup de contenu sur votre site, cela prendra plus de temps pour être indexé.
Une fois le site web indexé par Google, il peut prendre jusqu’à trois mois pour que vos pages apparaissent dans les résultats du moteur. Ce délai dépend du nombre de pages et du contenu que votre site comporte.
1. Le site map, c’est quoi ?
Le site map est un document HTML ou XML qui sert à indiquer à Google la structure de votre site web. Pour une bonne référence, vous devez mettre le site map sur le même niveau que les fichiers robots.txt et Sitemap.xml. Le site map doit être placé dans le même répertoire que les autres documents de votre site web.
Le site map doit être un document HTML comportant au moins deux liens :
– Le premier pointe vers le fichier robots.txt (si vous en avez un).
– Le deuxième pointe vers le fichier Sitemap.xml.
Le site map peut être généré automatiquement ou manuellement. Si vous générez le site map manuellement, il doit ressembler à ceci :
<siteMap xmlns=”http://www.sitemaps.org/schemas/sitemap/0.9″
xmlns:xsi=”http://www.w3.org/2001/XMLSchema-instance”>
<siteMapNode url=”http://www.pixeldreamstudio.com/” title=”Home”>
2. Pourquoi créer un sitemap ?
Grâce au sitemap, Google sait dans quel ordre organiser les différents liens des pages d’un site web. Si vous voulez que votre site soit bien référencé, il est indispensable de créer un site map.
Google vous propose l’outil Google Webmaster Tools. Cet outil permet de suivre l’utilisation de Google à votre égard ainsi que de suivre l’avancement des inscriptions de votre site sur les moteurs et dans les différents autres moteurs de recherche.
Le premier outil d’utilisation de Google Webmaster Tools est le Sitemap Generator. En plus d’être intuitif, cet outil permet d’insérer automatiquement le code HTML de votre sitemap dans votre site.
3. Comment créer un sitemap ?
Pour créer un sitemap, il suffit d’utiliser le Sitemap Generator proposé par Google webmaster Tools.
Tout d’abord, il faut se rendre sur le site de Google webmaster Tools (http://www.google.com/webmasters/). Ensuite, il faut s’enregistrer. Lorsque vous avez enregistré votre compte, vous pouvez accéder au Sitemap Generator.
Bouton «Sitemap Generator»
Ensuite, il faut se rendre sur le site web que l’on veut inscrire dans le Sitemap Generator. Ensuite, il suffit de cliquer sur le bouton «Sitemap Generator».
Ce bouton nécessite un code à 3 chiffres. Celui-ci est envoyé automatiquement par Google lorsque vous avez enregistré votre site web sur Google Webmaster Tools.
Une fois entré dans le Sitemap Generator, il faut cliquer sur «New/Add URL» pour créer la liste de vos pages.
Ensuite, il faut entrer les URL de vos pages dans l’espace prévu à cet effet. Il faut ensuite cliquer sur «Add» pour enregistrer ces pages.
URL de vos pages
Puis, il faut cliquer sur «Save» pour enregistrer votre sitemap.
Les extensions pour créer un sitemap sous WordPress
Il existe plusieurs extensions qui permettent de créer un sitemap sous WordPress. Nous allons nous intéresser en détail aux extensions SEO Smart Links et SEO Ultimate ou encore SEOPress. Nous vous recommandons SEOPress pour sa simplicité d’utilisation et sa puissance.
Cette extension permet de générer des liens dans votre site en fonction du contenu. C’est une extension très complète qui permet :
de créer un sitemap ;
d’optimiser le référencement de vos pages ;
d’assurer la propreté de vos pages ;
d’assurer la propreté des liens ;
d’optimiser le référencement de votre site en générant des liens de qualité.
Cette extension vous permet également de générer un XML sitemap pour Google et Yahoo ! (En fonction des options que vous sélectionnez).
Cette extension permet aussi de créer un sitemap pour Bing.
L’extension SEO Ultimate est une extension, elle aussi, très complète qui permet :
de générer un sitemap ;
d’optimiser le référencement de vos pages ;
d’assurer la propreté de vos pages ;
d’optimiser le référencement de votre site en générant des liens de qualité.
L’extension SEOPress est une extension, elle aussi, très complète qui permet :
de créer un sitemap ;
d’optimiser le référencement de vos pages ;
d’assurer la propreté de vos pages ;
d’optimiser le référencement de votre site en générant des liens de qualité.
Cette extension permet, comme son nom l’indique, d’assurer la propreté de vos pages
, c’est à dire :
- de supprimer les liens morts sur votre site (et d’indiquer à Google que ces liens ne sont plus valides) ;
- de réduire la taille de vos pages afin de réduire le temps de chargement de celles-ci ;
- de supprimer les images inutiles qui risquent de pénaliser votre site en terme de référencement.
4. Comment intégrer un sitemap sur son site ?
L’intégration d’un sitemap sur votre site est simple. Il vous suffit de vous rendre dans l’onglet « Extensions » de votre site.
Puis de sélectionner l’extension « SEOpress ».
Afin d’intégrer un sitemap sur votre site, il vous suffit de cliquer sur le bouton « Ajouter un site ». Vous pourrez alors sélectionner l’URL à inclure dans cet outil.
Dans notre formation sur le référencement nous vous apprenons à optimiser votre site pour le SEO. Nous vous proposons aussi une formation pour créer votre site internet avec WordPress et savoir le gérer en toute autonomie.
5. Comment gérer un sitemap sur votre site ?
En cliquant sur l’onglet « Sitemap », vous pourrez ajouter des pages à votre sitemap.
Vous pouvez également demander à Google de rechercher vos pages qui sont en format XML sur votre site (cela signifie que Google recherchera automatiquement toutes les pages que vous aurez ajoutées dans votre sitemap).
Il est important de savoir que si vous ajoutez des page dans votre sitemap, Google les recherchera automatiquement. C’est pourquoi il est important d’en faire une à chaque fois que vous créez une nouvelle page.
Vous devez ensuite dans un dernier temps intégrer votre site dans la Google Search Console. Cette console va vous permettre de gérer vos liens, de voir votre positionnement sur Google et d’optimiser vos pages.
Vous avez maintenant toutes les cartes en main pour créer votre site, le faire connaître et le positionner sur Google. N’hésitez pas à faire vos recherches sur le web, utiliser les outils que nous vous avons présentés dans cet article et surtout, restez connecté !
Le SWOT, cet outil indispensable pour analyser la santé de votre entreprise.
Les entreprises utilisent généralement un ensemble de techniques d’analyse pour définir leur stratégie. L’une des méthodes les plus utilisées est la méthode SWOT (Strengths, Weaknesses, Opportunities and Threats). Cette méthode est facile à comprendre et à adopter. Elle permet aux entreprises de se concentrer sur leurs points forts tout en identifiant les points faibles ainsi que les possibilités et les menaces.
1. Comment fonctionne le SWOT ?
Le SWOT est composé de quatre catégories : les forces, les faiblesses, les opportunités et les menaces. Ces quatre catégories sont placées dans un tableau de type « croix » à cinq cases. Chaque case correspond à une catégorie.
Les forces sont toutes les caractéristiques que vous possédez et qui vous permettent d’être compétitif sur un marché donné. Il s’agit des points forts qui vous permettent d’être compétitif.
Les faiblesses sont les caractéristiques qui vous empêchent d’être compétitif sur un marché donné. Il s’agit de tout ce qui vous handicape dans l’exercice de votre activité professionnelle.
Les opportunités sont toutes les caractéristiques que vous pourriez exploiter pour atteindre vos objectifs stratégiques dans une situation donnée. Il s’agit des opportunités qui peuvent être créées à partir de l’exercice de votre activité professionnelle.
Les menaces sont les caractéristiques qui peuvent vous empêcher d’atteindre vos objectifs stratégiques dans une situation donnée. Il s’agit des menaces qui ont un impact sur vos activités professionnelles.
1.1. Les forces
Dans les premières étapes du processus d’évaluation, vous devez définir les points forts de votre entreprise. En général, les forces de votre entreprise sont :
• Vos points forts de l’entreprise sont l’expérience et l’expertise. Elles ont permis à l’entreprise de se développer et d’acquérir une bonne réputation dans la communauté.
• Vos points forts de l’entreprise sont votre capacité à offrir un service de qualité à prix compétitif et votre réputation auprès des clients.
• Vos points forts de l’entreprise sont vos relations avec vos fournisseurs et vos clients.
• Vos points forts de l’entreprise sont les compétences de vos employés et leur efficacité.
1.2. Les faiblesses
Ensuite, vous devez trouver les faiblesses de votre entreprise. Les faiblesses de votre entreprise sont des facteurs qui pourraient vous empêcher d’atteindre vos objectifs stratégiques dans une situation donnée. Il s’agit des facteurs qui ont un impact sur la qualité de votre produit ou service et qui peuvent nuire à la réputation de l’entreprise et à sa pérennité.
• Votre faiblesse première est l’insuffisance du financement. Vous n’avez pas suffisamment de fonds proprespour vous permettre d’investir dans l’amélioration de votre équipement et de votre outil de production. Vous ne pouvez pas non plus embaucher plus d’employés ou vous développer. Votre faiblesse première est donc vos insuffisances en fonds propres.
• Votre faiblesse première se trouve également dans la pénurie des ressources humaines. Vous n’avez pas beaucoup de main-d’œuvre qualifiée surtout pour le poste de directeur. Votre faiblesse première est donc la pénurie des ressources humaines.
• Votre faiblesse première se trouve également dans la mauvaise qualité de vos produits ou services. Vos réparations sont peu fiable et demandent beaucoup de temps à votre clientèle. Votre faiblesses première est donc la mauvaise qualité de vos produits ou services.
• Enfin, votre faiblesse première se trouve dans le manque d’image de marque. Vos produits ou services ne sont pas reconnus et sont difficiles à vendre. Votre faiblesse première est donc le manque d’image de marque.
Après avoir établi les faiblesses de votre entreprise, vous pouvez commencer à y apporter des solutions. Voici quelques conseils pour vous aider dans votre démarche :
• Commencez par identifier les causes de vos faiblesses.
Pourquoi y a-t-il un manque d’image de marque ?
Pourquoi y a-t-il un manque de ressources humaines qualifiées?
Pourquoi y a-t-il un problème de qualité de vos produits ou services ?
• Ensuite, définissez vos objectifs.
Vous voulez augmenter votre image de marque, augmenter le nombre de personnes qualifiés travaillant pour vous, améliorer la qualité de vos produits ou services. Voilà quelques exemples.
• Enfin, faites un plan concret pour atteindre ces objectifs.
1.3. Les opportunités
de développement sont des opportunités qui existent dans votre secteur d’activité. Vous pouvez les définir à partir de différents critères : géographiques, technologiques, socioculturels, économiques.
• Les menaces de développement sont des menaces qui existent dans votre secteur d’activité. Vous pouvez les identifier à partir de différents critères : géographiques, technologiques, socioculturels, économiques.
• L’état des lieux est la description objective de votre situation actuelle. Il permet de définir les points forts, les points faibles et les ouvertures d’opportunités pour améliorer votre stratégie de développement.
1.4. Les risques
de développement sont des risques existant dans votre secteur ou qui pourraient y apparaître. Vous pouvez les identifier à partir de différents critères : géographiques, technologiques, socioculturels, économiques.
• Les menaces de développement sont des menaces qui existent dans votre secteur d’activité. Vous pouvez les identifier à partir de différents critères : géographiques, technologiques, socioculturels, économiques.
2. Le SWOT dans votre entreprise
Partez de votre mission, de votre vision et de vos objectifs stratégiques.
Identifiez les forces et faiblesses de votre entreprise :
• Définissez vos forces et faiblesses génériques en formulant des affirmations positives sur les points forts et négatives sur les points faibles.
• Portez votre attention sur les aspects négatifs qui ne sont pas des facteurs génériques mais qui s’appliquent à votre situation particulière.
• Analysez les synergies possibles entre les points forts et les points faibles.
Identifiez vos opportunités et menaces de développement :
• Définissez vos opportunités en formulant des affirmations positives sur les points positifs et négatives sur les points négatifs.
• Portez votre attention sur les aspects négatifs qui ne sont pas des facteurs génériques mais qui s’appliquent à votre situation particulière.
• Analysez les synergies possibles entre les points positifs et les points négatifs.
Votre mission et votre vision sont des descripteurs de votre entreprise :
• Votre mission : décrivant l’action que vous entendez mener pour répondre aux besoins des clients, elle doit être claire, précise, universelle, et définie en termes positifs.
• Votre vision : décrivant les perspectives dans lesquelles vous vous situez, elle doit être claire, précise et spécifique à votre domaine d’activité.
• Vos principes : décrivant les valeurs et la philosophie de votre entreprise, ils doivent être clairs, positifs et précis.
• Vos définitions : décrivant le concept que vous entendez développer en termes positifs, elles doivent être claires, précises et universelle.
Vos stratégies sont la traduction de vos objectifs et de vos intentions : elles doivent être ressortir en termes positifs, précis et universels.
Vos actions sont vos moyens d’atteindre vos objectifs et de concrétiser vos intentions : elles doivent être claires, précises et universelle.
Vos moyens sont les ressources que vous entendez mobiliser pour atteindre vos objectifs et concrétiser vos intentions : ils doivent être universel.
Votre image est le point de repère que vous entendez offrir aux autres pour qu’ils puissent situer votre entreprise et s’y identifier : elle doit être positive, précise et universelle.
Vos valeurs sont le point d’appui que vous entendez offrir aux autres pour qu’ils puissent comprendre votre entreprise et y adhérer : elles doivent être positives, précises et universelle.
Votre projet est la base sur laquelle vous entendez construire votre entreprise et à laquelle les autres entreprises peuvent se rattacher : il doit être positif, précis et universel.
Votre plan est la feuille de route qui va vous permettre d’atteindre vos objectifs, de concrétiser vos intentions, de mobiliser vos moyens et de construire votre projet : il doit être positif, précis et universel.
Vos actions sont les pas que vous entendez faire pour atteindre vos objectifs et concrétiser vos intentions : elles doivent être claires, précises et universelle.
3. Le SWOT, cet outil incontournable
Comment le SWOT peut-il vous aider à définir votre stratégie ?
L’analyse SWOT permet de définir et de développer des stratégies gagnantes. En effet, la première étape consiste à identifier les points forts et les points faibles de votre entreprise. Puis, on identifie les opportunités et les risques qui pourraient être générés par l’environnement de votre entreprise. Ces informations permettent de définir une stratégie claire et de définir des objectifs précis.
La mise en place d’une stratégie gagnante passe par la définition d’objectifs précis, la définition d’une feuille de route et la mise en place d’actions concrètes qui vont permettre l’atteinte des objectifs. C’est donc pour cela que nous allons détailler toutes les étapes de la mise en place de votre stratégie d’entreprise.
Vous pouvez vous former au SWOT grâce à notre formation en marketing digital
Source de l’article : www.instants-web-formation.fr